dimanche 23 décembre 2012

Les Patients Zarbis, du Dr Lecter.


Aujourd'hui, la Veuve (non) Joyeuse…


Une femme de 70 ans va voir notre cher Docteur, il lui demande : Comment est-ce possible que vous ayez été mariée 4 fois et Que vous soyez encore vierge???

Écoutez Dr. mon 1er mari était architecte, il ne faisait que des projets. Le 2ème était fonctionnaire, il remettait tout au lendemain. Le 3ème était politicien, il ne faisait que des promesses, et enfin le 4ème était inspecteur des impôts ; il faisait que m'enc....... !!!!!!!!!!!!

dimanche 16 décembre 2012

DANS LES COULISSES DU PIFFF (1/3)

DANS LES COULISSES DU PIFFF (1/3)

L’Excellent Mag, Mad Movies présente « dans les coulisses du PIFF ».
Le PIFFF encore une histoire de chien ? Non, il s’agit du Paris International Fantastic Film Festival. Rendez-vous incontournable pour les Fans de Films qui déboitent et à titre plus personnel, j’ai particulièrement aimé l’explicatif (surtout à la sixième minute) de leur délégué, car comme le disait notre Ministre préféré :
                                          Le Metal… c’est Vital !
 
Mon Préféré, le Hors-Série sur Les Divas qui Tronçonnent !
 
Et pour en savoir PLUS, C'est ici : http://www.mad-movies.com/
 

dimanche 2 décembre 2012

vendredi 30 novembre 2012

Souviens-toi du futur !

Alors que ma prime jeunesse se déroule sous les secousses de Motorhead, les harmonies de  Jimmy Page ou la voix érayée de Bon Scott. Un furieux gaillard va foutre le boxon dans mes certitudes, en effet : apparait au début des années 80, une émission de pure folie «  Megahertz ». Pile le genre de Skud qui te fait réfléchir, apprécier et applaudir, mais là où Alain Maneval va faire très fort, c’est qu’il va rééduquer pas mal de mélomanes au Son du Hardcore au fond des bois. Autant dire, que la plupart des Fans de « Zique qui dessoude » lui doivent un max ! C’est bien simple entre les Martineries interminables de nos dimanches catatoniques et des Druckerinades Champs-Elysiennes au Divan prédestiné, le Dandy Destroy nous balance sans préavis : Bauhaus, Killing Joke, DAF, The Cramps, sans oublier Siouxie et ses Banshee’s. Bref, ça tue !!! 

De ces années bénites et grâce à lui,  je vais conserver une oreille attentive sur un autre type de Son et s’il y a bien un adage que je retiendrais ad vitam aeternam, c’est qu’il faut se souvenir du Futur et pour fêter ça, voici une Chro défragmentée par 2 missiles d’époque. 


C’est après l’aventure Sex Pistols, que John Lydon décide de tenter un autre truc de maboul ! Diamétralement opposé (musicalement parlant) au Punk classique, PIL n’en garde pas moins la rage et l’énergie. Certes avec sa basse vrombissante et son chant acerbe (ou Croate, ça dépend), notre bon vieux John va enquiller une pastèque dans le fondement de la bienséance. Mais… car il y a un mais, sommes-nous vraiment prêt à décharger le monstre dans nos Walkmans ?
C’est clair, que même préparé à l’ancienne, un amateur de bruit saturé en reste coi. D’une part, la totalité de l’album n’a pas une once de ressemblance avec les Sex-Pés et d’autre part, les titres sont composés sous une forme de scission. Du style « Expérimental & Délirant », « Rock & Craignos » ou « Torturer aux incantations mélancoliques ». Alors dire que l’auditeur demeure un chouïa dérouté relève d’un doux euphémisme, car ici, il n’y a aucune influence ! C’est la Base mec, Johnny carbure au gros Son et ça s’entend. Néanmoins, nous retrouvons Keith Levine (un des premiers gratteux des Clash, jouant sur une 6 corde très spéciale), le Batteur Jim Walker et surtout le faramineux Bassiste Jah Wobble en totale symbiose.  Pour le reste, le Tempo parfois étrange accentue les plans zarbis ou cavale sur des Sons « chirurgicaux », presque Cliniquo-cyclique (avec un ReligionII en tête de gondole) !!!! A cela, rajoutons une voix exceptionnelle, une ambiance à couper à la machette, une Prod furieuse, des cordes acérées et ce joyeux bordel (réalisé dans l’urgence) vacille sur des nappes synthétiques qui foutent franchement les miquettes.
Dernière chose, les thèmes (dont l’interminable Theme d’ouverture) abordés valent leur pesant d’épices de nouringle : le flippant Religion, l’excellentissime Public Image (dansant & Fun) et le Boosté Low Life suscitent à eux 3, l’achat du Skeud. Hors, beaucoup rajouteront que cet album s’avère autant barré que génial. De ce coup d’éclat va naître une nouvelle décénie Punk, celle-ci se veut plus stylée (dans le look) et nettement plus philosophique dans la recherche d’une profondeur musicale. Autant dire, qu’il est indéniable d’affirmer que PIL va influencer un nombre incalculable de nouveaux groupes (surtout dans les castes New Wave & Gothic) comme des anciens.

Bilan des courses : PIL composera une dizaine d’albums tous plus intéressants les uns que les autres. Axant les ambiances, le quatuor nous balade au fil de leurs envies et si de nombreux Fans ne voient que par « This is What you Want » ou «  Compact Disc », en ce qui me concerne, celui-ci restera ma première issue.




PS : La légende raconte que First Issue fut utilisé par des Psychiatres dans le traitement des patients dépressifs, afin de leur démontrer qu’ils n’étaient pas seul. Alléluia !
Thank : Sham69 & Aritnem for Video.

...If IDie, I Die


                                VIRGIN PRUNES

Attention, cette fois nous pénétrons dans l’antre de la folie avec certainement le groupe le plus déconcertant « toutes générations confondues ». Formé à Dublin vers la fin des années 70, nos dangereux possédés distillent un harmonieux mixage de Punk Schizophrénique, de Dark Rock très agressif, de Folk autistique revisité à la mode tribal et l’ensemble se veut débrider par de fulgurantes tentatives expérimentales. En clair, dans ma vie, j’ai vu des mecs barrés, mais là, j’dis respect ! Littéralement traumatisé par un concert où le groupe avait reconstitué un appart dès plus traditionnel en mimant les joies de la vie domestique (une légende raconte que lors d’un show en Angleterre, les organisateurs horrifiés ont carrément coupé le courant). C’est donc, après cet avènement théâtral apocalyptique et cliniquement sidérant, que je cherchais désespérément un disque, quand un coup du sort m’invita à découvrir « If i Die, i die ». La claque fut aussi immédiate que totale… la preuve :


C’est un Ulakanakulot mélodiquement tourmenté qui propose à l’auditeur un voyage plutôt cosmique. Majestueux dans les textes, on n’en ressort que plus déconfit. En effet, si les enchaînements demeurent parfois sinueux, cruels par instant ou martelant au son d’une Basse placée en avant, la chronologie des titres fait que personne ne peut rester insensible. En clair, l’Album devient vite hypnotique et  force de constater qu’un mélomane avisé en vaut 2.

A cela, plusieurs raisons : la voix de Gavin Friday est juste d’un autre monde, celle de Guggi (en Live) flippante à souhait, le tempo reste envoutant de bout en bout, la rythmique diffuse un côté mystique et je vous laisse la primeur du finish de Bau-Dachöng.  Puis, on passe la seconde avec l’inoxydable Pagan Love Song, véritable hymne des soirées Goth (bien que lors d’une interview, Gavin Friday a précisé qu’il n’avait jamais embrassé ce mouvement), cette sarabande maléfique tourne en une ritournelle qui t’incruste le cerveau. Certes flotter dans les méandres des Virgin Prunes, c’est un peu comme faire la cuisine avec Hannibal Lecter. Il vaut mieux être briffé et bien briffé… alors que je reste cloué sur « Sweethome Under White Clouds »  déboule sans concession 3 brûlots hautement subversifs :
-          Baby Turn Blues, l’étincelle joyeuse du Skeud.
-          Walls of Jericho, le coup de tronche sans anesthésie.
-          Caucasian Walk, la gigue obligatoire des soirées branchées.
Si tu survis, il te faudra t’accrocher à un Thème pour penser et, finir l’album comme il a commencé. C’est-à-dire en ré appuyant sur Play. Bilan des courses : Dès l’intro, tu quittes la stratosphère (au casque c’est carrément impressionnant), mais attention à la déferlante musicale qui t’invite à pogoter sur le pont du Titanic. Te voilà prévenu …If I Die, I Die… s’avère tour à tour envoutant, furieux, classieux et prodigieusement conseillé pour faire l’amour.

Allez hop, les « Virgin » ne comptent pas pour des Prunes, la preuve avec un bon vieux Live des Familles !

samedi 3 novembre 2012

ARTE LA CHAÎNE QUI DECHAINE…


                                                                           … LES PASSIONS !
Je n’ai jamais capté pourquoi ARTE a la réputation d’une chaîne Intello. Lorsque dans une discussion, j’aborde le thème ARTE, on m’regarde étrangement en gloussant des "oh là prise de tête, docu space, reportage zarbi", etc… certes, mais quand tu souhaites une chaîne spécialisée : il faut que tu casques et casquer pour mater la télé, heu… non merci. D’ailleurs, n’étant pas vraiment branché Téloche à la base, autant dire qu’à part Tracks, le Dr CAC, Kaamelott, un match de Hand ou de Foot, je ne suis guère un bon client. Pourtant, j’adore ARTE et en ce samedi Halloweenesque, la prog a fait très fort :
En première partie de soirée, un Doc sur la prohibition. A regarder avec modération donc.
 A 22h35 Tracks, l’émission qui défrise les Pulis.

A 23h25 Nuit Gothique… nuit magique avec Joy Division, I Goth My World + comment se finir en beauté avec un Doc sur le Cinéma d’Horreur et après : un suppo de Satan et au lit !

mercredi 31 octobre 2012

JOYEUX HALLOWEEN !


Boire ou Choisir ?
 

                                                                                     Il Faut Conduire !

vendredi 26 octobre 2012

La Blague Bretonne du Père Freddy !

                                                  PIANO VS BINIOU


A l’entrée d’une salle de concert, deux musiciens bavardent. Un pianiste BCBG et un joueur de Biniou Breton.
 
Tous les deux sont fiers de leur talent.
Le pianiste dit : La semaine dernière j'ai joué un concerto dans la Cathédrale de Chartres devant 6 000 personnes".
J'ai tellement bien joué que j'ai fait pleurer la Vierge Marie ".
Le breton réfléchit, puis répond:
Moi, cette semaine, j'ai joué devant plus de 10 000 personnes, c'était à la cathédrale de Rennes et à un moment, j'ai vu Jésus se décrocher de la croix et venir vers moi".
Alors là, je me suis arrêté de jouer, et dans un silence de mort, il s'est approché de moi et m'a dit : " Mon fils, je te préviens, tu as intérêt à bien jouer ! "
Surpris je lui dis :
- Mais oui Seigneur, mais pourquoi tu me dis cela ?
Et il m'a répondu :
Parce que la semaine dernière, lors d'un concert à la cathédrale de Chartres, il y a un pianiste prétentieux qui a tellement mal joué, qu'il a fait pleurer ma mère."
 
Freddy : il s’en fout, il carbure au Chouchen…                                         



                                                           ...La preuve en image et en Son !

jeudi 25 octobre 2012

Espionnage… en eau trouble !


LE PACTE HOLCROFT VS LA THEORIE DES DOMINOS


Il y a bien longtemps, dans une lointaine galaxie avec quelques thunes en poche, on pouvait se faire plaisir. Je me rappelle que près de chez moi, il y avait un Cinoche de quartier qui diffusait des films de maboul. Bien que très jeunes à l’époque, j’essayais de ne pas me faire gauler quand l'affiche étiquetait l'implacable "Interdit au moins de 13 ans" (en fait, j’avais trafiqué l’âge d’une de mes cartes sportives). Du coup, j’ai pu admirer de véritables pépites comme les 13 Fils du Dragon D’or, Yakusa, Chan le Leopard du Ta Kang, Mr Majestyk, Billy Jack en passant par La Fureur de Vaincre.  
 
Tout ça, pour vous expliquer que les années 70 & 80 vont vraiment apporter un plus au cinoche musclé et si le Peplum s’essouffle un peu ; vous l’aurez compris, les films : d’exploitation, Giallo ou autre Kung-Fu Movie vont litéralemment casser la baraque. On notera même une vague SF plutôt cool, sans oublier quelques furieux Westerns qui inviteront les Fans d’actions à retrouver les salles obscures. Bref une toile plutôt riche qui ne prenait pas ses Fans pour des vaches à lait sacrifiées sur l’autel du Blockbuster à la con ! Et fatalement du Film d’action au Film d’espionnage… il n’y a qu’un pas.
 
En voici 2 particulièrement intéressants, que je vais m’efforcer de chroniquer sans en dévoiler les pièges.

 
La Légende : Quand évoque la Théorie des Dominos, on pense « évidement » à sa fameuse Intro décapante (qui fait froid dans le dos) à son histoire alambiquée (tiré du Roman d’Adam Kennedy également scénariste) et à la Zique de Billy Goldenberg. Sauf que : outre des acteurs (monstres sacrés pour la plus-part) Gene Hackman, Candice Bergen, Richard Widmark, Eli Wallach ou encore Mickey Rooney, nous trouvons un scénar en béton armé et dangereux.

L’Histoire : Un taulard se voit contacté par une mystérieuse organisation afin de réaliser une mission. Celui-ci a très peu de temps pour accepter l’offre. Soit, une libération immédiate, sans oublier son désir le plus cher « revoir son épouse ». Néanmoins, celle-ci vient également de sortir de prison et nous apprendrons au fil de l’intrigue ce qui lie nos 2 protagonistes.  Aveuglé par le fait de revoir sa compagne, cet ex-Marines (tireur d’Elite) va signer un visa pour les emmerdes.

Attention, car en suivant cette Théorie nous ne sommes pas dans le film d’action pur & dur. Ici, nous naviguons plutôt dans les méandres d’un Thriller à grand renfort « de machination » saupoudrée d’une once d’aventure.
En clair, tout y est : Hommes de l’ombre, Paranoïa, complots, manipulations, Chantage, Coup Monté, etc…     


La Théorie des Dominos sortie en 1977 (et réalisée par Stanley Kramer à qui l’on doit une quinzaine de vrais bons films dont la claque : Jugement à Nuremberg) suinte la conspiration à pleins naseaux. Alors, prenez garde, car le premier qui tombe...
                                                                         entraîne les autres.
 
Chronique DVD & Blu-Ray, By JM.

Espionnage… en eau trouble (suite) !


                                                    LE PACTE HOLCROFT

Nous restons dans la période 75-85 pour un second Film qui place « le suspens » en premier lieu et comme si l’intrigue (plutôt tordue pour les 2) ne suffisait pas, nous retrouvons une pléiade d’acteurs exceptionnels.
 
La Légende : parti du Roman époustouflant de Robert Ludlum à qui nous devons également Osterman Week-end (réalisé en 1983 par Sam Peckinpah, rien que ça…) ou la série Bourne (continuée par le génial Eric Van Lustbader à qui nous devons « Le Ninja » un bouquin à lire de toute urgence) il va sans dire qu’adapter un tel brûlot au cinoche, ne sera pas un cadeau. Voyons cela…
 
L’Histoire : Un architecte New-Yorkais «  Noël Holcroft » reçoit un héritage (pour le moins inédit) de son père. En effet, le patriarche n’est autre qu’un Général Allemand très proche d’Hitler… pourtant, il lui laisse une véritable fortune pour faire le bien et réparer ses erreurs. Mais avant, le nouvel héritier doit parcourir l’Europe à la recherche de 2 autres personnes (fils d’officiers Allemands qui se sont suicidés après le fameux pacte) pour entériner la signature. Bilan des courses : quand un ancien du troisième Reich te fait un cadeau – refuse le !


Le Pacte Holcroft sorti en 1985 sera réalisé par John Frankenheimer et dans le rôle principal c’est Michael Caine qui s’y colle. A première vu "du lourd donc" de plus, Anthony Andrews (vu dans le Dessous du Volcan, Haunted ou le Discours d’un Roi), Victoria Tennant (Inseminoid, Pacte avec un Tueur, Strangers Kiss ou la Servante Ecarlate), Lilli Palmer, Mario Adorf,  Michael Lonsdale (que l’on ne présente plus) viennent rejoindre le casting. Parsemé de moments forts comme le démarrage, certains retournements de situation (souvent grâce au jeu de Victoria Tennant) ou le dénouement, vont absorber le spectateur dans l'enquête. A l’inverse, certains resteront un chouïa sur leur fin à cause d’un manque de nervosité générale. Certes, un soupçon de castagne par intermittence (durant la fiesta Berlinoise hein ?) ou une bonne vielle « questionnette à l’ancienne » (à la Marathon Man) auraient apporté un peu de piquant, mais OK… je pinaille, car manipulation, suspens, remise en question, enveloppe cachetée, flingue sous le manteau et guerre des nerfs prouvent que nous sommes quand même dans du vrai bon cinoche.   
 
The Winner Is : Allez… je mettrais un Chtit bonus à la Théorie des Dominos (surtout pour le jeu de Gene Hackman et une réalisation plus Catchy) mais les 2 sont à s’mater ou à revoir d’urgence.

Chronique DVD & Blu-Ray, By : JM

mardi 23 octobre 2012

Collection Best-Sellers !

LE PACTE HOLCROFT

 
Intrigue complexe, Remise en question et Rebondissements.
3 bonnes raisons pour dévorer le Roman de Robert Ludlum.
 
 
(Comme d'hab) : A Lire après avoir vu le Film.

jeudi 18 octobre 2012

Goodbye Sylvia…


En plein mois de juin de l’année 74, sort un OVNI ! Just Jeaken frappe fort dès son premier film et le bougre place en vedette une Emmanuelle que beaucoup n’oublieront jamais. Alors si le film fera un carton, l’actrice principale se verra illico catapulter Sex-Symbol. Fort heureusement, elle tournera dans d’autres registres et d’Alice ou la dernière fugue à Airport 80, elle épousera quelques rôles qui l’éloigneront d’Emmanuelle, mais… Un grand rôle d'entrée de jeu reste toujours difficile à fuir !


N’empêche que grâce à elle, les fabricants de fauteuil en osier sont devenus milliardaire, Pierre Bachelet enregistre son premier succès et votre serviteur est loin d’avoir l’âge pour entrer dans le cinoche ou alors (bien plus tard) par une porte dérobée. Sauf que pour un tel cadeau des Dieux, qui pourrait m’en vouloir ? D’ailleurs, c’est bien connu : Les Femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l’occasion…
                                                     … Mais jamais à celui qui la manque !



dimanche 14 octobre 2012

Tir Groupé.


         Ciné-Cyno & Tronço-Mag.
                                                           Sont désormais sur Facebook...

                                               ...ça va Chauffer !

samedi 29 septembre 2012

Happy Birthday Fab.


                                La Normalité est une entité rassurante...
                                        ... Qui propose aux bien-pensants des certitudes !
                                                                                                 J-M Vedrenne

jeudi 20 septembre 2012

samedi 11 août 2012

L'Avenir...


Appartient à ceux qui se lèvent tôt et comme disent les Geishas, Allez Hop :


Deux Boules Là-Dedans !


dimanche 24 juin 2012

TAKING BACK MY SOUL !

    ARCH ENEMY : Tyrants of the Rising Sun.



                                       Live in Japan Deluxe Edition.

C’est sur une présentation de Samouraï que cet énorme DVD démarre. Une bestiole griffue nous invite à choisir triangulairement notre Menu. Je clique sans plus attendre sur le Doc : il s’agit de « The Road to Japan » et nous partons à la découverte du Japon en compagnie du groupe. De jour comme de nuit, une caméra suit les musiciens et nous aurons, outre quelques interviews, de belles images prises sur le vif (avec les fans, en show, dédicace, etc…) ! De plus, la parole sera donnée à 2 experts d’une revue Japonaise, puisque le groupe va cartonner en matière de récompenses (meilleur album, meilleur groupe, meilleur batteur, meilleur joueur de biniou, etc…) et puis ; visite guidée dans une fabrique de guitares avec  Michael Amott qui (à ma plus grande joie) est un fan de Discharge et ça, c’est très important… On repart, pour une ballade en train, re-visite guidée avec arrêt obligatoire dans les fameux espaces jeux vidéo (excellent, mais chut…) réglage du matos (une petite démo de Daniel Erlandsson, il est bon le bougre) et préparation du concert apocalyptique. Certes, voici un bon ptit doc, histoire de s'échauffer la nuque !


Passons au plat de résistance avec le Concert de 2008 filmé à Tokyo et quand je dis filmé ? Le mot est juste, car il y a d’énormes moyens. Projection directe sous des lights bleus furieux, l’image d’un Ange donne le ton, les lumières s’affolent, les doigts se tendent, la foule scande des Arch Enemy à foison et enfin… le batteur arrive ! En 2 temps 3 mouvements, les Suédois déchainent le Chao. Blood On Your Hands débute les hostilités, fort et hargneux c’est "pile poil" la torpille qu’il fallait pour lancer Ravenous. D'emblée, nous sentons une maîtrise, un professionnalisme et une passion comunicative, que dis-je... Contagieuse !!! C’est bien simple : Michael Amott dépote, le frangin démotte et Daniel Erlandsson arrose le public d’épouvantables Blasts. D’ailleurs, ce qui surprend avec ce groupe : c’est une forme « de brutalité mélodique » dès plus entraînantes. En clair, ça joue vite, fort et tu n’as qu’une envie, celle de bouger la tête comme un malade. Les 2 gratteux se renvoient des solos, le bassiste participe méchamment et pour couronner le tout, le film tourne sous des flashs Blanc & Noir. En à peine 10 minutes, nous sommes immédiatement dans le Show, les titres montent en intensité et le groupe alterne les interludes en plaçant chacun un solo (dont un de batterie houlà la)… pour mieux redémarrer en passages monstrueux et bien entendu << Motus >> et gros suspens sur une fin, qui vaut à elle seule l’achat de ce DVD qui au finish se révèle : absolument incontournable. 


Bilan des Courses : débauche de son, de lumière et de vitesse. Musiciens faramineux & chanteuse hors norme. En Bonus, 3 Clips, dont Revolution Begins en 2 versions & I Will live Again. Enfin, pour les obsessionnels (comme Bibi), il y a la version Collector Digipack 4 volets rabattables avec 2 Cd’s en live. L’ensemble dans un coffret hyper bien décoré et un livret de feu. Soit 21/20 !  

Chronique DVD By JMi.

mardi 19 juin 2012

La Blague Salace du Père Freddy !


Roule ma Poule...


Cette histoire se passe juste après les législatives : Sur une route de montagne 3 voitures se suivent "une Logan suivie d'une Ferrari, elle même suivie d'une Porsche. Soudain, à la sortie d'un virage sans visibilité... UN CAMION !!!
La Logan se plante dans le camion, la Ferrari se plante dans la Logan et la Porsche se plante dans la Ferrari. Bref ; les 3 bagnoles sont HS.

Un leader de Droite sort de la Ferrari en criant "Bravo... 15 jours de salaire détruit en 5 secondes !

Un leader de Gauche sort de la Porsche en braillant... et voulààààà 3 semaines de salaire de bousillé.

Un Gaillard du cru sort en chialant de la Logan... putain 3 ans de salaire à la poubelle.

Et les 2 politiciens de lui répondre : il faut être complètement con pour acheter une voiture aussi chère !!!!

Freddy il s'en fout, il ne roule pas. Il taille... la route.

mardi 12 juin 2012

BOXERS - Le Blu-Ray Qui Fracasse


                                      MUAY THAI CHAIYA



Une fois n'est pas coutume dit le proverbe et certes, il faut un commencement à tout. Si je me permets cet aparté, c'est pour une raison simple car je vais attaquer cette chronique par les Bonus. C'est vrai que d'habitude, je les glisse sournoisement dans la partie com, mais "là" je dois bien avouer qu'ils sont aussi importants que le film, pourquoi ?

Par ce que l'ensemble "des compléments" se veut commenté par Fabrice Payen, l'un des rares "Farang" à s'être imposé en Thaïlande et si l'homme est gigantesque... ses interventions ne le sont pas moins.


Alors si le Champion nous démontre l'efficacité des techniques Chaiya, il revient également sur l'historique de la Boxe Thaï. Ses explications étant aussi aiguisées que fascinantes, comment dire... j'ai bien dû visionner la partie bonus au moins 10 fois ! Ceci précisé, revenons au film. Sorti directos en DVD en France, il faudra patienter un chouïa pour avoir un Blu-Ray qui tient la route. Sauf que : l'attente fut salutaire, tant celui-ci estampillé "Wild Side" vaut vraiment le coup. Primo : la réalisation de Kongkait Komsiri reste bien couillu. Secundo, l'histoire s'avère rondement menée par des protagonistes enragés (et je pèse mes mots). De plus nous trouvons l'immense Samart Payakaroon (Dieu vivant du Muay Thaï) en Guest et ça... c'est franchement cool.


Tout commence par une musique envoutante (et typique au Muay Thaï), puis une voix off délivre quelques indices sur la ville (Bangkok), les mœurs (les paris), l'époque (les années 70) et la Boxe. En très peu de temps, le décor est planté. Mieux, il aura fallu 2 minutes 30 pour que le spectateur se voit illico pris à la gorge.  Pourtant, la trame est simple : 3 enfants du même village rêvent de partir à la capitale pour devenir des Boxeurs professionnels, mais... de nombreuses embûches (physiques & morales) feront qu'un seul deviendra célèbre.


Les Points Forts : quasi adapté du concept Woodien "Une Balle Dans La Tête", vous l'aurez capté, sous fond d'histoire d'honneur, d'amour et d'amitié. Nos 3 lascars vont devoir affronter l'adversité et si l'un se forgera un mental de Boxeur, les 2 autres vont galérer sévère. Donc, nous retrouvons quelques clins d'œil "papillonnants" du film de Gangster classique à Rocky en passant bien entendu par le faramineux Friend (œuvre incontournable du Sud-Coréen Kwak Kyung-Taek).







Ensuite : au niveau combat, Akara Amarttayakul (déjà vu dans le flippant Necromancer de Piyapan Choopetch) se défend plutôt bien en Bad Guy et Thawatchai Phanpakdee dans le rôle de Phao (le Boxeur Chaiya au visage peint) s'en sort comme un chef. Dernière précision, le doublage en Français est super, ce qui n'est pas rien... néanmoins, les puristes ont toujours la VO StFr.

Les points faibles : si l'ambiance seventies (Ray-ban en plastoc, rouflaquette, Mercedes d'époque et autre Citroën flambant neuve) est idéalement respectée. Le fait, des combats clandestins... c'est à dire de passer subitement de Kick-Boxer à Spartacus peut surprendre le plus intransigeant d'entre nous.

C'est dommage que le Réal ait voulu nous en foutre plein la tête à tout prix, car le film aurait été bien mieux sans. Après (Thaïlande oblige), il faut bien concurrencer l'élite et si le côté spectaculaire de Tony Jaa a révolutionné bon nombre de films d'Arts Martiaux, gage de reconnaitre que ce Muay Thaï Chaiya n'a rien à voir avec Ong Bak.
Bilan des courses : Un bon vieux film des familles à s'mater en short et sans protège tibia.   

Chronique DVD - Blu Ray By : JMi.

MUAY THAI CHAIYA - Boxers bande annonce vf

mardi 5 juin 2012

BEST OF SIAM


Le 14 Juin, la Halle Carpentier (Paris 13) déclenche l'apocalypse. En effet, Mister Krongsak & JC Skarbowsky organisent un gala qui rappellera les grandes heures de Muay Thaï dans la capitale. Nos 2 légendes ont carrément sollicité les Kings du Low-Kick made in Thaïlande et les meilleurs tricolores. En clair, c'est le type de rencontre qu'un Fan de Boxe Pieds-Poings ne doit rater sous aucun prétexte ! Début des Festivités 19 Heures...

jeudi 31 mai 2012

BOXE THAI : Souvenirs d'une Epoque.



Cher Daniel, te revoir à cette soirée du Fight Night fut un grand honneur. Comment oublier tes leçons, ta gentillesse et ton professionnalisme. Chaque ancien du Yamatsuki ne peut que se réjouir de t'avoir rencontré et comme tu le soulignes si justement...
                                                                              nous étions des pionniers.

lundi 28 mai 2012

EXPLOSION - FIGHT NIGHT 2012 !


Toutes les personnes qui ont eu la chance de pratiquer les arts martiaux très jeunes sont unanimes : la boxe thaï dégage quelque chose de vraiment à part ! Libre, sauvage et détonnant à la fois, rien n'enclave la dureté de ce sport. Pourtant, il serait injuste, voire réducteur que d'insister sur ses techniques de frappes, ses blocages atomiques ou ses corps-à-corps furieux sans en regarder sa magnificence.

Car si la Boxe Thaï fut puisée dans les fleurons de l'efficacité... elle a comme valeur d'âme de forger des combattants au mental d'acier.


Si je vous parle si librement d'une de mes passions, c'est que jadis, j'ai eu l'honneur et l'avantage de mettre les gants. A cette époque, en termes de BPP (boxe pieds-poings), nous ne comptions que deux disciplines : la boxe française et le full. Dans le dojo où je me rendais régulièrement, il y avait un atelier boxe et, entre deux cours, de Kung-Fu ou de Ju-Jitsu. Nous étions de fervents adeptes du contact. A force de persévérance, je fis la connaissance d'un pratiquant qui avait un brin d'avance sur nous. Ses techniques, notamment de blocage avec les jambes, me paraissaient très étranges. Alors, histoire de comprendre, je le questionnais sans relâche jusqu'au jour où celui-ci m'avoua qu'il avait un frère qui pratiquait le Kick Boxing. En effet, une section venait de s'ouvrir au Yamatsuki et, séance tenante, j'allais voir de visu cette nouvelle discipline. Inutile de préciser qu'une fois le seuil franchi, je fus envoûté.


Le Yamatsuki dégageait quelque chose d'extraordinaire. Ce genre d'atmosphère est difficilement explicable avec des mots. Il faut imaginer un lieu très martial où se mélangent sérénité, application, sueur et désir de se surpasser. Une sorte d'endroit magique qui transporte ses élèves en un lieu qu'eux-mêmes n'espéraient jamais frôler... Cependant, à force d'apprentissage, la vérité était bien là ! Des rounds de corde, de pao, d'abdos, de sac, de shadow, de technique et de combat allaient nous forger un corps, un mental et surtout nous ouvrir la perception d'une nouvelle philosophie. Je n'oublierai jamais l'enseignement de notre Maître Roger Paschy, les leçons de Daniel Allouche, les instructions d' A. et R. Desjardin, de W. Soudareth ou de M. Jami. En conclusion : pratiquer une si belle discipline en compagnie de tels hommes ne pouvait que nous rendre meilleurs.

                               - SUPER FIGHT & K-1 Rules -

Voilà comment tout à commencé et, depuis, cette passion ne m'a pas quitté. Je vais régulièrement applaudir les combattants et, des catégories C aux ténors, je suis toujours impressionné face à la détermination des pratiquants. De ce fait, qu'elle ne fut pas ma surprise de découvrir qu'un Fight-Night allait être organisé à deux pas de chez moi, c'est-à-dire au Mach-36 tout près de Châteauroux.


Cette salle, habituellement réservée aux concerts, est une bénédiction, elle est spacieuse mais pas gigantesque, ce qui apporte une vive chaleur pour ce type de rencontres. De plus, son acoustique s'avère très correcte et son aspect moderne lui confère une structure mixant esthétisme et solidarité. Bref, quand tu pénètres dans l'enceinte, tu es immédiatement séduit. A cela, rajoutons une énorme cerise sur le gâteau car les organisateurs nous ont offert une soirée absolument grandiose ! En effet, outre un plateau de combattants hallucinants, saluons une déco de feu (sans jeu de mot), une restauration super sympa, une ambiance affûtée et un speaker qui a chauffé la soirée avec tact, humour et professionnalisme. Je vous ai mis l'eau à la bouche ? OK, c'est parti !


Ce sont les combats amateurs qui vont ouvrir les festivités. Illico, l'adrénaline monte et les jeunes coqs nous prouvent qu'avec des tripes et du cœur, on enflamme rapidement les foules. Les jeunots ont fortement préparé la salle. Du coup, on enchaîne sans mollir avec du K-1 Rules et du Super Fight en 5x2 : Charles "Karlito" François (de Metz) et Kichima Yattabare (de Meaux) nous ont offert un très beau combat, remporté aux points par le Messin. Puis Zair Bechar (d'Orléans) nous a expliqué la définition exacte du termes « Low Kick ». Mais ce n'était que l'échauffement face à l'affrontement qu'allaient nous livrer les deux titans que sont Johann Fauveau et Yazid Boussaha.



La vache !... ça, c'est du kick ! Les mecs se sont rendus coup pour coup et si l'un a fait parler les poings, l'autre a fait rugir ses guibolles. Les techniques (notamment de coups de genoux) de super Yohann vont porter ses fruits et, à n'en pas douter, le jeune homme a bien deux cœurs et quatre poumons. Hyper méga fight... Respect, Messieurs !



- CHAMPIONNAT DU MONDE -


Tandis que les sculpturales danseuses font monter la température de 3 000 degrés, je fais un tour d'horizon et, ma foi, la salle est solidement remplie. A côté de moi, ça discute ferme sur le prochaine combat et, alors qu'on attendait le fameux Brice Guidon, nous avons eu Farid El Farci. Brice blessé, Farid a eu la lourde tâche de le remplacer et donc de tirer contre un Lituanien enragé. Le bien-nommé Arnold Oborotov est venu sans Willy mais avec toute la panoplie du destructeur. Hé ! Hé ! Sacré puncheur, le gaillard !



Tiens, puisque le mot est lâché, voici Karim Ghajji sous les clameurs d'une foule "indubitablement" vouée à sa cause. D'ailleurs, le garçon possède un palmarès qui en ferait rêver plus d'un, soit 83 combats, 76 victoires dont 46 par KO. Athlétique et pétant de santé, cet infatigable sportif va imposer un rythme à faire réfléchir un marathonien kényan puis, parti dans son élan, il va passer la seconde et démontrer à son opposant portugais, l'excellent Francisco Matos, pourquoi le public scande son nom. Là encore, nous assisterons à une « sublime » leçon orchestrée par 2 pointures, mais le titre Mondial sera remportée unanimement par Karim.



Allez, l'annonce du dernier entracte vient de retentir. Nous pouvons nous restaurer tout en appréciant une « battle » de hip-hop. Les danseurs nous sortent un show de haute volée. Ca tourne, ça break, ça pivote, ça freeze, ça scratche et ça repart en Thomas. Ouais... du grand art !


Mais il est temps de regagner nos places car Daniel – the Voice – nous présente le dernier fight et c'est sous un tonnerre d'applaudissements que pénètre le champion de boxe thaï Albert Chey. Une entrée que le jeune homme n'est pas prêt d'oublier : les gens sont debout, ils hurlent son nom, l'ovationnent chaleureusement à un point tel que l'on peut ressentir l'énergie fracasser les murs du 36 et, croyez-moi, le gaillard va nous rendre au centuple ce qu'il vient de recevoir.

Pourtant, son adversaire est un coriace, la preuve : à peine l'autorisation donnée par l'arbitre, l'Ecossais entame les hostilités. Albert le tient à distance par des Front kicks et le recadre par de claquants Middles. Le combat est d'une telle intensité que les rounds 1 et 2 passent à la vitesse de l'éclair. Titre intercontinental en jeu, l'affaire se corse en féroces empoignades, dont une qui se finira carrément au sol !




A mi-combat, les deux boxeurs se tiennent, ce qui oblige D.Macintosh à prendre des initiatives, mais, face à lui : il a un faramineux technicien. Albert le dégonde dans la foulée d'une droite à dérider un Shar-Peï centenaire, puis, il lui assène une série de low kicks à « Buakawniser » une cuisse de Spartiate. Dieu que ce mec est bon !
C'est bien simple : il va plier, dessouder et carburer un Ecossais qui lui rendra, certes, la monnaie de sa pièce mais...
– car il y a un mais – pour moi, pour nous et pour beaucoup, le boss, c'est Albert Chey !


Alors si (et cela n'engage que moi) au terme de ce combat, j'ai vu un super Kick Boxeur en la présence de David Macintosh, j'ai surtout applaudi, de l'autre côté du Ring, un combattant hors norme. Voilà le ressenti d'un vieil adepte de cette magnifique discipline.


De toute façon, peu importe la décision car le véritable combat, c'est de prouver au monde que la symbiose est une âme à deux corps. Devant l'esprit, le fair play et le mental de tout ces compétiteurs, que pouvons-nous rajouter, si ce n'est « mission accomplie » ! Cette rencontre nous a prouvé une fois encore que la boxe thaï n'est pas un art conventionnel et, à l'aube d'une époque où des politiques nous parles « ségrégation », « culture » et « couleur de peau », il faut simplement leur répondre que nous, au sein des clubs...
                               ... nous n'avons que des frères ! 

PHOTOS : JMi