mercredi 30 mars 2011

HIGHLANDER... It's Kind Of Blu-Ray !



Après le Collector, enfin le Director's Cut en Blu-Ray et ouille, voilà une série qui a largement cautionné le fait, qu'il faut toujours privilégier les fondamentaux. Alors, que celui qui a proclamé : qu'à la fin, il ne peut en rester qu'un ! Soit entendu, car nous allons garder celui-ci et concasser les autres à la masse d'arme.

Le King du Kilt !

Holà fougueux guerrier, ne détruit pas tes précieuses galettes et compares les au cultissime 1er film, car certes, le Highlander premier du nom, nous offre un pitch plutôt bien pensé : un Immortel du nom de Conrad Mcleod traverse les âges en croisant le fer contre ses congénères. En effet, selon la loi des Immortels "seul le dernier gagnera la timbale", donc, pendant des siècles, une pléiade de combattants vont s'affronter sur le globe. Mais, un Ecossais formé par un Maître d'épée Espagnol particulièrement coriace devra faire face au plus furieux de tous "le Kurgan". Soit, un guerrier aussi Technique que Rock'n'Roll, qui n'hésite jamais à trancher dans le vif et accessoirement à voler la vedette.

T'as pas une tête de Porte-bonheur...

Pour un tel film, il fallait une pointure aux manettes et c'est un Russell Mulcahy fraichement auréolé d'un Razorback époustouflant qui va étêter les esthètes. Mis en scène avec talent, tact et avant-gardisme, ce First Lander n'aura (hélas) jamais une suite lui frôlant le kilt. Ma fois, avec une Bande Son signée Queen, un casting explosif << Christophe Lambert, Sean Connery, Clancy Brown, Beatie Edney, Roxanne Hart >>, des décors monstrueux, une intrigue teintée de romantisme qui ne lâche rien et l'ensemble se voulant fonctionner tel un assemblage de Clips aussi percutants que visuels, ça ne pouvait que cartonner !


Alors, un Big Clip OK, mais toujours pointé avec l'œil qui tue, surtout sur les moments opportuns. Certains, comme << Le Riff de gratte sur la découverte du Kurgan, le regard de Christophe Lambert s'effaçant sur le visage de la Joconde ou les transpositions d'images entre notre époque et les multiples Flash-Back >> vont même devenir cultes. Malgré un scénar complexe, les passages tiennent la route avec une mention spéciale à Roxanne Hart qui, outre le fait d'être furieusement jolie, illumine littéralement l'écran.   

La plus Grande est à Bibi...

Si nous sommes tous unanimes en déclamant que ce film est génial. Il reste les affrontements et là... il y aurait beaucoup à dire. Outre le fait qu'un Katana ne s'utilise pas comme un sabre d'abordage, il est difficile et cela afin de conserver une durée dans l'assaut, de ne pas téléphoner les attaques. En effet, si tu ne sais pas tenir une lame, le combat s'apparente illico à une baston de Télétubbies (celui du malheureux Kastagir contre le Kurgan en demeure un magnifique exemple). Pourtant, l'idée de mélanger les styles et les genres sonne au départ ; plutôt Fun.  

Passons maintenant au divers formats. Le double DVD collector propose :
a) la version Européenne avec un montage (légèrement) différent et 5 minutes supplémentaires. Pas de quoi tomber de son siège, mais sympathique tout de même. Le seul problème réside sur une VO sous titrée Fr, les Fans seront contents, les allergiques moins.
b) la version Française (que j'ai vu dans un super Cinoche au Mans), de mon humble avis... reste la meilleure.
Un p'tit quek'chose de Starman ? 

Enfin, le Blu-Ray comporte quelques scènes supplémentaires, dont : une en intro (très courte) pendant le Catch, la seconde quand le Clan Macleod se rend à la bataille, la troisième lors du bannissement de Conrard + 3 autres (dont une au Zoo très dispensable), mais chut, je vous en laisse la primeur. D'ailleurs, tout ça ne nous dit pas où et comment Mcleod a rencontré sa première (et sublime) femme ? Comment, fait-il pour planquer son Katana et pourquoi, il a chouré la gabardine de Colombo ?
 


Pour le reste, ce qui englobe "l'image et le Son" nous naviguons soit dans le cosmique (avec le trucage de fin au filin ?), soit dans le médiocre.



Bilan des courses : garde ton bon vieux DVD camarade ou fais toi péter le Blu-Ray en VF, car le Director's Cut, heu... il ne tranche pas des masses !


Chronique Blu-Ray, DVD By JMi.

lundi 21 mars 2011

CHATEAUROUX BY NIGHT !




C’est un froid de bête qui cogne à ma porte, ma compagne vient de partir pour le week-end et je suis là, comme un con ! Mouais pas grand-chose à faire et pourtant, I’m Deborded (ce n’est pas un sombre groupe de Grind Death Ukrainien, mais la pile de boulot en retard qui s’amoncelle). Et merde… La vie est trop courte, je prends mon discmann, mes 2 Malinois et hop ; directos la forêt ! Une bonne ballade en écoutant du Black Metal "tout en prenant décibel & flotte pleine tronche" devrait me ravigoter. C’est clair, que si tu veux rester un puriste « il faut, ce qu’il faut »… De plus, ça marche, je rentre occis, mais ravi. Mes cabots ont une faim de loup et c’est en leur préparant la bouffe, que j’aperçois mon répondeur qui clignote par toutes les touches !!! Allo, Jean Mi, tu n’oublies pas le concert, c'est ce soir à 21 heure. Oh putain, j’avais complètement zappé le truc… Ma petite sœur étant au cœur de l’événement, je ne pouvais pas lui faire ça. J’ai juste le temps de me faire beau et hop ! Treillis Vintage et sweat Biohasard devrait faire l’affaire, j’enquille à donf direction l’Asphodèle, bon je ne vais pas vous mentir, je n’avais qu’une peur et coup de bol : Faudel n’est pas venu, mais les As étaient là ! Première sensation, bonne salle. Seconde sensation 3 groupes à l’affiche. Juste le temps de saluer les potes et déjà 2 mecs s’installent. Ils sont très jeunes, armé d’une guitare chacun et visiblement détendu, voyons cela…

Acte 1) LES TAPEURS DE TORTUES : Duo verbale ascendant six cordistes ! On ne pouvait pas trouver meilleur chauffeur de salle que Rémy & Guillaume. Une question me secouait les esgourdes : Les 2 gaillards ne seraient-ils pas les fils cachés des VRP qui auraient sauvagement déflorés les Nones Tropos ? Mouais, pas évident à définir… Tour à tour, voire pour les connaisseurs « Joué-lès-Tours » : Troubadours déchaînés, comiques avisés ou paroliers sans peur, mais avec reproches. Ces peinturlureurs de mots ont plongé leurs pinceaux dans l’encre de la vie en n’hésitant pas à transporter les couleurs, ou à en remettre une couche quand le besoin s’en fait sentir. Du coup, en cette soirée : ils ne rentreront pas dans leur carapace, bien au contraire : Ils balanceront un best-of de haute volée en reprenant : Solidarité, Abruti, pays imaginaire, marginalisé, Corrèze et même sacré Bordel devant un public médusé. Tout y passe, des pércus au Mélodica, ils jongleront avec les phrases tels des Freestyler’s sur leurs Bicross. Nous aurons même la chance d’un rappel, que je qualifierai de « chanter - mimer » ou un truc dans le style. Ce duo ne pourra que m’arracher un paragraphe à l’encontre du music biseness : Oyé brave gens, en ses temps académiques : Nos stars sont à la mode, de ce fait je lance un appel. Laissons le Saint tube cathodique abreuver les gogos et vous peuple de la tirelire grassouillette augmentez de 140 % les saltimbanques talentueux… ça ne ferait aucun mal au duo Guillaume et Rémy (et oui, vous m’avez reconnu avec RMI, c’est bien moi qui fut ceinture noire du jeux de mot approximatif du festival d’Arthon) et si vous ne voulez pas, ce n’est pas grave, car eux : Leur richesse est intérieure - I feel good !
Acte2) Zodiane. Véritable ras de marrée, que dis-je… Star dans notre région, ne tergiversons pas : Un max de monde est venu pour eux. Evoluant dans un registre Rock autant Celtique que festif, les 6 musiciens vont dérouler « The set liste » apocalyptique. Certes, ils maîtrisent à la perfection leurs instruments, hyper carré, en place et gonflé à bloc, ils vont accentuer leur show sur des classiques enchaînés de nouveaux titres. Leur dernier album vient de sortir et les gars sont venus le défendre : Des titres comme, la nouvelle vague, la vérité ou Amnésie vont réveiller le public et nous assisterons même à une battle « 6 cordes – accordéon » qui booste à mort. D’ailleurs, Antony est tellement doué que si : Il s’était mis à la vielle, on l’aurait surnommé Biniou-Man !

OK, c’est fort… ajoutez à cela, les interventions d’un chanteur charismatique Johann appuyé d’un groupe euphorique et vous embarquez illico presto à bord d’un galion en fête. Les Zodianes savent dérider les foules, plus fort qu’une tartine de rétinol spatulée par Roc, c’est beau, c’est chaud et c’est costaud. Les gaillards, nous échouerons sur la bohême, un hit en puissance, en bref, LA CLASSE !


Acte 3) VODKA MITCH, Mesdames et Messieurs, attention : Port du casque obligatoire, car les atomiseurs de son vont nous balancer des Riffs comme Le Banner les taquets et pendant 40 minutes, ça poutre à mort ! Evoluant dans un registre Rock ultra véner, les 4 garçons dans le vent vont déchaîner une bourrasque sur les récalcitrants encore présents.

Des titres comme « La faille », « dans tous les sens », « j’adhère pas », « la Peste » et « Debout » te carbonisent les neurones. Les mecs sont pieds au plancher pendant tout leur set et ça tronçonne veugraaa dans le plus simple appareil « guitare basse batterie » ou le feu sur la scène ! En fait : Ce qui m’a le plus impressionné, c’est leur maîtrise scénique, malgré leur jeune age on n’a l’impression d’être devant des vieux routiers ! Les affreux vont même reprendre Tokio Yaki des Wampas et s’offrir le luxe d’agrémenter au célébrissime morceau « A l’arrière des taxis » une paire de couille de Mammouth en rut !!!! Alors, jeune HUN, si comme bibi, t’es fans des Cyclopes, Sheriff, OTH et autre Thugs, tu vas compter un groupe de plus dans ta disco.

La soirée va se terminer au bar… pardon avec eux ! J’en profite pour appeler ma chérie, je la rassure d’une soirée pointé 20/20 et que surprise… J’ai capturé 2 places pour Deep Purple, elle est pas belle la vie ?
            
                                       TARMAC – SANS DONALD !

A peine remis de l’épopée ABA pour Yann, car j’avais oublié de mentionner que nos 3 groupes sont venus pour une bonne cause. Je prenais la direction du TARMAC ! Cette salle est flambant neuve, donc surprise. En fait, sur Châteauroux, je ne connais que l’Equinoxe, bonne salle, mais un peut ledj pour Deep ! Le Tarmac extérieurement est plus imposant, ce qui correspond tout a fait à l’intérieur. Je jette un œil sur le programme et je note que : Café Bertrand est en première partie.


ACTE 4) D’emblée, tu te dis que : Si Deep Purple les embarque pour l’aventure, c’est qu'les mecs assurent comme des bêtes. Sauf que : Café Bertrand n’est pas un groupe de première partie, c’est The band qui tue ! Portées par des influences furieuses telles Led Zep, les Guns ou Noir désir, croyez moi : En Live, ça défouraille… Bien carré, puissant, méthodique, les mecs envoient le steak de bout en bout ! Les grattes sont tranchantes, le tempo reste poignée en coin et un big bravo pour le Frontman qui au-delà d’une fabuleuse prestation, sait faire participer la foule ! De plus, sa voix est en relation directe avec le style, il carbonise l’assemblée de vocalise Old School et les vieux boucs comme Jean Mimouc revisite un Hard profond, sincère et fier de l’être. Gros concert donc, avec en prime un groupe heureux de nous montrer leur valeur et perso, je fus scotché par de gros Riffs et des solos vraiment inspirés, pour moi y’a pas photo, un grand est en marche ! Leur nouveau CD est prévu en janvier, sans oublier « Les airs empruntés » réédité en Digi début novembre, je vais l’acheter direct, car au vu des titres balancés sur scène, il m’a l’air couillu en diable !

DERNIER ACTE ) Deep Purple, face au dieu des dieux, comme on dit dans le Berry, Bin mon gars, t’as le cœur qui bat. Perso, je l’avais réglé au rythme d’un moteur d’Harley gonflé à bloc ! Venu nous présenter leur nouveau Skud, les Maîtres vont nous transporter non pas au 7ème, mais au 8ème ciel… Ils sont venus nous apporter la bonne parole et surtout de la belle, de l’excellente, de l’exceptionnelle zik ! Super riche, variée et jouée à la perfection, nous assisterons à THE prestation les pieds à 10 centimètres du sol… La vache de vache, méga géant, désolé il n’y a pas d’autre terme !!! Puis, arrive l’avalanche de solos et là, il est difficile d’en parler tant ce genre de voyage doit se vivre. Steve Morse est un magicien de la 6 cordes, il peut dans un premier temps faire sortir une nuée de papillons multicolores en charmant l’assistance de notes psychédéliques, comme il peut dans la minute suivante faire rugir son arme de destruction massive par des Riffs égorgés à la scie circulaire !!! C’est bien simple d’où j’étais, je fus saisie d'un picotement interne certainement dû aux étincelles de fureur jaillissant en gerbe de feu sous les doigts d’acier du guitare Héros, ce moment fut absolument fabuleux… A cet instant, tu notes que tu viens d’assister à un grand truc, quand déboule Lazy, Space Truckin, Strange Kind et un fulgurant Higway Star de la grande époque ! Puis, standing ovation, applaudissements pachydermiques et soudain, le fameux Riff de Smoke on the Water se mit à déchirer les enceintes, je ne saurais d’écrire avec précision ce type de folie qui telle un manteau de bonheur va inonder le Tarmac ? Nous sommes dans la quatrième dimension, d’ailleurs ce show est tellement fort qu’il me restera gravé dans toutes mes vies futures… Travail d’orfèvre, musiciens anormalement doués avec un solo de batterie composé d’un roulement à une main svp et chanteur hors norme. Le public ne veut rien lâcher en réclamant rappel sur rappel, mais ce n’est pas le genre de défi qu’il faut leur lancer. Du coup, les mecs nous achèverons par un Hush des familles. Les 5 légendes saluent poliment un public éternellement voué à la cause du Rock et pour Bibi, qui vient d’enchaîner 2 supers concerts, il va y avoir un chtit problème ! Comment je vais faire pour enlever le sourire béa qui barre ma tronche ? Même les affligeantes infos du JT , n’ont rien pu faire, alors hein, comment ?
Bilan des courses ; super soirée, c’était J-M en direct de Berry-Land, que la force du Rock n'Roll soit avec vous, a+    

dimanche 20 mars 2011

Back To Asphodel !



Si un jour, on m'avait dit que l'Asphodèle se transformerait en arène de Slam ? Pffff, je serais tombé raid mort… De rire et pourtant !!! Ils ne faut jamais sous-estimer une bande de Berrichons gonflés à bloc, cher(e)s ami(e)s : ce jour du 27 Sept, allait être marqué d'une Bière blanche. Tout a commencé par un pari de dingue, un truc de ouf qui ne peut marcher qu'avec des ziquos au cœur de platine. Certes, faire de la musique, c'est bien. Carburer en Live, c'est mieux, mais que dire quand 3 groupes aux influences aussi diverses qu'inspirées " balancent la sauce pour une assos et cela gratos ! Ouais, dans ce type de cas ont retire sa casquette et on salue. Il n'aura fallu qu'un simple coup de bigot pour transcender une épreuve ; en bataille rangée, car c'est bien de cela qu'il s'agit. Combattre " les différences " à grand coup de Riffs, de solos, d'instru, de danse Folklopogo, de chants FF (Furieusement Festif), de chaleur humaine et pourquoi pas de retour aux sources ? Vous l'aurez capté, nous sommes tous venus filer un coup de main au petit Yann et ok, ça mérite une explication. Son développement nécessite une éducation précise, celle-ci est orchestrée par l'ABA et bravo à eux, cette méthode comportementale a pour but de donner les bases d'une prise en charge pouvant être utilisées dans la vie quotidienne (pour en savoir http://pyf3.blog.mongenie.com/). Néanmoins, elle n'est pas gratuite, donc " money, money, money " Must be funny… Quand, il faut se donner les moyens, peut hésite à taper dans la butte et passer 20 heures 30 : On n'a pécho " pelles & pioches ", mais bon dieu avec ces oiseaux là… Il a fallu mouiller le maillot ! 

L'Envers du Décor, un vrai Mélo !


En retard comme d'hab, je me fraye un passage pour gagner au plus vite la salle. Il y a beaucoup de monde et nous trouvons tout type d'age, tout type de style et tandis que la salle s'éteint, les derniers verres se vident. Un écran géant descend pour inaugurer la soirée. Un film retraçant l'itinéraire du petit garçon, sous une musique et texte de Julien Lacou clarifie la situation. Je ne vous cache pas l'émotion palpable (putain celle du papa…), mais point question de s'apitoyer ! La solution est au bout des 6 cordes, aussitôt dit aussitôt fait : L'Envers du Décor investit la scène.



Ils sont d'emblée parfaitement en place, durant 30 minutes, ils vont chauffer la salle en restituant une ambiance ultra cool. Leur style est varié " compos persos " et " reprises de haut niveau " prouvent qu'ils maîtrisent allégrement leur sujet. De plus, les 2 chanteuses nous gratifient de tons suaves, prenants et captivent l'auditoire par un finish extraordinaire.


Le public est conquis, applaudissement en conséquence et présentation du prochain " band " Mélo. Tiens, tiens comme c'est étrange, nous attendions Zodiane et c'est en fait, qu'une partie des membres du Galion qui investissent la scène. Anthony, le clavier m'expliquera qu'ils tentent de monter un nouveau projet et c'est à peine un pied sur le ring, qu'ils attaquent par un morceau qui nous colle au bastingage. L'intensité grimpe, la foule s'enthousiasme et la chanteuse Emilie va garder l'émotion sur l'ensemble du show. Excellente idée de débuter par un bon vieux Rock des bois.



D'ailleurs, nous applaudirons un Set-list hyper carré, soit " Par hasard, Rose, Nue, See et la Poupée ". Mélo sera chaudement ovationné sur les 5 titres, ce qui demeure une belle perf, car au vu du nombre impressionnant d'Indiens Castelroussins, le challenge n'était pas évident … Néanmoins, il n'y a rien à redire sur la qualité de cette formation, ou plutôt si : chapeau bas !


Mais, bien qu'attentifs aux 2 groupes, les furieux n'ont d'yeux que pour les Breuv's. Arborant tee-Shirt, tenue d'époque, Locks et autre coupe robotif colorée. C'est dans une cohue indescriptible, que les fans réclament leur groupe à tue-tête. Véritables stars en nos contrées, j'ai eu l'occasion de les voir à l'œuvre et, il est clair qu'ils sont habités. Bien qu'inventeurs du Rock acoustique traditionnel Berrichon : Leur style est peu orthodoxe, ne s'emmerdant pas avec les étiquettes, ils se contentent d'envoyer le steak pendant plus d'une heure et demi. Alors, pour rassurer les maniaques, je dirai qu'ils produisent un mixe Folklo-Punk déjanté. Une sorte de terrorisme viticole survitaminé accentué de Ska, de folie et de Rock à donf. En bref, ça Zouk velu !

Le poinçonnet est Poinçonné !


Nous aurons droit à un court entracte, afin que le soundcheck soit top. J'imagine que faire sonner des instruments traditionnels avec l'indéboulonnable trio " guitare Basse Batterie " ne doit pas se faire en claquant des doigts ! L'ingé son fait les 100 pas, les mecs sont alignés, ils se toisent en se marrant et n'attendent plus qu'un signal pour foutre le feu au local ! Les lights tourbillonnent et soudain, le chanteur envahi la scène accompagné d'une amazone armée d'une cornemuse : Salut l'Asphodèle, nous sommes les Breuvachons et nous sommes venus pour Yann et vous ???? Vous êtes prêts ???? Un hurlement commun déchira l'espace temps… Mais, narguant la foule, Seb insista vous êtes prêts ????

Cette fois la réponse fera trembler les murs et en symbiose le show s'enclencha à 200 Km/h. Le premier titre va directement déclencher l'hystérie, une farandole (trèèèès) virile serpente dans le pit. Tandis que les Fans s'entrechoquent joyeusement ; sur l'estrade : c'est Terrifique ! L'énergie palpable devient grandissante en s'étalant tel un rouleau compresseur. En 4 morceaux, les 8 mercenaires de l'espoir ont carrément soulevé une marée. La foule " Jump " en quinconce, ce qui forme une multitude de vagues projetant cette adrénaline sur le mur du fond, celle-ci " rebondissant " réapparaît incessamment sur scène. C'est ENORME !!!! Il semblerait que les Berrichons aient trouvé l'arme infaillible pour ce ressourcer ad vitam aeternam, car le concert va non seulement être chaud, mais durer très très longtemps ! Yesss, les mecs ont la vibe et Nathalie (l'une des filles cachées de Jonhatan Davis) va enquiller une ritournelle à dérider un Shar Peï centenaire.



Ni tenant plus, David rejoint la foule pour décimer 2500 notes à la seconde, les fans très respectueux de l'initiative du Gratteux Pogotent autour de lui, comme des malades. PLUS GRAVE, à coté de moi, Manu headbangue sur sa vielle et croyez moi, j'ai traîné mes guêtres sur une chiée de concerts, mais au jour d'aujourd'hui je n'avais jamais vu un mec headbanguer sur une vielle accoutré d'une djellaba ! Lacune comblée et avec talent svp… Les titres phares s'emboîtent " Abracadaska, Ragga Breuv, les Gueurnouilles et autre nains de jardin ", le public visiblement au diapason renvoie les paroles jusqu'au " Grand Gégé " (morceau de la mort qui tue) développé avec souplesse. En moins d'une demi heure, les noctambules sont en osmose et ça se comprend. Je m'explique, ayant croisé Arnaud une minute avant l'assaut. Celui-ci me glissa à l'oreille, nous sommes en super forme, ce soir " c'est armageddon " et ma foi, le mot est encore faible !

Les Breuv's à Fond !
 
David revient de sa virée nocturne et rejoint Arnaud, la vache : les 2 gratteux aux taquets nous arrosent de riffs, la fosse défouraille en mesure et " ça poutre chantmé " quand soudain : Seb va calmer l'assistance en réclamant 2 nanas à ses cotés ! Le premier rang décoche illico 2 convives en proie aux réflexions narratives d'un chanteur explosé de rire. Ouais, pas facile de convaincre en un pitch surréaliste, n'empêche " qu'il s'agit d'improviser une danse régionale " sur un tempo plutôt Rock n Roll. Les Breuv's ont tapé à la bonne porte, car les drôlesses ne vont pas se dégonfler. En 2 temps 3 mouvements, la chorégraphie déboule en franche déconnade, le public suit en cadence et c'est parti pour une " 4 B " (bonne bourrée bourrine Berrichonne) du feu de dieu !!!!! A la fin du morceau, les embrassades pleuvent et ça repart : Cette fois, c'est l'enfer !
 
 
- Vous êtes fatigués ??? On n'est pas fatigué ???? Les Fans sont en transe, ça gigue à tout va et le hit en puissance Chante, chante répondit l'écho !!!!! (un mixe entre les Pogues et Madness qui auraient abusés de la pousse d'épines) défonce un max. Sylvain s'égosille sur sa sarbacane, Seb descend dans la foule entamer une salsa, 3 mecs ont envahi la scène en beuglant le refrain épaulés de nos 2 guitaristes et le plus étrange c'est que tout le monde cohabite dans ce féroce bazar. La chanson s'achève dans l'euphorie générale, quand soudain le retour au calme se fera par un solo de vielle avec Headbanguing en retour de cornemuse !
 
 
5 bonnes minutes d'accalmie histoire de changer la pile de mon pacemaker et on n'y retourne… Ouais et sans mollir, pour découvrir quelques bons vieux morceaux de l'EP Breuv's Not Dead ! Les classiques s'enchaînent et malgré plus d'une heure de concert, ça mailloche toujours sévère : Bruno enquille un solo de Batterie, il sera rejoint par Mathieu le Bassiste pour une Battle de folie et banzaï, la troupe au grand complet redémarre une farandole. Les Fans slament dans tous les sens, le dernier titre dépote dans les enceintes : On a mangé, on a buvé, on s'est saoulé toute la journée, les fans hurlent " les Breuvachons les Breuvachons " et c'est, sous une OLA générale que la Dream Team s'éclipse, sauf que… Certains, ne l'entendent pas de cette oreille !
 
 
3 Rappels, sinon rien !
 
 
En fait 5, il y en aura 3 en costume traditionnel et 2 unplugged. Soyons clair, les Breuvofans ayant décidé de démonter l'Asphodel brique par brique, nous aurons droit à 3 titres énergiques, puis Seb va anesthésier les récalcitrants en demandant au public de s'asseoir pour un acoustique super sympathique. En effet, les initiés savent que le gig se termine sur " chez ta mère " un titre incontournable qui apportera de Big applaus et un salut particulièrement émouvant de nos furieux.
 
 
Les Lupins-Garous termineront sur une impro avec tapage de pognes par camion benne. Enfin, le staff des breuv's & de l'ABA pour Yann offriront quelques casse dalles (histoire d'éponger un chouilla…) aux hum, purs & durs. Quand à moi, j'attends patiemment que le groupe récupère en sirotant une " bien fraîche " offert par un fidèle de longue datte. Le nez dans la mousse, je me remémore les fameux concerts des années folles : Ludwig, les Pogues, les Garçons Bouchers, la Souris, Pigalle et autre Los Carayos ! C'est clair, qu'une soirée en compagnie de la fanfare Féodale ne s'oublie pas comme ça. D'ailleurs, afin de vous convaincre voici 5 bonnes raisons d'écouter les Breuv's :- Ils possèdent la " BB initials " (Barges & Berrichons) ATTITUDE !- Ils détiennent l'antidote contre la morosité. - Leurs chorégraphies feraient passer Patrick Dupont pour un hémiplégique.- C'est une usine à riffs montées sur vielle !- Enfin : Oui, Ils auraient pu foutre une branlée à Lordi, lors de l'eurovision Druckerienne. Toutefois attention : Accompagner les Breuvachons au bar, c'est un peut comme plonger dans la piscine de passe-partout ou de faire du trampoline dans ton garage. Au début, tout va bien et ce n'est que le lendemain matin que tu exiges une procession au dieu Doliprane ! Ceci dit, je vous laisse. C'était Jean-Mimi en direct de l'apocalypse ; à vous les studios…
 
 
Big merci aux groupes et à leurs Staffs, mais aussi à Yann, Fab, Ninja, Pascal, Anthony, Julien, Anthony, Arnaud & Colin. Photos Colin & Jean-mimi.
 
 
 
Les Breuv's Is Good For You !
 
 
http://www.lechantdugrillon.fr/rubrique-concerts/le-chant-du-grillon-concerts-breuvachons.php
 
By JMi
 

jeudi 17 mars 2011

A Star Is Born !

Il y a très longtemps dans une lointaine galaxie, quelques hommes se levèrent contre la connerie humaine. C'est à grand renfort de Skeuds inaudibles et d'émissions radiophoniques insoutenables, que le trio de choc allait sauver l'humanité ! Parmi ces valeureux héros, UN ne relâchera jamais l'effort... toujours en combat contre l'intolérance, la bêtise et le Soda light. Il composera de nombreux pamphlets aujourd'hui cités comme de grands standards. Tour à tour, charmeur de serpents, dresseur de chiens, sculpteur de Menhir ou parolier inoxydable, il défragmentera les abysses pour demeurer LA valeur sûre de la peinture à la machette.



Vous l'aurez compris, le gaillard s'impose comme l'un dès artistes les plus adulés (juste après Frank Michael) de ce début de siècle. Cher(e)s Ami(e)s, retenez cette date et votre respiration : ZAZ 1er du nom à un an de plus !

Gloire au Rock'n'Roll, Gloire à la Duvel & Gloire à ZAZ !

mardi 15 mars 2011

La Blague Salace du Père Freddy... Toc, Toc, Toc, qui est là ?

Un couple heureux dort tranquillement, quand soudain quelqu'un frappe à la porte. Le mari se lève excédé et demande qui est là ?
- Une voix d'homme lui répond, viens me pousser. Il faut que tu viennes me pousser !!!
Le mari lui passe une charge du style : je ne te connais pas, il est 4 h du mat et donc tu vas te faire mettre !
- le mec récidive beaucoup plus fort, ses Toc, toc se transforment en boum, boum.
Putain, si tu réveilles les mômes... je sors et j'te dérouille t'as compris ? A ce moment, sa femme qui a tout entendu l'invective sur le champ << tu exagères de lui parler comme ça, toi aussi, tu peux tomber en panne et tu seras bien content de trouver quelqu'un >>.
Le mari un peu confus, lui répond OK, mais quand même il est 4 h du mat et en plus, le mec m'a l'air éméché, mais bon... pour te faire plaisir, j'y vais.
Et le gars sort de chez lui dans le noir, il fait froid et il est très énervé. Il regarde à droite à gauche... personne ! Bon sang, c'est d'accord, je viens te pousser, t'es où ?

et à ce moment, il entend la voix qui lui dit : juste là, sur la balançoire !

dimanche 13 mars 2011

Slasher un Jour... Slasher Toujours !

La Toile qui Toise est une rubrique proposant une sélection de films qui, sans être des fers de lance, restent sympas à se mater un soir d'orage.


Après American Warrior, American Ninja, American Psycho et American à Sucre, voici AMERICAN NIGHTMARE ! Il s'agit d'un Slasher light réalisé par Jon Keeyes. Sorti en 2002 et basé sur une idée alléchante, soit : un soir d'Halloween, un Dj invite ses auditeurs à dévoiler leur pire cauchemar sur les ondes. Sauf qu'une année avant, 4 meurtres (non élucidés) furent commis dans le bois voisin et ? Bonne pioche... le tueur rode encore.


En l'occurrence, il s'agit d'une infirmière-charcutière qui (plutôt bien foutue) joue du surin et tranche sans vergogne dans le vif du sujet. Soyons clair, il n'y a rien de surprenant et tous les poncifs sont respectés à la lettre : hommage aux films cultes, panne de courant, blagues potaches, hombre du tueur en arrière plan, reflet dans le miroir, etc... Du coup, on pense à un Scream surboosté par un max de clichés. Néanmoins au crédit de ce DVD, il faut ajouter un générique (de noms répertoriés sur des CD's) habilement trouvé, une distribution saignante avec Debbie Rochon (épatante en déjantée de l'opinel), Brandy Little (en clone nunuche de Laurie Strode), Chis Ryan, Johnny Sneed  et même un passage éclair de Brinke Stevens, une mise en scène sympa et une zique soigneusement choisie. Bilan des courses, Mister Keeyes réalise un premier cauchemar plutôt fun.

DVD, durée 90 minutes, image & Son moyen, en bonus juste la BA. Enfin dernière recommandation, ne vas pas choper une conjonctivite en matant la belle Debbie, te voilà prévenu(e), a+  

SUR CE, J'DESCENDS A LA CAVE CHERCHER DU BOIS !


Non, on ne va jamais à la cave chercher du bois en nuisette ou alors, il faut une bonne raison !  La voici avec SLUMBER PARTY MASSACRE d'Amy Jones qui reste exclusivement réservé à ceux ou celles qui aiment les filles canons, sportives et pas farouches. L'histoire (archi simple) développe un suspens insoutenable "un meurtrier s'échappe d'un HP" et revient dans son bled revisiter l'histoire, mais cette fois... avec une perceuse de Compét. Et vas-y que j'te chignole une meuf et zy-va que j't'en harponne une autre, enfin bref, le brave homme s'inspire du poinçonneur des Lilas dans la version Michael Myers !



Après, il nous reste la mise en scène et là, rien ne nous sera épargné : maquillage à 3 euros, bruitages enregistrés avec un magnétophone dans ta cuisine, plan caméra à l'épaule (un seul, mais énorme, j'ai failli vomir), fausse peur à gogo avec une mention spéciale au mec qui chasse les escargots au hachoir (véridique), dialogues de ouf (une nana tend un couteau à un jeunot et celui-ci prenant l'arme lui répond : Ah si seulement j'étais resté dans les louveteaux... je saurais quoi faire de cette lame), du Néné non stop et quelques belles scènes de bravoure (comme celle où la voisine découvre une machette flambant neuve dans le garage), mais un bonheur n'arrivant jamais seul, chers Tronço-Fans vous ne rêvez pas, il existe bien 2 suites ? En attendant de récupérer le pack chef d'œuvre, il me faut vous alerter, car la légende raconte que ce Film devait être à la base "une comédie" ah bon ?


On se consolera avec la version de 1982 qui propose : un Son au doublage qui tue, une image qui pique les yeux, 80 minutes de franche rigolade et une accroche pour public averti... vous êtes donc doublement averti. Allez hop, la moyenne rien que pour la scène de la douche.

PAS DE PANIQUE... J'VAIS AU SOUS-SOL CHANGER LES PLOMBS !


Là encore, on ne va pas remettre le courant en string avec une torche qui clignote dangereusement ! Sauf si tu es la descendante d'une sorcière Vaudou ou de la Fée Morgane, mais bon... en ce qui concerne VENOM ? Je vous en laisse la surprise, car lissé d'un pitch relativement simple << Au plus profond des marécages de la Louisiane, un groupe de jeunes va tenter de percer le mystère d'une malédiction >>, l'histoire va se compliquer un chouïa et donc au programme : Possession, Sorcellerie, Morts violentes, Scènes Gores, Poursuites dans le Bayou et enfin la vérité sur la valise RTL ! De plus, filmé avec tact par un Pro du genre Mooosieur Jim Gillespie à qui nous devons Souviens toi... l'été dernier ou D-Tox. Nous pouvons dire, qu'le gaillard va droit au but. 



Bilan des courses :  Bon Real, Image Top, Zique angoissante (juste ce qu'il faut sans en faire des tonnes + 1 titre de Rob Zombie), une brouette de clin d'œil (Jason, Duel, Freddy, Morsures Mortelles) et plein de têtes connues Agnes Bruckner (The Wood), Laura Ramsey (Le Pacte du Sang), Bijou Philips (Hostel 2), James Pickens Jr (Greys Anatomie), Rick Cramer, le Rappeur Method Man + quelques jeunots à l'avenir prometteur, Hé hé, on n'en demandait pas tant. D'ailleurs, Venom est le meilleur des 3.  
 


Même pas Mal !

Chronique DVDingue By JMi

vendredi 11 mars 2011

LE SKEUD DU MOIS !

 ZUUL FX  : The Torture Never Stops.



Dire que By The Cross m'avait tartiné le groin relève du doux euphémisme et face à tant de détermination, il me fallait approfondir l'aventure qui : d'un second Album bien rentre-dedans se poursuivait par un fabuleux Live. Voici donc, la troisième torpille d'un French Band aussi difficile à cerner qu'efficace. En effet, si leur style a pour but principal l'annihilation totale de toute vie au centimètre carré, leur touche si particulière diffuse une énergie communicative dès plus impressionnante. En clair, après une écoute prolongée de The Torture Never Stops, tu sors lessivé, mais étonnement... tu te sens vachement bien. 



C'est une Intro cosmique qui nous accueille, puis nous entrons directos dans le vif du sujet avec "The Maze". Certes le parpaing est plutôt rugueux et si une ritournelle grinçante n'était pas calée en embuscade, l'auditeur se verrait immédiatement écrabouillé par un mur de Riffs conjugué de coups de double à dégonder le portail de Fort Knox. Tiens... en parlant de Riffs, il semblerait que le fil rouge du Skeud soit axé "cordes qui défouraillent". Putain, le gratteux nous enquille des plans de maboul et franchement ça faisait un bail que je n'avais pas écouté des titres aussi couillus comme : The Maze, Beat The Crap Out.. ou The Torture Never Stops qui au delà des Riffs hyper mastocs proposent des parties mélodiques vraiment agréables et que dire du solo de Dancing Around Death ? Idem pour un "Man Of Silence" retorquant d'un tempo dès plus angoissant en revisitant l'antre glauque d'un Slipknot, d'un Mudvayne ou d'un Coal Chamber et là encore, quel solo ? Musclé, débridé, voire Panteresque, énorme quoi !

ZUUL FX, adhère, colle et dessoude !

Au deuxième tiers temps, pouvons-nous mentionner le parcours sans faute ? Oui absolument, surtout quand un "Living Creature" déboule pile au bon moment. Ce parpaing pourrait illustrer un furieux film de genre, un truc bien craignos avec des chasseurs qui dégomment des Zombies dans le brouillard d'un marécage, hé hé ça serait bien cool qu'un Real embrasse l'idée. A l'inverse "Devil Son VS Sexy Bitch" demande quelques écoutes, histoire de bien s'imprégner de sa structure mélodique (au casque, c'est très très chaud) et du chant clair qui peut surprendre un chouïa. D'ailleurs, cet album surprend souvent, que se soit par l'ossature << Basse-Batterie >> ou par le chant qui demeure de bout en bout, impitoyable ! J'en veux pour preuve le rouleau compresseur "Bipolar Confusion" et le fulgurant "The Song Of The Dead" qui en sont 2 magnifiques exemples. Du coup à l'instar de l'ultime brûlot dont je vous laisse la primeur, on note, un travail soigneux, une minutie dans la chronologie des titres et beaucoup, beaucoup d'énergies, bref, du grand art.

Bilan des courses : Tour à tour, violent, brillant, vital & brutal, c'est exactement le missile qu'il faut pour attaquer une bonne séance de Muscu ou de Close Combat. Ouais, y a pas photo, Skeud du mois chez Tronço-Mag !
 

Egalement chroniqué sur le Chant du Grillon à la rubrique : Albums Incontournables. http://www.lechantdugrillon.fr/Chroniques-Metal-1650-zuul-fx-the-torture-never-stops.html