mercredi 28 mars 2012

Le Docteur Lecter nous met en garde... la Psychanalyse c'est du Flan !

le patient chez le psychiatre :
- Docteur, j'ai un problème.
Tous les soirs, quand je suis au lit, j'ai l'impression qu'il y a quelqu'un caché dessous. Alors, je me relève pour regarder sous le lit, et, bien sûr, il n'y a personne. Je me recouche, mais au bout d'un moment, je me dis que je n'ai peut-être pas bien regardé. Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j'ai beau me dire que c'est idiot, je ressens toujours le besoin de m'assurer que personne n'est caché sous le lit. Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
Le psychiatre :
Hum.... Je vois... obsessionnel compulsif... Comptez quatre ans d'entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par semaine, et je vous guéris de votre obsession.
Le patient :
- Euh... Combien ça va me coûter, Docteur ?

Le psychiatre :
- 60 par séance. Donc, 180 par semaine, 9 360 par an et donc 37 440 au final.
Le patient (songeur) :
- Euh... je crois que je vais réfléchir...
Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard :
- Alors, pourquoi n'êtes-vous jamais revenu me voir ?
Le patient :
- A cause des 37 440  ? Mon livreur de pizza a résolu mon problème pour 30 seulement.
Le psychiatre (vexé) :
- Votre livreur de pizza !! Vraiment ??
Et comment a-t-il fait ?

- Il m'a conseillé de scier les pieds de mon lit !

mardi 27 mars 2012

MORBID ANGEL : Une Vraie Folie !

                                  - Illud Divinum Insanus -


Alors ce Morbid : Une divine folie ? Assurément, mais du gout de tous... ça m'étonnerait ! Je me rappelle une discussion (plutôt tendue) avec un pote qui acquiesçait sur une masse d'expérimentations à tendance Indus et, non pas que je fus heurté par ses propos (car comme beaucoup j'ai quelques remyxomatoses dans mon placard ), je votais en mon fort intérieur pour que l'Ange revienne à quelque chose de plus radical et assurément brutal. Alors en ce qui concerne la brutalité ? Certes, ce nouveau skeud turbine et vous allez me dire : bin merde, il ne manquerait plus que ça ! Du coup, d'où vient le problème ???? Voilà la question, une question posée par Olivier qui me demandait où j'en étais avec cet album et moi de lui répondre : je n'en sais rien, bordel... je n'en sais rien !

Quelques écoutes et semaines plus tard :

 - Omni Potens démarre en tambours & trompettes, ce type d'intro (avec quelques effets relativement cool au casque) a pour but de donner le ton. Celui-ci va prendre forme avec un "Too Extreme" Rammsteino-Factoriesque-Ministérien aussi long que surprenant ! Fort heureusement, ça groove à la massue et le finish intronise merveilleusement un truculent "Existo Vulgoré", néanmoins, c'est "Blades For Baal" qui sera le véritable premier morceau à pétrifier mon cerveau. D'ailleurs, Blades For Baal, ainsi que "10 More Dead" (mon préféré) sonnent implacablement Death et que dire d'un Nevermore ? Efficacement classique, il me cravate d'emblée, le tempo avoine (l'excellent Tim Young remplaçant Pete Sandoval), la voix s'avère top et les cordes (Riffs comme Solo) sont vraiment affûtées.


Ensuite, il y a des titres OVNI comme :

 - I Am Morbid ; mixage d'Hymne, de Hard Rock et de Death (surtout dans le chant) avec une grosse part aux cordes, dont un solo vraiment pas dégueu.
- Destructos VS The Earth / Attack ; martial, brutal, mais malheureusement trop caricatural.
- Radikult ; qui aurait pu figurer sur un Skeud de Marilyn Manson ou de Rob Zombie m'a carrément pris à contrepied. Fort heureusement, je n'en étais pas à ma première interrogation...
- Profondis - Mea Culpa ; qui se gauge dans une version Technoïde décérébrée tout en clôturant l'album sans la moindre originalité. Qui a dit Mea Culpa ? Cependant, tout n'est pas que bizarrerie, la preuve, car je terminerais cette chronique en citant un "Beauty Meets Beast" sauvé grâce à un solo d'une audacieuse intensité, mais est-ce suffisant ?  
Bilan des courses : la bestiole a tourné un bon bout de temps et malgré cela, je ne sais toujours pas quoi en penser. D'un côté, il dégage quelque chose d'intéressant et d'un autre, il s'essouffle à cause de l'aspect facile (et ultra blindé) de certains passages mélodiques et l'ensemble accentué d'une image futuriste qui ne va pas convaincre (surtout les vieux Fans) outre mesure. Après, si ce disque n'avait pas été estampillé Morbid Angel qu'en serait-il ? Un Side-Project à l'accent expérimental aurait été sans doute préférable ? Mouais... De quoi se demander si Morbid Angel ou en Spray apporte la même tenue après un sauvage headbanging ?  

lundi 26 mars 2012

Le Soulèvement des (Grosses) Machines !

           VADER  : Welcome To The Morbid Reich .

En une seule écoute, je me suis fait la réflexion suivant : la vache, il est super mélodique cet album ! Enfin mélodique... pour du Vader j'entends, parce qu'il défonce sans concession quand même ! Peut-être devrais-je changer "mélodique" par "inspiré", car si l'on compte le nombre de solos (vraiment impressionnants dont certains quasi en ouverture) on reste dubitatif et puis, il y a un esprit épique qui ; de son Intro, en surprenants passages comme le carton "I Am Who Feasts Upon Your Soul"  par exemple, nous explique que le chemin va être semé d'embuche. Mais commençons par le début "Return To The Morbid Flesh" ouvre les hostilités par une excellente entrée en matière (+ un bidouillage sonore chouré à Dimmu du genoux dans sa période Euphoric) et un growl arraché du fond d'la glotte. Sauf que : les cordes sont déjà là, ça Blastonne sévère et pourtant à 1,30 le premier solo retentit pour mieux soutenir un changement de rythme ultra calibré (bon sang quel Riff), un second solo, re-changement de rythme et ça y'est j'suis possédé ! D'ailleurs, The Black Eye & (le presque Thashisant) Come And See My Sacrifice enfoncent le clou. Truffé de variances, blindé de Riff, tourmenté de Solo et super puissant, le monstre Vader démarre son travail de sape que même une charge de All Blacks sous Duvel frelatée n'arriverait pas à freiner... puis l'arme fatale du Skeud se pointe en décimant tout sur son passage, certes, Only Hell Knows va en surprendre plus d'un : archi complexe, des cordes de maboul s'entrechoquent sur un tempo qui laisse songeur et que dire des Solos ?

                                                          Kill Em... All !


Après ce genre de détonation, il faut repartir au charbon et c'est à cet instant, qu'on se dit qu'les gars connaissent la musique, car plutôt que de repartir sur un truc en demi-mesure, ils placent (astucieusement) une bonne vieille Intro des familles pour mieux rebondir à la barbare. Pire, une couleur épique (les yeux, la gorge et le reste) nous fracasse la tronche à l'amorce d'un énormissime "I Am Who Feasts Upon Your Soul" qui d'un Riff assassin, nous déploie tout l'arsenal : Tempo furax, Cordes acérées, frappe chirurgicale, tabassage en règle, Chant démentiel, bourrinage subtil, Atmosphère apocalyptique et toujours cette incroyable harmonie répertoriée en frasque bestiale, mais ô combien jouissive (attention, car ce titre au casque t'embarque directos). Autant dire que cette deuxième partie attaque très fort et si les Fans de Death Metal vont se goinfrer, les mélomanes vont adoré la suite.

En effet, d'un " Don't  Rip The Beast's Heart out" décochant (sous une basse gonflée à bloc) des Solos à l'ancienne, l'amateur de bonne zique ne peut qu'y trouver son compte. Idem pour "I Had A Dream" ou " Lord Of Thorn" sonnant le Vader pur jus. Evidement, quelques surprises seront appréciées dont une remise au goût du jour (Decapitated Saints en l'occurrence), un interlude cosmique et bien entendu : un finish Vaderien avec ce Black Velvet And Skulls Of Steel qui nous invite inlassablement à ré appuyer sur Play.
   
Bilan des courses : un Skeud de dingue, une Prod de dingue, des Solos de dingue, une ambiance dingue et devinez pour qui ce type d'album est fait ?

PS : une version collector se voit gratifier de 2 reprises : Troops Of Tomorrow de The Exploited et Raping The Earth d'Extreme Noise Terror, du lourd de chez lourd pour un album simplement Incontournable de l'année 2011...

dimanche 25 mars 2012

Bercy Meaucoup, Souvenirs... souvenirs !

                                                      ACDC / THE ANSWER


Je ne sais pas vous ? Mais moi, les jours d’anniversaires… déjà pour un pote houlà la, je ne sais jamais quoi acheter ! Du coup, pour ma fille ralala, que vais-je pouvoir (d’achat) lui offrir ? Une fringue ? Encore… Un parfum ? Pfffff, elle sent très bon au naturel… Un bouquin ou un CD, tient pourquoi pas un bon DVD ? Ouais, j’entends d’ici les quolibets « ça c’est original » hé mec, t’as oublié le traditionnel bouquet de fleurs et puis tant que tu y es commande une pizza !!!!! OK, j’suis qu’un gros looser et faut qu’ça change, quand ???? Soudain, une idée (géniale si si) éclaira mes 2 neurones : Je vais l’emmener (tous frais payés) à Bercy pour le concert d’Acdess. Avouez qu’ça en jette non ? Sauf que, il fallait d’abord récupérer des places. Fort heureusement, dans les cas de forces majeures, Laulo la débrouille (surnommé le mercenaire des billetteries) est toujours prêt à rendre service à son cousin adoré. Oh, je n’ai guère eu besoin de titiller son ego, lui-même adepte de la première heure et grand habitué de Bercy, réussira où plusieurs se sont cassés les dents.
Bilan des courses, nous allions bien assister au « show devant » et en famille, svp !

Acte 1 : BERCY CIRCULAIRE !

En effet, histoire de fêter dignement l’événement nous serons plus d’une dizaine ! De plus, ce qui est intéressant avec AC/DC c’est que le groupe brasse large : il englobe aussi bien l’acnéen biactol, que la bombe à neutron ou le fan de Derrick. Il est clair, que tous les Boys Band ne sont pas enclin à cette prouesse, mais (car il y a un mais…) avant l’heure bénite, il va falloir « monter » à la capitale et s’il y a bien un bled que je n’encaisse pas, c’est Paris. Ville hyper désordonnée avec ses propres codes et surtout son propre permis de conduire, si tu n’es pas du coin, tu meurs ! Des mots comme « compréhension » et « tolérance » sont plutôt rares ; qu’importe pour AC/DC même aux frontières du purgatoire : Highway to Hell nous voilà.
Du coup, nous sommes même en avance, le personnel de sécurité nous escorte et les 2 déménageurs fluocarilés nous invitent au parking (sympa, souriant et compétent, ouais bien cool). Un chtit coup de fil pour serrer un point de ralliement et voici la fratrie tout à fait prête à un headbangage des familles. Un bref coup d’œil sur le remplissage de Bercy me donne la température (2 000 degrés), il est presque 20 heures et en bas, les roadies affinent les dernières préparations. Consciencieux les gaillards, on applaudit le professionnalisme et les essais de lumières nous dévoilent une forêt de cornes scintillantes, hé les mecs : il n’est jamais fute-fute de laisser sa meuf à la maison… Quoi qu’il en soit, « banzaï » les premières notes de Rise retentissent !

The Answer enquille sans préavis et les titres de l’excellent album (chroniqué en nos pages) sont non seulement faramineux sur skeuds, mais en live « ils déchirent ». Bien sur, les questions du style : est-il le groupe idéal de 1ère partie pour AC/DC ? Pourquoi ne pas choisir Aibourne ? Black Rain ? Ou Boneshaker ? Ouais, nous avons l’embarras du choix, qui s’en plaindrait ? Et même si The Answer est dans un trip Led ZeplinoBlacrownien (quoi que, écoute Sometimes your loves ou Leavin’ Today) on apprécie et on se tait. Cormac Neeson empoigne le micro sur la Robert Plant des pieds et le bougre, nous le fait prendre. Ça swingue dans la fosse, Paul Mahon ni tenant plus « asperge d’un filet de notes » les aficionados du gros Son (en fait si, c’est le bon groupe, du moins pour ce soir). Les morceaux nous dégomment sans concession, le tempo se fait de plus en plus rugueux, la pression monte et quand le frontman enquille un solo à l’harmonica pour un ultime morceau du feu de Dieu, les Bercydérurgistes sont en fusion ! Inutile de préciser que nous piaffons d’impatience devant la sortie d’Everyday Demons…

ACTE 2 : BERCY-NEASTE!

Ouaouuuu, géant The Answer… Les gars récoltent une superbe ovation, sous des « mercis Paris » décochés par un Cormac déchaîné. Puis l’annonceur nous esquive un rapide « chers amis », nous aurons 20 minutes d’entractes et de ola ! C’est le moment de faire le point avec les djeuns, alors les gars vous écoutez quoi en ce moment ? Children of Bodom… trop cool ce groupe. Pour moi Rammstein, Black Sab ou le dernier Death Star, pour mon voisin Dream Theatre (et le prog en général), Metallica « leur Death Magn est monstrueux », Holson que j’ai découvert grâce au chant du Grillon (excellent site par ailleurs), Iron Maiden, Tagada Jones ou Marilyn Manson et toi Laulo ? Habité de son éternel flegme britannique : Black Ice en boucle ! OK, à part Gilles bloqué sur le bouton seventies (Deep revient) il n’y a donc que moi qui est kiffé le dernier Napalm ????


Sur cette interrogation existentielle, le POPB s’éteint, une poursuite de lampe éclaire le sol comme pour définir une piste d’atterrissage. Celle-ci se déverse sur un écran laissant place à des rails rudement sollicités par un train lancé à toute allure. Un dessin animé type Manga dévoile un Angussodiablotin bien décidé à faire dérailler le convoi sauvage. Il ne lui faudra que 2 minutes (malgré les tentatives d’une paire de créatures pourtant trèèèèès convaincantes) pour envoyer la Loco à travers le gigantesque mur de scène. L’explosion est énorme, la foule debout scande Angus –Angus (depuis au moins 15 minutes) et Rock n Roll Train déboule en picorant le moindre poil de tes avants bras.


Ça y est, cette fois la messe commence et d’emblée : ça butte ! L’écolier s’avance en nous fustigeant d’un solo à décorner un cocu Viking, devance les hurlements de la foule par un de ses déhanchements mystérieux, se retire pour déblayer le passage à Brian hé hé, en 2 temps 3 mouvements : ils ont bouffé le public et ce n’est pas « Hell ain’t a bad place to be » qui fera varier le baromètre. L’échauffement terminé on encaisse un Back in Black des bois carburé d’un Big Jack pleine gueule, oh putain inénarrable « il fallait vraiment vivre l’événement » !!!! Nous avons à peine le temps de nous remettre du choc frontal que l’intro de Dirty deeds pulvérise les rambardes, « la vache, ça tue » me glisse mon voisin… Sur ce, je me prépare psychiquement, car Shot down in flames reste l’un de mes morceaux phares (avec Go down & Sin City), une fois encore « chapeau bas » et même si l’ombre de Bon plane sur ce titre, Brian assure comme une bête ! Thunderstruck & Black Ice sont en roue libre, quant à The Jack et son striptease tant espéré ? Il conclura une première partie époustouflante, je pense que ceux qui n’avaient jamais vu AC/DC en live : ont dû changer de calbute…


SCOOP : Le titre « Anything goes » fut remonté en Setlist pour une bonne raison, en effet, d’après Tonton Zegut, la caméra Louma qui inspectait les bords de scène était là pour finaliser un Clip avec des images made in France, trop fort !
Acte 3 : BERCY - METRIQUE !

La salle dans le noir total frémie en entendant le lugubre tocsin ; l’enfer raisonne et la cloche démoniaque descend de la profondeur du néant. Tandis que, le Riff d’ouverture t’écorche un tympan, Brian se balance hilare en s’éclatant tel un possédé, puis retour aux choses sérieuses pour un Hells Bells intense et mesuré. Parfaite ouverture pour un Shoot to Thrill (en écran géant) endiablé avec course poursuite d’un Angus marathoniquement survolté et hop « la toile » s’illumine à nouveau afin d’envoyer une flotte de bombardier B52 à la rescousse, la « War machine » est en action jusqu’au « You shook me all night » qui en dit « long » sur l’étendue explosive d’un TNT absolument grandiose. Malcolm & Cliff, les 2 pylônes de la gare centrale blindent les cœurs, Phil casse toujours des bûches et croyez moi, ce qui va suivre fait carrément peur : Une poupée gonflable taille mammouth escalade la loco ! Whole lotta Rosie & Let there be Rock vont annihiler, karshériser et finir de pétrifier l’auditoire. Angus va dérouiller les solos, grimper sur la passerelle, défier l’apesanteur en éjectant plus de notes à la seconde qu’une mitrailleuse sur trépied : le tout en 16 neuvième et avec le sourire… ouais, si tu ne connais que jeux interdits sur 2 doigts, effectivement ça peut vexer !


Après cette secousse sismique, les 5 furieux s’éclipsent un instant, histoire de préparer le premier rappel « Highway to Hell ». La salle inondée d’obscurité dévoile un faisceau brumeux s’évaporant en une trappe d’où s’éjecte Angus : en 3 frappes anthologique, les accords mythiques hystérisent le palais, la fausse hurle et le virtuose repart de plus belle. Les flammes jaillissent, le solo en devient Himalayen et quand le finish circoncis les prémisses de « For those about to Rock », c’est tout un Bercy qui se lève ! A ce moment imaginez le niveau de communion ? C’est indescriptible !!!! Brian scande un Fire, illico les canons crachent le feu, les grattes partent dans tous les sens et il récidive « Fire », mais l’énième détonation avant le fameux « We salut youuuuuuuu » rend la foule complètement barge et ça redémarre à donf pour un Angus-show de derrière les fagots. J’ai carrément eu l’impression que le morceau durait un quart d’heure, pourtant, il faut se rendre à la triste réalité, déjà : les musiciens saluent un public éternellement voué à leurs causes et disparaissent pour un repos bien mérité.

Alors, les vieux boucs (comme Mimouc) de la période BON auraient aimé un Sin City, un Riff Raff, un Touch to Much, voir un chtit Ride On et tient, pourquoi pas un Wheels aux taquets ? D’ailleurs, je suis certain que si le public avait poussé, l’Austral-Band revenait pour 1 titre, voire 2. Mais bon, cette sensation latente était sans doute enfouie dans mon cerveau dérangé et ne demandait qu’à en sortir… Ce n’est pas grave, car en attendant une nouvelle confrontation, Bercy meaucoup pour cette Big soirée et happy birthday Mimie…