mercredi 29 décembre 2010

The Devil's Rejects... dans ton Culte !


Nous reprenons les choses où nous les avions laissé, c'est à dire au clap de fin de la fameuse maison des 1000 morts.


Le film démarre au bottleneck sur un blues interprété par Monsieur Blind Willie Johnson et tandis qu'une voix off relate la macabre découverte du Shérif John Quincy Wydell, un autre type d'explication (parsemé de clichés épouvantables) se déroule en insistant sur le visage d'une femme. Puis, usant d'un flou artistique Rob Zombie nous catapulte dans un bois où nous retrouvons le grand frangin décérébré tractant la malheureuse, mais le colosse difforme arrête soudainement sa marche forcée, car sous ses yeux interloqués... arrive tranquillement une escouade de flics !

En très peu de temps l'assaut est donné et "le nettoyage du mal" ne pourra se faire qu'en purgeant les âmes torturées. Rien que pour la scène du début, ce film mérite d'être vu, car cette fois Rob Zombie ne traite pas cette suite comme un film d'Horreur, mais plutôt tel un cauchemar entre << Western déjanté & Road Movie sanglant >> tout en gardant l'esprit du prem's, un esprit encore plus cradingue (dans tous les sens du terme), un humour encore plus décalé, des situations tragi-comiques, des scènes insupportables, soit l'horreur absolue et pourtant... les Devil's Rejects vont trouver aussi barjot qu'eux.



Après seulement 1 heure de jeu, 2 questions m'interpellent : comment Rob Zombie a fait pour retourner la situation et que devient le Dr Satan ?


Ok, il vaut mieux ne pas trop en dire et Ok, The Devil's Rejects se découvre image par image, alors voici juste quelques scoops à la volée : on apprend que Baby & Otis sont les dignes enfants du Captain et que toute cette bande de joyeux drilles sont Fans des Marx Brothers. Enfin, le Shérif J Q Wydell n'est autre que le frère de celui assassiné dans la Maison des 1000 morts, ce qui donnera (outre un film de vengeance hyper craignos) quelques passages anthologiques soupesés de dialogues impressionnants. A cela, je vous invite à revoir la scène entre le spécialiste de cinoche (le speech sur Otto Preminger énorme) qui récuse le fait que l'on ait davantage parlé d'Elvis que de Groucho Marx (face au Shérif joué merveilleusement bien par William Forsythe) un certain mois d'aout 1977. 

Ou celle de la rescapée du Motel qui se prend un camion pleine tasse (après avoir passé un sale quart d'heure) et le shérif rétorque : voilà ce que ça donne quand on joue avec un 40 tonnes. Retrouvez les morceaux éparpillés, il faudrait la donner entière au légiste !
S'en suit une discussion royale avec un collègue :
C'est la femme de ménage qui l'a trouvé, elle a dit quelque chose ?
- Ouais des tas de trucs, mais j'comprends que dalle à l'Espagnol et pourtant, je suis le maire de Tijuana d'après ce qu'on dit... y'a un d'mes gars (il reprend son souffle) Clarkson, lui il parle espagnol. En ce moment, il a la chiasse, le genre de chiasse de concours d'après c'qui dit.





-Ok, tu veux bien m'épargner les détails sur les boyaux de tes gros cons d'adjoints. Le shérif imperturbable se retourne pour reparler avec la bonniche, quand déboule la gueule burinée de Dany Trejo, gigantesque...

Certes l'ami Rob nous a furieusement gâté, car à son magnifique tableau, il faut rajouter quelques visages inoubliables : Leslie Easterbrook (Police Academy), Ken Foree (Zombie), Geoffrey Lewis (toujours fidèle à big Clint), Ginger Lynn Allen (que l'on ne présente plus) Priscilla Barnes et Michael Berryman. Evidement la bande Son s'avère monstrueuse, l'image impeccable (quasi d'époque) et le DVD vaut son pesant de roudoudous. Dernière précision, The Devil's Rejects est touché d'une interdiction moins de 16 ans, car bien entendu, il rend pleinement hommage à la vague d'exploitation des années 70, donc à mater avec un max de recul.



Bilan des courses, il s'agit simplement du meilleur films de Rob Zombie !
         
Dark Was The Night, Cold Was The Ground.  
 
Chronique Ciné & DVD by JMi.

dimanche 26 décembre 2010

Le Capitaine Spaulding nous explique : Vol 3.

La langue Française étant très riche, il est parfois difficile de bien comprendre toutes nos expressions. Fort heureusement dans pareil cas... le Capitaine est là !

Aujourd'hui : littérature, féminisme & Aviation.

Captain, pourquoi a-t-on appelé notre planète "Terre des Hommes" ?

C'est très simple mon jeune ami, parce qu'il était impossible de faire taire des femmes !

Merci Captain grâce à vous tout est plus clair.

mardi 21 décembre 2010

La Blague Salace du Père Freddy : Les pouvoirs du BADGE.

Un agent s'arrête dans une ferme pour parler à un fermier.
- Monsieur, je dois inspecter votre ferme pour m'assurer que vous ne cultivez pas illégalement des produits illicites.
 Le fermier répond
- O.K. mais n'allez pas dans ce champ là-bas, en pointant le lieu du doigt.

L'officier explose !
- MONSIEUR, J'AI L'AUTORITÉ DU GOUVERNEMENT (et en prenant son badge dans sa poche arrière et le montrant fièrement au fermier),
Vous voyez ça ?  CE BADGE SIGNIFIE QUE JE PEUX ALLER OÙ JE VEUX, ET CELA SANS JUSTIFICATION (hors de lui, il réitère) AVEZ- VOUS COMPRIS ?
SUIS-JE ASSEZ CLAIR ?

Le fermier hoche la tête poliment et retourne à ses corvées.

Quelques minutes plus tard le fermier entend "cris et hurlements" !!! L'officier est pourchassé par son énorme taureau. À chaque enjambée l'animal furieux gagne du terrain et avant qu'il se rende à la clôture, le taureau l'aura sûrement rattrapé. Le pauvre agent implore l'aide du fermier qui sur ce, laisse tomber ses outils et court vers la clôture en criant : Ton BADGE... MONTRE-LUI TON BADGE  !

vendredi 17 décembre 2010

La Maison des 1000 Morts... J'adore !


Si, il y a bien un film qui ne peut laisser indifférent, c'est celui-là... réalisé par Rob Zombie avec intelligence, esthétisme et méchanceté, le bougre a pensé à tout. Notre Metalleux préféré, nous invite dans son univers, pour 90 minutes outrancièrement jouissives.



Vous aimez la violence, le sang et les monstres en tout genre, n'hésitez pas à visiter le musée des malades mentaux du Captain Spaulding, hé hé... voilà comment 2 connards se retrouvent à braquer le dit musée un 30 Octobre 1977 à Ruggsville Texas (impossible de se tromper, vous prenez la nationale 1 - sortie 13) et le fait est ; qu'ils n'auraient pas dû !

Ainsi débute, ce film de barjes, mais au delà du fait qu'il ne faut jamais emmerder notre Captain adoré, le Pitch s'avère un chouïa plus complexe. En effet : deux couples arpentent les routes Américaines à la recherche de lieux insolites (histoire d'écrire un guide du routard pour débilos) et devinez où cette bande de joyeux drilles débarquent ? Bonne pioche et après une visite guidée à la station des bizarreries (grâce aux charmants wagonnets du petit train fantôme, passage absolument grandiose), les 4 amis entendent parler de la légende du Dr Satan.


Voilà le genre de truc qu'il faut vérifier séance tenante et aussitôt le spectacle terminé, ils démarrent sur les chapeaux de roues (de nuit, sous une pluie battante). Sur le chemin, ils vont dépanner une autostoppeuse ultra sexy et celle-ci... va les conduire sur la bonne piste, chaude la piste. Mais à trop vouloir chercher... on finit par trouver !



J'allais oublier, bien entendu l'histoire se déroule un soir d'Halloween ( prédilection ?) et donc, la tradition exige qu'une pléiade de personnages viennent nous rendre visite. Au programme Baby (belle, mais barrée), Mama (une vieille chaudasse déjantée), Rufus (un Golgoth), Tiny (Elephant-man sans cerveau), Grandpa (un comique sur le retour), Otis (un psychopathe sculpteur) et à ce tableau idyllique, rajoutons des Flics bien Old School. Tout ce petit monde évolue dans un fracas hallucinant et sur ce sujet, Rob Zombie apporte une vision aussi brutale, que méticuleuse. C'est bien simple, son coup de caméra frappe systématiquement où sa fait mal, à un point tel : que les ambiances malsaines flirtent continuellement avec un cynisme teinté d'humour très, mais alors très noire. D'ailleurs, ce film subira une interdiction - de 16 et sera fortement déconseillé aux âmes sensibles. 

 A l'instar (très coquin) du générique, les références aux anciens films d'horreurs (avec massacre à la Tronço 2 en tête de gondole) sont très présentes, les dialogues monstrueux, les scènes sont méga gore, les situations mortelles, la bande Son déchire, on s'marre autant qu'on flippe, c'est du grand délire, bref c'est énorme, OK j'la boucle et :  




                                    QUE LE MASSACRE COMMENCE !

Chronique ciné, DVD by JMi

mercredi 15 décembre 2010

Le Capitaine Spaulding nous explique : Vol 2.

La langue Française étant très riche, il est parfois difficile de bien comprendre toutes nos expressions. Fort heureusement dans pareil cas... le Capitaine est là !

Aujourd'hui : le langage de notaire.

Une vieille demoiselle se présente chez un notaire pour enregistrer l'acte d'achat de sa maison, récemment acquise.
Le notaire l'invite à s'installer, appelle son clerc, et lui demande textuellement :

"Veuillez, s'il vous plait, ouvrir la chemise de Mademoiselle, examiner son affaire, et si les règles ne s'y opposent pas, faites une décharge pour qu'elle entre en jouissance immédiate ! "


C'était pourtant limpide, n'empêche que l'on n'a jamais rattrapé la vieille fille !

Merci Captain, grâce à vous tout est toujours... plus clair (de notaire).

mardi 7 décembre 2010

Y'aura-t-il un autre Flic pour nous faire rigoler ?

Se faire arracher les balloches par un esquimau affamé, se faire poignarder par un cocu furieux ou glisser sous les chenilles d'un tractopelle... ça c'est une belle fin !


Le lieutenant Drebin aurait pu ajouter "nous faire mourir de rire et partir dans un dernier coup d'éclat ". C'est clair qu'il va nous manquer notre Détonateur préféré.
RIP Leslie Nielsen...

dimanche 5 décembre 2010

2012... l'aventurier des Arches Perdues !





Qui dit : Film à grand spectacle, dit Roland Emmerich. Certes, il est bien terminé l'époque des Moon 44 ou autre Universal Soldier, le faramineux Stargate a fait des petits et l'artillerie lourde va être déployée "ici' à son paroxysme ! N'ayons pas peur des mots, ce film est bluffant... c'est bien simple, j'en ai pris plein le plexus pendant 2 heures et demi.




Ce blockbuster s'inspire d'une prophétie Maya, qui stipule quand 2012 : il va sacrément pleuvoir sur nos récoltes. Mais vous connaissez les occidentaux ? Et puis, personne n'écoute des mecs habillés avec des plumeaux et encore moins, des lascars qui décapitent d'autres gars en balançant leur carcasse par delà les marches du temple en prétextant qu'ils croient aux OVNI. N'empêche que l'on aurait peut-être dû...



Sur ce cinglant avertissement, de haut-dignitaires richissimement sournois ont quand même opté pour l'assurance << on ne sait jamais >> et bon sang, que cette idée fut bonne ! C'est alors, qu'à l'autre bout de la ville. Un homme seul, abandonné par sa meuf et ses gniards va découvrir l'horrible vérité. Nos hommes politiques seraient-ils au courant ? Que mijote l'armée dans un endroit aussi désertique ? Et pourquoi Woody Harrelson interprète t-il encore un dingue ? Autant de questions qui vont rester sans réponse, sauf, si comme moi, tu as vu et revu 2012, bonus compris !


Au programme : des explosions, des séismes, de la roche en fusion, des villes ravagées, des gens qui hurlent, des bagnoles vaporisées, la terre qui se fissure, l'océan qui engloutit un continent, un homme qui aime sa famille et de très très beaux morceaux de bravoure (à l'Amerloque). Alors, tu vas me lancer d'un air narquois un << ouais comme d'hab >>, mais non "pas comme d'hab" pauvre ramolli du bulbe à cause de projections répétées de la trilogie de Nacho Cerda qui t'auront probablement désintégré les neurones. Non "pas comme d'hab" mais comme d'hab en vachement plus fort, que dis-je, en méga plus fort. L'esprit Américain sonne la charge sans concession, les situations sont hallucinantes, les réparties font rires (ou d'la peine et en VF c'est pire), il y a toujours le petit truc en plus (qui gonflerait même le dialoguiste de Max Pécas) dès que la famille est sauvée, des milliers de gens meurent dans d'atroces souffrances (mais ouf, les animaux n'ont rien) et enfin, les clichés pleuvent à foison. Sauf que de mon blabla franchouillard : on s'en bat les burnous. Alors, ne cherches pas midi à quatorze heures, tu enclenches la bête, tu t'assoies et tu prends une bonne dose d'Emmerich & célèbre dans les naseaux !




Non, chers Tronçomaniaques, 2012 ne sera pas l'année de la loose, car avec cette magnifique distribution : John Cusack (en reporter qui aime sa femme), Amanda Peet (voilà pourquoi, il aime sa femme), Danny Glover (en brave Président), Woody Harrelson (en barjot prophétique), Chiwetel Ejiofor (en scientifique pugnace), Liam James & Morgan Lily (en enfant super courageux), Thandie Newton (en fille canon du Président) et Oliver Platt (en arriviste qui ne l'est pas), ça ne pouvait qu'alimenter la grosse vague !





Bilan des courses, le Blu-Ray est d'un réalisme à couper le souffle, les bonus sont explicites et si vous n'êtes pas d'accord avec ma Chronique, j'vous préviens... je n'attends pas 2012 pour ouvrir les robinets.



Chronique Ciné, DVD & Blu-Ray.

samedi 4 décembre 2010

Minority Report - Devin sur 20 !



Seriez-vous d'accord pour un système qui emprisonnerait les criminels avant leur crime ? Oui, non ? Pourquoi pas ? Et si le système... se trompait ?



Revoir un chef d'œuvre en l'occurrence de Science Fiction c'est bien, mais avec le génialissime Steven Spielberg aux commandes, c'est mieux ! L'intrigue se déroule dans un futur proche, la société affectionne un système d'anticipation grâce à la vision de 3 Précogs. Il s'agit en fait de 3 devins (le comment du pourquoi est parfaitement expliqué dans le film) pataugeant dans une solution laiteuse et quand ça tourne au demi-écrémé : un meurtre se prépare ! Alors, la vision se concrétise (via un enregistrement) par un ordinateur qui rabote des boules de bois et si elles deviennent rouges, ça sent le pâté. Sur les billes, il est signifié 1 ou 2 noms et d'après les infos collectées par le même ordi, un écran géant projette des images où s'incrustent moult indices. A ce moment un technicien équipé de gants spéciaux, décale ces mêmes séquences, en cherchant le détail qui va éclairer la section d'assaut sur le lieu du meurtre. Bien entendu, les policiers arriveront à maitriser le suspect avant son méfait et (trop fort), personne ne sera assassiné.  

Voilà comment débute Minority Report, mais n'oublions pas que le scénar s'inspire d'un bouquin de Philip K Dick donc, l'ambiance va rapidement se compliquer. Il y aura même un dérapage à 180 degrés, obligeant une restauration philosophique. En effet, que va t-il se passer quand un meurtre sera pressenti et que la dite "exaction" devrait être commise par un éminent officier de l'Unité Précrime, alors que celui-ci n'est au courant de rien ? Sur cette question existentielle, le spectateur est pris directos à la gorge et à témoin par un système qui ne s'avère pas encore parfait, d'ailleurs est-ce que la perfection existe ? 

Ok j'la boucle, car j'en ai presque trop dit. Soyez certain que ce film est une bombe avec en plus, une distribution de maboul : Tom Cruise en flic torturé (à cause du décès de son fils), Colin Farrell en agent du ministère de justice (avec des dents qui rayent le parquet), Max Von Sydow en Big Boss, Kathryn Morris en ex de Tom, Samantha Morton en Précog sexy et une horde de seconds couteaux à la tonton Steven.


Passons maintenant à l'image et au Son, car le Blu Ray est une pure merveille. Je citerais en prem's la ville où circule des bagnoles hallucinantes qui montent sur les murs et qui turbinent à 200 Km/h (faut le voir pour le croire). En 2) le passage avec les araignées métalliques "tout simplement énorme", enfin les explications de Lois Smith dans sa serre entourée de plantes étranges et encore, je simplifie (comme un saligaud) histoire de vous mettre l'eau à la bouche. Alors, pour ceux qui n'auraient pas vu Minority Report (ou pas vu dans de bonnes conditions), l'achat du Blu Ray s'impose et pour ceux qui n'ont pas de lecteur BR, le DVD démonte furieusement.

                           
Si vous faites les marioles, j'expédie des boules rouges à Thierry Beccaro !

Chronique Ciné, DVD, Blu Ray by JMi.

vendredi 3 décembre 2010

Happy Birthday Mon Fredo !

Fred aime Le Ring, Pink et l'ordre, à un point tel que son grand rêve serait d'être l'équipier des Mamies de nettoie tout sur M6 ! D'ailleurs, il voue un culte inénarrable au tube cathodique et prouvant à mainte reprises sa valeur, il rencontrera son épouse sur le jeu Tourner Manège. C'est bien simple : en moins de 3 questions, la belle fut séduite et depuis... c'est Fred The Best qui lui fait tourner la tête !


Mais ne résumons pas en quelques lignes une magnifique carrière, car à l'instar de nombreux adeptes... nous le savons aujourd'hui, peu d'élus parviennent à entrer dans la légende et c'est ainsi que notre valeureux cynophiles sillonnera les terres de l'hexagone en laissant une trace indélébile à la croisée des carrefours. Surnommé le Chti Rex, puis l'Attila du retour d'esquive ou encore le Toiletteur à 6 branches, l'ami Fred gagnera haut la main les galons du respect. De plus, fin philosophe, nous lui devons la sublime réflexion <<il ne faut jamais se disputer avec une femme qui nettoie ton  parachute >> et bien entendu la fameuse doctrine << qui vole un bœuf est vachement musclé >>. A cela, n'oublions pas de rajouter qu'il possède une solide culture général et toute la disco des Villages Peoples. Comme vous pouvez le constater, l'homme est beau, polyvalent et autonome. Autant dire que de nombreuses personnes aimeraient compter Fred parmi leurs plus cher ami, et bien nous... ce n'est plus un rêve !

  Joyeux anniversaire mon Fredo. 

jeudi 2 décembre 2010

WANTED - C'est ton Destin !


Réunir Angélina Jolie, Morgan Freeman, Terence Stamp et le jeune premier James McAvoy, pourquoi pas ? Mais, assurer l'ensemble par un scénario bien bourrin sorti directos d'une BD de renom, là... j'me frottais les mimines !

Par où t'es rentré, on t'a pas vu sortir...


De plus, avec un pitch alambiqué (mais pas trop), le réveil d'un héros (possédant une gueule d'un mètre de long, du style ; avant j'avais une vie de merde comme toi) et une fin qui tente de nous faire réfléchir (parce qu'on est pas trop con quand même), ce film aurait dû être génial (snif), alors qu'il n'est que sympathique ! Et pourquoi ça, me hurle un habitué des tirs en rafales ? A cause d'une adaptation cinématographique totalement à côté de la plaque, allez hop, on oublie la BD et on s'penche sur un truc nettement plus visuel. OK, ça voltige, ça s'prend pour Matrix et les gestes de bravoure vont pleuvoir, comme : balancer un bon coup de clavier de PC dans la tête d'un gland en inscrivant Fuck You avec les boutons dans le ciel ! Ouais trop fort, mais ce n'est que le début... des courses de bagnoles dans le ciel également, des coups de flinguesss (il faut bien 3 s à flingue), d'la baston made in Shaw Brothers et bien entendu, le tour de magie façon Myamoto Musashi avec les fameuses mouches, certes... ça faisait longtemps.



Dans ce maelstrom de bonnes idées, il ne restait plus qu'à accoucher de "l'intrigue qui tue" et la voici : Wesley Candia est un mec chiant à mourir (il boit du lait, le con...), mais ce n'est pas grave, car dans ses gènes coulent le sang d'un terrifiant tueur à gage (hérité de papa). Il va être recruté par une organisation, mais le malheureux ne sait pas qu'il est un Killer en puissance, du coup il va morfler grave sa mère, parce que ses formateurs sont de vrais furieux. Mais après quelques leçons accélérées, il va ressusciter et là, le véritable Wes the Best va expliquer au monde des vivants, qu'il ne faut pas le gonfler après la sieste. A cela, il faut ajouter une fabrique avec un métier à tisser pour le moins space, des snipers qui dévient les balles (si c'est possible, j'ai essayé et après, un litre de rouge - j'y arrive au Golf), des méchants qui sont gentils, des cascades efficaces (celle du train et de la fusillade au château tabassent joyeusement) un James McAvoy qui donne tout, une Angelina a détourner un moine Shaolin de la voie de la sagesse et un Morgan Freeman aussi concerné que Bibi pour le cours du CAC 40 et hop, emballé c'est presque pesé !



Alors, en ce qui concerne l'image. J'ai acheté le Blu Ray et y a pas photo, ça le fait. Le Son décolle le papier peint, les effets spéciaux sont impressionnants, le film balance du Mach 2 sans débander et la zique caracole entre Danny Elfman & Nine Inch Nails, donc ça twiste. Bilan des courses : si tu cherches une adaptation follement Hard de la BD ou un truc qui force à la réflexion, trace la route.



Par contre, si tu cherches un endroit pour pauser ton cerveau, bienvenue au club.

Chronique Ciné By JMi.

mercredi 1 décembre 2010

Happy Birthday Sylvie !

Hey Sylvie : ce texte est pour toi !





Sylvie est cool, Sylvie est super !
Sylvie habite dans le Sud, mais elle est quand même sympa.
Sylvie est douce, Sylvie est intelligente
Sylvie est une bonne cuisinière, elle fait des supers repas.
Nous aimons tous Sylviiiiiiiie
car elle est dans la place et c'est la meilleure !


Ici en voyage à Lourdes, alors il n'y a plus de doute... c'est une Sainte !   
Joyeux anniversaire ma poule.

Un Big Merci aux Sticky Boys.

lundi 29 novembre 2010

GLADIATOR... L'Espagnol ! L'Espagnol !



Comme beaucoup, je faisais le pied de grue dès sa sortie en salle. Puis, coup de bol... j'ai eu la chance de mater Gladiator dans des conditions pour le moins inoubliables. En effet, je fus invité à une projection de nuit et à ciel ouvert dans les vestiges de l'ancienne cité Gallo-Romaine d' Argentomagus hé hé, ça : c'est le genre de truc que l'on n'oublie pas !
 

J'm'en lave les mains du poste de chef !

L'événement m'avait traumatisé et franchement, je ne pensais pas retrouver l'intensité de ce film dans d'autres conditions. Je me trompais sévèrement, car le Blu Ray dans la version longue dégomme son légionnaire. Primo, l'image demeure fidèle au DVD (un chouïa mieux), mais le Son (surtout en VO)... houlà la . Secundo, quel film, bon sang quel film !
 


Sur ce, passons au pitch : Le général Maximus prépare son armée pour une ultime bataille. Il fait froid, l'air parait aussi irrespirable que tendu et l'empereur Marc Aurèle toise l'endroit d'un regard imperturbable. Soudain, quand le messager sans tête déboule dans le camp Romain, ses guerriers implacables comprennent que la confrontation est inévitable. Bilan des courses Rome 1 Germany 0, ce premier choc visuel scotche littéralement le spectateur au fauteuil et pourtant, il ou elle n'a encore rien vu.


Frime pas... moi aussi j'ai fait des cascades quand j'étais jeune.


Félicité, pour toutes ses victoires, l'empereur (visiblement fatigué par moult Campagnes) propose au valeureux Général de gouverner à sa place. Celui-ci refuse poliment, en prétextant qu'il n'aspire qu'à une urgence "retrouver sa femme et son fils", mais jaloux comme un pou, le vil Commode (qui ne l'est pas en fait) assassine son père en lui faisant porter le chapeau, le casque plutôt et dans la foulée, il envoie une escouade buter toute sa famille. Maximus échappera aux Prétoriens, mais arrivera trop tard et n'empêchera pas le massacre. De plus, grièvement blessé, il va être récupéré à demi-mort par un marchand d'esclave et revendu à Poximo un ex Gladiateur. Celui-ci organise des joutes particulièrement féroces où les combattants sont attachés 2 par 2, pire... certains novices sont triés pour être immédiatement confrontés à de véritables tueurs. Sauf que notre ami Maximus tranche, sectionne, transperce, étête et élimine chaque kamikaze qui ose le défier. D'ailleurs, il ne se nomme plus Maximus, mais l'Espagnol. Devant autant de détermination, Proximo n'a guère d'alternative, il doit illico le présenter comme un big challenger au Colisée. Grâce à la bonté de l'homme, il retrouvera de vieilles connaissances et croyez moi, ça va chier gravos !


 
Les Scènes dans le Colisée sont stupéfiantes !
 

Ok j'la boucle, sait-on jamais ; peut-être qu'un mec aillant dérivé sur un radeau ou muté sur la banquise n'a pas vu ce chef d'œuvre. Pour les autres, c'est pain bénit : Ridley Scott aux manettes, Russel Crowe & Joaquin Phoenix en frères ennemis, Richard Harris & Oliver Reed en gentleman, sans oublier la sublimissime Connie Nielsen dans le rôle de Lucilla (soeur de Commode), que du lourd et que dire des seconds rôles ? De l'ultra lourd ! Rajoutons un scénar béton, des bastons à couper le souffle, des images hallucinantes, un finish à briser le cœur d'un sociopathe et le tout escorté d'une zique de folie.



    Alors caresse ton chien, frotte toi les mains, enquille le Skeud et déclenche les enfers !

Chronique Ciné by J-Mi.

dimanche 28 novembre 2010

La Blague Salace du Père Freddy : Le grand-père vient de décéder.


Le petit-fils va présenter ses condoléances à sa grand-mère de 90 ans et trouve sa Mamie en larmes : Il la prend dans ses bras et la console. Un moment plus tard, la voyant plus calme, le petit-fils en profite et lui demande
- Mamie, comment est mort papi ?...
- C'est arrivé en faisant l'amour, lui confesse la grand-mère.

Le jeune garçon lui répond :
 - Mamie, les personnes de 90 ans ou plus ne devraient plus faire l'amour car c'est très dangereux !!!
Mais la grand-mère lui explique: - Oh, tu sais... nous étions prudents et nous le faisions seulement le dimanche, très calmement, au rythme des cloches de l'église :
" ding " pour la mettre, " dong " pour la sortir...
- Et que s'est-il passé, Mamie ?, demande le petit-fils ....

- Tout se passait pour le mieux, quand soudain !!!! Le marchand de glaces a déboulé en agitant frénétiquement sa clochette !!!!!