lundi 31 janvier 2011

Championnat du Monde de Handball.


                 T'oublies Grissom, Mac & Horatio... les vrais Experts sont Frenchy's.
Superbe équipe, super jeux, supers mecs, soit :  La Big Classe. Après avoir Tronçonné quelques paires de cornes de ces satanés Vikings, il rapporte la gamelle en terre Sainte. Un seul mot : Respect !

samedi 29 janvier 2011

IP MAN - La Légende en Blu-Ray.



Cette fois, il est bien terminé le temps des péloches de bastons sans queue ni tête, des kilomètres de coups de Nunchak dans la face qui ne laissent pas de trace, des records où des mecs sautent 3 mètres de haut sans élan et qui se font transpercer avec le sourire. Je sais que nous allons tous pleurer... mais tant pis, car HK passe la seconde et propose en Blu-Ray le Best of the Best des films de Kung-Fu. Mieux, un passage dès plus épique axé sur la vie d'un Maître expert en Wing Chun. Alors, pouvons-nous évoquer le sacro-saint mot de Biopic ? Je ne sais pas. Ce que je sais, c'est que nous plongeons tête la première dans cette aventure aux senteurs de gloire, d'honneur et de sang !

              Ils étaient venus pour faire du petit bois, mais ça c'est terminé en Bûche !


L'histoire se déroule dans les années 30 , Maître Ip-Man arrive à Foshan, une ville Chinoise fortement réputée pour ses écoles d'Arts Martiaux. Il va bien entendu être sollicité, mais également défié par les furieux locaux. Conscient de son travail, l'homme en a vu d'autre et sa technique n'a d'égale qu'une philosophie aussi saine.. qu'efficace. Homme tranquille avant tout et refusant d'enseigner son art, le Maître reste dans sa somptueuse maison en compagnie de son épouse et de son fils. En clair, sa vie se veut paisible... jusqu'au jour où !  



Véritable fresque alternant scènes de combat époustouflantes et scènes de combat pour retrouver sa dignité. Autant dire que le film de Wilson Yip n'est vraiment pas banal. En effet, loin de tataner non stop sur 90 minutes, il revisite un passage traumatisant, celui de l'invasion Japonaise. Alors, si l'on pense à la Fureur de Vaincre (en sachant que Ip Man fut réellement le Maître du petit Dragon) ou l'excellent Fist Of Legend avec Jet Li, nous voyageons en terrain connu et pourtant... un scénario blindé, précis et particulièrement intéressant (quasi en 2 parties) apporte un incroyable plus. A cela, s'ajoute une mise en scène calibrée, des acteurs classieux et des décors vraiment impressionnants. Bref, j'ai déjà regardé ce film plusieurs fois et je ne m'en lasse jamais.

                             
                                         Donnie... un ptit Air de Big Boss



Enfin, pour quelqu'un (comme Bibi) qui bouffe des films de castagne depuis sa tendre enfance, il faut bien reconnaître, que la surprise n'est pas toujours au rendez-vous, mais là : il ne s'agit pas d'une surprise, mais bien d'une Big Torgnole. A un point tel, que même un cinéphile détestant les films de Karaté ou d'action en général pourrait y trouver son compte. Et pour les purs & durs, que dire de la confrontation avec le Boxeur du Nord (épée contre plumeau) ? De la boucherie dans le Dojo (contre 10 gaillards quand même) ? De la démonstration au bâton long dans la fabrique ? Et bien évidement la confrontation finale ?

                                      Je n'ai qu'un mot, ENORME !


Bilan des courses : l'image du Blu-Ray est monstrueuse, le Son est impeccable, la Zique prenante et les joutes sont d'un réalisme hallucinant. Tellement réalistes, que je me suis éloigné de l'écran de peur de ramasser un bourre pif ! Frère d'arme, si tu ne dois ranger qu'un seul film de Kung-Fu à côté de ton coffret Bruce Lee, c'est celui-là.  


Chronique Blu-Ray By JMi.

mercredi 26 janvier 2011

INCEPTION... Dans tes rêves !



N'ayant pu admirer ce Blockbuster sur la toile, j'attendais l'édition Blu-Ray avec l'impatience de Freddy Krueger face aux dérives d'une somnambule accro aux somnifères et pour cause : Fort d'un prestigieux Prestige et d'un Dark Knight plus sombre que la grotte de Batman, Christopher Nolan enchaîne avec un parpaing en haute définition !


Oh non... pas le vieux coup d'la savonnette ?

Au programme : une mise en scène de folie, un Son de dingo et une histoire alambiquée qui s'installe progressivement, en voici un pitch ultra condensé << Un biseness-man Japonais demande aux Extracteurs (une équipe de spécialistes en vols d'informations) de pénétrer dans les rêves d'un rival pour l'influencer dans ses décisions >>. Vous l'avez capté, nous nageons dans les méandres d'un bon vieux film de Science-Fiction... mais pas seulement, car tour à tour explosif, planant, flippant ou complètement déroutant, rien ne sera épargné aux spectateurs.


La Môme sweet Home...
 
Premier point, il est clairement déconseillé de tourner la tête une demi-seconde, car c'est un coup à disjoncter. Second point, le scénario s'avère d'une précision chirurgicale et même dans les passages où les Extracteurs développent différents types de niveaux (dans leur sommeil), l'écriture reste limpide et surtout, les multiples rebondissements apportent une dose d'adrénaline non négligeable. Bref, malgré un scénar à embourber un énarque, ça décape non stop !

Troisième point, les acteurs : Casting impressionnant pour un film impressionnant, soit L Di Caprio, Ken Watanabe, Marion Cotillard, J Gordon-Levitt, Ellen Page, Tom Berenger, Tom Hardy (le futur Mad Max), Michael Caine, Cillian Murphy etc... que des monstres avec un Bonus à Ellen Page qui m'avait bluffé dans Hard Candy et qui une fois encore irradie la toile.


Léonardo en mode silencieux...

Alors, qui dit Blockbuster, dit "passages spectaculaires" et les effets spéciaux (judicieusement placés) vont carrément te coller au siège. Mieux, les scènes d'actions (dont une en apesanteur) sont à couper le souffle et histoire d'enfoncer le clou, l'image demeure absolument sidérante. De plus, quand un réalisateur s'attaque à un film ayant comme leitmotiv "les rêves", nous ne pouvons qu'agripper son déroulement ou le subir. Evidement, sur le même thème, on pense à Dreamscape, The Cell ou encore les Griffes de la Nuit qui avaient magnifiquement exploré le concept à leur époque, mais cette fois, le niveau est très très haut. Ensuite quand on évoque la substance, on pense à Matrix pour le délire, Mission Impossible pour l'espionnage et l'ensemble défouraillant en un finish à la James Bond.


 Personne n'est plus fort que la Leffe Triple
 
Bilan des courses : Flash-Back, labyrinthe, décalage, fusillade, poursuite, revirement de situation, clin d'œil à la Môme et zique qui envoute pour une bonne grosse crampe au cerveau de 148 minutes.

PS : pour apprécier pleinement ce film, il est vivement indiqué de le mater dans les meilleurs conditions. Sur ce, bonne Inception !

Chronique Blu-Ray, DVD By JMi.

vendredi 21 janvier 2011

Blast-Man nous présente le Scoop qui tue Vol 2.



Une étude scientifique a formellement prouvé qu'il n'y aucune différence entre les hommes et les avalanches ! En effet : selon une étude rondement menée... plus de 1 000 femmes auraient déclaré :

- on ne sait jamais combien de centimètres il va y avoir, ni combien de temps ça va durer !!!

mercredi 19 janvier 2011

GHOST RIDER... Le Blu-Ray On The Storm !



Hué, sifflé, défenestré et trainé dans la boue, le Ghost Rider de Mark Steven Johnson n'avait franchement pas fait l'unanimité à sa sortie en salle. Alors pourquoi tant de haine ? Etait-ce dû au plantage de certains films de Super Héros ? Certes pas facile de mettre en scène les idoles de notre enfance, pas simple d'écrire un scénar collant aux personnages et surtout où trouver les acteurs possédants le charisme nécessaire ? Du coup, après la sortie DVD, les bouffeurs de galettes étaient en droit de se demander si le Blu-Ray et sa version director's cut allait enfin... apporter l'absolution ?


Vous l'avez compris, tiré d'une BD de la Marvel Comics, il va de soit que le pitch est alléchant : Un cascadeur vend son âme au diable pour sauver son père de la maladie, mais avec le grand cornu... il faut faire gaffe et notre héros va découvrir le prix d'un tel contrat. Il sera contraint de tout abandonner, ce qui comprend son cirque, ses potes, sa copine (Eva Mendes quand même !!!) pour devenir un fou furieux de la bécane qui voltige en kamikaze le jour et en Ghost Rider la nuit. Soit, une sorte de chasseur de prime qui traque les criminels au service de l'enfer. En somme tout allait pour le mieux, quand soudain, un héritier peu commode (fraichement débarqué du purgatoire) se révélera en sérieux prétendant !


Alors même si le script lisse beaucoup (beaucoup) trop l'original, il reste heureusement un mixe << d'action et de romantisme >> transporté sur des effets spéciaux aussi cools que prévisibles, après est-ce suffisant pour le fan de base ? Bien sur que non :


- a) La distribution, car il faut de sacrés acteurs et là ; je suis très partagé. Autant Sam Helliot en vieux Ghost, Peter Fonda en Méphistophélès (énorme et beau clin d'œil au Biker inoubliable), Eva Mendes en Roxane (sexy à souhait, mais qui en fait des tonnes), Wes Bentley en Black-Heart (bien flippant) et une escouade de second-rôles plutôt Fun, tu te dis ; ouais pas mal. En fait, seul Nicolas Cage ne m'a pas convaincu. Déjà sa coupe de tif ? Enfin bon... mais le mec n'est pas assez torturé pour enfiler le perfecto et croyez moi, ça m'emmerde d'écrire ça, car d'habitude j'apprécie ses prestations. Sauf que j'ai eu beau re re mater ce film, pas moyen d'imaginer le Ghost sous ses traits. Il aurait fallu un inconnu pour le rôle, un mec à la gueule cassé, un déchiré, un Metalleux habité et surtout pas un beau garçon dans sa combinaison en cuir neuve qui ne sait pas aligner 3 mots.

- b) N'oublions pas que Johnny Blaze a vu le Diable, ça doit te marquer comme expérience et là encore, les dialogues auraient dû subir cette rencontre. Sauf qu'au bout d'une demi heure, c'est le spectateur qui subit des répliques (dont une avec Eva Mendes sur l'explication de son état et si j'osais, de sa conduite) absolument grotesques.






- c) Les incohérences : dont une belle, la rencontre où le vieux Ghost soigne Johnny qui a pris un coup de surin (étrangement son cuir n'a pas une égratignure) juste après, il se prend un max de pruneaux et ça baigne, j'ai pas capté le message.

- d) La Zique : il nous fait quoi MS Johnson ? Il aligne des cascades de ouf, en plaçant un titre comme Crazy Train d'Ozzy et ça pète tel un mp3 téléchargé dans une cave ! Et puis, qui ne s'attendait pas au titre de Johnny Cash (qui n'arrivera jamais) sur l'explication du début ? Et que dire sur le saut par dessus les hélicoptères ? ô surprise... Wagner !

- e) On aurait aimé : après l'arrivée d'Earth, Wind & Fire une baston mémorable, des confrontations plus brutales, une mise en scène plus Hard et un scénar plus complexe. Sans oublier le finish où les Ghosts partent ensemble et tu te dis << les 2 ensembles ça va chier >> et ? Rien, nada, ils se séparent et chao !!!!





Alors que reste t-il ? Fort heureusement, il y a le Director's cut un chouïa plus rugueux, de bonnes vieilles cascades et quelques passages franchement spectaculaires, celle où le Ghost enquille un pont, puis un building par exemple. Du coup, ça fait toujours plaisir de se passer le film en HD, parce qu'au niveau de l'image... ça flingue.


Bilan des courses : l'envie d'acheter le Blu-Ray sera mitigée. Les amateurs (pas trop regardant) de super héros ou les curieux  apprécieront, les purs & durs critiqueront. Voilà donc un Blu-Ray sympa, sans prise de tête, mais pas vraiment transcendent, le genre de galette à récupérer d'occas (ou en solde) et à ranger dans sa collec pour l'avoir, soit : un Ghost Rider mis en Cage... pour mieux ressurgir dans une suite qui je l'espère sera plus couillu, plus Dark et surtout plus bourrin !



Ceci dit, je referme la porte.  Yippie Yi Yaaay... Yippie Yi Oooh !

Chronique Blu-Ray By JMi.


vendredi 14 janvier 2011

Heavy un jour... Heavy Toujours !

                      
                                CAMARADE DE FORTUNE ACCEPT CETTE OFFRANDE !


Blood Of The Nations propose un travail de guitares énormes, un chant puissant, une assise Basse-Batterie monstrueuse, des cœurs bien poilus et une Prod à la Andy Sneap qui fait plaisir. Soit plus d'une heure en tête à tête avec la bête, Msieur Wolf Hoffmann vous nous avez gâté !

Chroniqué sur le Chant du Grillon à la rubrique : Albums Incontournables.

mardi 11 janvier 2011

The Expendables, le retour des 7 Sa... lopards !


Ils sont 7 : Barney, Lee, Yin, Toll, Hale, Gunnar & Tool (hélas à la retraite). Ils sont des mercenaires au grand cœur, ils sont fous furieux, ils conduisent des bécanes d'enfers, ils sont tatoués, vaccinés, ils aiment le Rock'n'Roll et n'hésitent jamais à se bastonner à l'ancienne, car en fait... c'est bien de cela qu'il s'agit, soit : un film d'action bien Old School avec des héros qui en imposent !
 


Merde... qu'est-ce que j'fous avec Rambo et le Transporteur ?

Autant être clair d'entrée de jeu, j'ai adoré The Expendables et cela de la cave au grenier. Il y a tout dans ce film, enfin il y a tout ; pourvu que l'on aime ce type de film. C'est à dire, un truc bien bourrin qui décalamine, qui défouraille, qui bombarde et qui ne s'excuse pas ! D'ailleurs le scénar est taillé sur-mesure : une île d'Amérique du Sud, un dictateur, des trafiquants et un groupe de furieux pour faire le ménage.



A cela, il faut rajouter  : 2 belles filles à sauver (une de l'oppression, l'autre d'un sombre connard), + une mission commandée par un mec plutôt space, sur ce sujet << le dialogue Bruce Willis, Sly et Schwarzie vaut son pesant de testostérone  >> et enfin, ne pas oublier de réunir un casting de malade pour un film de malade. Nous l'avions rêvé, Sylvester Stallone l'a fait !

Hors mis, les scènes ultra spectaculaires. Sly n'a rien négligé, décors Tip Top, grosse carrosserie, Zique qui dessoude et même les dialogues furent savamment orchestrés. D'ailleurs, nous frôlons souvent les sommets de la vanne atomique, extrait : (le Boss) comment 2 Pros ont pu passer la sécurité, flinguer 41 soldats et réussir à filer ? Avec de l'aide bien entendu, celle d'une jeune fille qui espère voir son père et ses acolytes 6 pieds sous terre... du mauvais Shakespeare ! (Le dictateur) On ne tue pas sa famille, et le boss de répondre venez passer les fêtes chez moi.




Z'en voulez une autre ? OK, Gunnar balance un pain maousse à Gary Daniels en lui éructant à la gueule une vanne inoxydable << la vie est une grosse blague et si tu ne veux pas que ta vieille moustache retourne dans les années 60, il va falloir montrer un peu de respect >> puis se tournant vers Steve Austin en le braquant d'un énorme calibre, il lui balance un << tu veux un lifting mon garçon >>. Alors outre le fait que Steve Austin ne vaut pas 3 Milliards, les répliques accumulées sur cette heure quarante colmatent le découvert. Pour le reste, je ne vous fais pas un dessin, car c'est du lourd !



Une mise en scène méga rythmée (qui ne plaira pas aux esthètes), des combats Shaw Brotherien (Corey Yuen en tête de gondole) à l'image du passage où Jason Statham & Sly carburent les militaires en compagnie de Gisele Itié et que dire des combats dans le dépôt souterrain ? Un mixe énormissime entre Kung-Fu (à la Bruce Lee) et un truc barbare bien réaliste.



Naturellement, quelques petits hommages aux grands standards ne seront pas oublier comme : les 2 éclaireurs sont ornithologues tel un Christopher Walken dans les chiens de guerre (film monstrueux à voir absolument), un Mickey Rourke embarqué dans l'un de ses légendaires speech ou un Dolfi encore plus déjanté que d'habitude (c'est lui, le vrai Punisher et y a pas photo). Bref, il n'y a aucun temps mort, Jason Tatane, Jet Li et autres Free-Fighters  annihilent en un clin d'œil toute une armée, mais l'escarre de la plus belle cicatrice revient à Terry Crew qui possède un must de pétoire et ça, c'est très très fort !



Bilan des courses : un nouveau film de Stallone c'est comme un nouveau Skeud d'AC/DC, tu sais ce qui t'attend et tu n'es jamais déçu !


PS, n'ayant pas vu le film en salle, j'ai acheté illico le Blu-Ray et sans aucun doute, l'unité spéciale demande du bon matos pour l'apprécier à sa juste valeur, donc un bonne téloche et un gros ampli ne seront pas de trop. De plus, l'image tient vraiment la route (un peu trop, tant les scènes gores en deviennent cartoonesque), quant au Son ? Il tue sec et net !




Amateur d'Actioners burnés, ce film a été fait pour toi. Vivement la suite...

Chronique Ciné, DVD, Blu-Ray By JMi. 

lundi 10 janvier 2011

Le Docteur Lecter nous met en garde !


Aujourd'hui : Evaluons ensemble les symptômes étranges des fêtes de fin d'année.
En effet, si certains souvenirs restent flous les lendemains de fêtes et si comme beaucoup, tu cherches à comprendre afin de maîtriser la situation. Il y a fort à parier que tu trouveras de multiples explications grâce au fabuleux lexique du Dr Lecter. 
Pieds Froids & Humides.
 - Un classique, ton verre est incliné sous un angle incorrect. Il faut le faire pivoter, jusqu'à ce que la partie ouverte soit vers le haut.
Pieds Chauds & Mouillés.
Erreur de trajectoire, car tu t'es uriné dessus. Rien de bien méchant, va vite te sécher ou mieux, changes de chaussures.
Le Comptoir en Email Blanc.
- Perdu ! Tu n'es pas sorti des toilettes... demande à un pote de t'indiquer la bonne direction.
Pas de verre à l'horizon depuis des plombes.
- Pas de panique, il suffit simplement de se retourner et hop ! Comme par magie ton verre est la depuis au moins une demi heure.
Le Grand Mur est plein de Lumière.
- Il s'agit d'une illusion d'optique, car tu es sur le dos plaqué au sol. Il suffit simplement de retrouver ton équilibre et les lumières disparaîtront.
Je Vois des Formes Etranges.
- Cette sensation survient, quand couché sur une table, tu regardes à travers un verre vide. Là encore rien de bien terrible, il suffit de se placer devant un plein.
Le Sol se Dérobe sous mes pieds.
- Appelé aussi, le syndrome de lévitation involontaire. A cela, rien de mystique, il s'agit de 2 potes qui te transportent. Demande si quelqu'un peu t'héberger pour la nuit.
Pourquoi les extra-terrestres me regardent.
- RAS pas d'ET à l'horizon, il s'agit de ton reflet dans la cuvette des toilettes. Relève toi, fièrement et pas un mot, de toute façon, peu de personnes vont te croire.
Le dialogue à l'écho mystérieux.
- Rien d'anormal, il arrive qu'à force d'écouter ta belle mère, tu aies bu plus que de raison. Ce symptôme apparait après la bûche (vers 1h,1h30), les signes avant-coureurs sont les suivants : les mots qui sortent de la bouche de cette personne sont en décalage avec ses lèvres. Puis, les mots retentissent par bribes avant de se fracasser en écho. Attention, prudence avec la bûche si celle-ci est au Grand Marnier.
Toute ma famille à l'air bizarre.
 - La encore un classique, tu t'es trompé de maison hé hé, tu n'es pas chez toi, donc tout va bien. Demande au plus sympa d'appeler un proche.

Enfin dernière recommandation : n'oublie jamais que personne n'est plus fort que la Tequila. La preuve, pour quelques mets aussi savoureux que "le foie accompagné de fèves au beurre", rien ne vaut un excellent Chianti...

mercredi 5 janvier 2011

2011 : Sex, Ring and Rock'n Roll !

Chers Tronçomaniaques, un big merci pour vos encouragements et devant autant de motivation, nous devions réagir ! Du coup, on va passer la seconde et donc au programme : un max de chroniques, une sélection de Skeuds, des blagues à 3 euros, le Pire to Pire (et là, il y a du lourd), Nanar à gogo, les films qui craignent, l'info Blast-Man, la Toile qui toise, les Sports qui décalaminent et comme promis, quelques photos inédites de mes pérégrinations cynophiles, car oui Tronço-Mag a pour but de réunir Cynos & Cinéphiles. Alors en attendant ce miracle, nous vous adressons nos meilleurs vœux pour cette année 2011.

Que votre chaîne reflète votre détermination, soit : longue, affutée et bien tendue !