lundi 31 mars 2014

La Blague Salace du Père Freddy !

Le petit Pierre revient de l'école et demande à son père :
 
Papa, j'aurais besoin de tes lumières. Pourrais-tu me parler de la politique ? J'ai un devoir à rendre pour demain.
Après un instant de réflexion, son père lui répond : Bien, je pense que la meilleure méthode pour t'expliquer tout cela est de faire une analogie avec notre famille :
* Je suis le capitalisme, car je nourris la famille.
* Ta mère est le gouvernement, car elle dirige la maison.
* La bonne est la classe ouvrière car elle travaille pour nous.
* Toi tu es le peuple.
* Ton petit frère c'est la future génération...

 J'espère que cela va t'aider pour ton devoir.
- Merci papa, dit le petit Pierre. Je ne comprends pas tout mais je vais y réfléchir.
Dans la nuit le petit Pierre est réveillé par les cris de son petit frère. Il constate que ses couches sont pleines. Il se rend dans la chambre de ses parents. Sa mère dort et il essaie de la réveiller, sans succès. Il remarque que la place de son père est vide. Il cherche son père et par le trou de la serrure, il le trouve s'activant au lit avec la bonne. En désespoir de cause, il retourne se coucher. Le matin suivant, au petit déjeuner, il dit à son père : Papa, je crois que cette nuit, j'ai tout compris à la politique.
- Excellent mon garçon, et qu'as-tu compris ?
- J'ai appris que le capitalisme baise la classe ouvrière, tandis que le gouvernement roupille, ignorant le peuple et laissant la génération future dans la merde..
 
Sacré Freddy... toujours un avis tranchant (de droite à gauche) sur les endormies
 

mercredi 26 mars 2014

Metaluna

                                        - SEVEN -

 
 
Metaluna 7 est en Kiosque et il fait peur, très peur même. Alors META lunette est analyse les Affaires non classées (avec son affiche vraiment impossible). META main à la patte pour mieux te délecter d'une interview de la sublime Céline. META culotte en peau de Panthère pour pénétrer un univers vraiment Steelé ! META panoplie de Flic Ricain pour appréhender Quentin Dupieux. META serviette pour éponger Toutes les Larmes De Ton Corps. META Bobine en veilleuse pour apprécier l'Héritage de Mike Vraney. META ceinture Noire sans te marrer, attention sans te... Marais ! META K7 pour écouter du Death sans Chuck. META bouche en sourdine pour mieux brailler. META gomme de côté et essaye de reproduire les délires de Bill Plympton. META Combi en cuir pour Silver Slime. META moustache à la José pour Brianiser Yuzna. META cape pour batifoler devant The Bat. META raison sur pause est déguste des chroniques de maboul, des BD's de Dingo, un Roman Photo incroyable, une Guerre de 3 qui aura bien lieu, du Gerardmer, du Gerardterre, du Ninja en cascade, de la magie et si après t'as mal au bide : une pastille Renny et au lit !
 
By JMi

mardi 25 mars 2014

Questionnaire à Choix Multiples...

                                                        Dans ce cas :


a) Je deviens "Subitement" Invisible.
b) Je range ma planche au fond du Garage.
c) Je ne retourne dans l'eau que si j'ai un plus gros bateau. 

dimanche 23 mars 2014

Le Captain nous narre une drôle d'aventure...

Les enfants voici une Histoire vraie :
 
Contrôle d'alcoolémie :
- Vous avez bu ?
- (
le gars avec un sérieux accent British) Oui, ... ce matin ... j'ai marié ma fille ... et comme je n'aime pas les messes, ... je suis allé au ...
café et j'ai bu ... quelques bières. Puis ..... pendant le banquet ..... j'ai essoré 3 bonnes bouteilles .... une de Corbières ... une de Minervois ..... et .... une de Faugères.
Pour finir .... pendant la fête ... dans la soirée ... deux bouteilles de whisky ..... Johnny Walker .... étiquette noire.
Finalement le policier, irrité, lui dit :
- Avez-vous compris que je suis policier et que je vous ai arrêté pour un contrôle de l'alcoolémie ?
Le "british" lui répond alors :
- Et vous .... savez-vous que .... cette voiture est ... anglaise et ..... que c'est ..ma femme ... qui conduit !

samedi 22 mars 2014

C'est Fantastique !

 
 
Quoi de neuf cet Hiver ? Un Captain America en grande forme. Des chroniques endiablées. Ces Grands Films que l'on ne verra jamais snif... Geradmer 2014. Ciné Comics, Her, Vampire Academy, 300 Rise of an Empire, combien ? 300 j'te dis ! Série TV : Arrow, Les Mystères de Haven Saison 4, HELIX, Real Humans Saison 2. Le Film Cube Culte ou le contraire. EFX.  Le Look des Super-Héros. Vont suivre :  Un Max de découvertes et 2 gros gros + avec les archives : soit, un article exceptionnel  sur la Shaw Brothers (quasi 25 pages), puis un second article (mon préféré de ce Numéro 351) sur les Cannibales (une quinzaine de pages). On termine avec la Crypte : Wolf Creek & Green Inferno. Bilan des courses : 150 pages de bonheur.

By JMi

mercredi 19 mars 2014

Le Livre de la Mort qui Tue !

                                  - LE NINJA -



Fascinant, troublant & dérangeant. Les pages du Ninja d’Eric Van Lustbader se lient à la vitesse d’un Shuriken planté dans ton crâne ! Entre le Japon d’hier et d’aujourd’hui, entre l’art martial & le combat, entre le bien et le mal… l’aventure commence. Un livre incroyable qui servira de support à de nombreux films. Chaudement recommandé !

lundi 17 mars 2014

SHINOBIS !

                                                     - DOUBLE IMPACT -


Ah… les films de Ninja : tout un programme ! Certes, propulsée dans les années 80 à grand renfort d’effets spectaculaires et d’exercices martiaux extrêmement physiques, cette mouvance fut salvatrice et le moins que l’on puisse dire : c’est qu’elle a boosté les chakras de tout bisseux adepte du Tsuki dans le plexus ! Mais lorsque l'on mentionne le mot magique "BIS", on note souvent différents styles. Sur ce sujet que pouvons-nous affirmer ? Si ce n’est que d’un côté ; nous avons eu de bons films grâce à des acteurs & réalisateurs comme Sho Kosugi, Michael Dudikoff ou Sam Firstenberg.
De l’autre, des purges nettement moins techniques avec des Ninjasploitation qui resterons gravés à jamais dans nos mémoires. Du coup, si la première vague de Ninja restait des Bis sympas, la seconde nous offrait des Ninjas aussi souples qu’un Playmobil (incapables de lever la jambe au-dessus d’un tabouret, véridique), absolument nullissime avec une arme entre les mains et que dire de leurs déguisements (sans parler de la réalisation qui « là » atteint des sommets rarement égalés même aujourd’hui). Autant dire que les films de Ninja restent à ce jour une énigme !!!


Du coup qu’est-ce qu’un Ninja ? Il s’agit d’un espion guerrier, né au Japon (bien que les racines soient Chinoises), maitrisant de nombreuses techniques de combat (à main nue ou avec des armes) appelées Ninjutsu et qui dit espion dit, capable de se fondre dans la masse et de s’évaporer si besoin est. Afin, d’être le plus efficace possible, leur entrainement était particulièrement difficile « natation, équitation, tir à l’arc, sarbacane, escalade, plongeon, travail d’équilibre, art du camouflage, etc. ». Ils avaient aussi des connaissances en astronomie, en médecine (il maitrisait très bien les poisons ou la chiropractie), en mathématique, en prestidigitation et autre bizarreries médiévales. En clair, vous imaginez un homme ou une femme avec une culture générale en béton, une santé de fer et possédant toutes les techniques martiales pour expédier un champion de MMA au royaume des songes. 
De ce fait, à l’instar des Samouraïs de nombreux films furent réalisés à leur gloire. Pourtant, au départ, nous notions que des apparitions épisodiques dans des films au budget conséquent. Par exemple, dans Tueur d’Elite de Sam Peckinpah avec James Caan, On ne vit que 2 fois un James Bond avec Sean Connery, Le Dernier Samouraï avec Tom Cruise ou encore Batman Begins (Ra’s al Ghul est un Ninja), mais peu de gros film avec comme héros central un Ninja. Voilà pourquoi le cinéma Bis s’est emparé de l’homme en noir et lorsque j’ai vu Scott Adkins au casting, je me suis dit que ça pouvait le faire…
Le pitch : Un jeune orphelin américain (on ne nous avait encore jamais fait le coup) eu l’immense privilège d’intégrer un Dojo d’Arts Martiaux qui enseigne de vieilles techniques de Ninjutsu. Le Maître de l’école (appelé Sensei en Japonais) détient une relique (une tenue ancestrale avec les armes) dans un coffre. Celle-ci s’obtient de Maître à élève, ainsi la tradition se poursuit et l’âme de cette culture continue à vivre, mais dans pareil cas :
-          Peut-on offrir un tel privilège à un étranger ?
-          Faut-il posséder une aura particulière, la rage ou la sagesse qui va bien et la technique obligatoire ?
Partant de là ; rien ne vaut une bonne confrontation entre les deux meilleurs élèves. Vous l’aurez compris, le scénar s’avère ultra simpliste, un Ninja Japonais devenu méchant et un occidental respectueux des règles, qui escorté de la fille du Maître vont devoir protéger la relique. Vous ajoutez une secte zarbie (la fameuse secte des bretelles rouges), un bon rythme, de belles images, quelques confrontations épiques et l’tour est joué !
Tsuyoshi Ihara très convaincant dans un rôle sur-mesure. 

Bilan des courses :  Scott Adkins sort du rôle furieux de Yuri Boyka pour un film moins vénère. Les scènes de baston sont correctes, très martiales « traditionnelles » dans l’esprit, nous profitons d’un panel d’armes « Ninjato, Bo, Nunchaku, Katana, Bokken, Sai, Shuriken, etc. » même si, à la grande déception des adeptes, le fameux Kusarigama (une faucille reliée à une chaine) n’est pas ou peu employé (un comble pour un Ninja). Hormis cette faute de goût, les acteurs tiennent la route avec une mention particulière à Tsuyoshi Ihara en Ninja pur & dur.


Un peu trop lisse dans le premier épisode, l’image de Scott Adkins allait se durcir avec la perte de son épouse. En effet, ivre de vengeance… il va devenir un implacable Ninja et décimer une armée de trafiquants en tout genre. 
                                                                          
Projeté dans la jungle Birmane, l’ombre est son alliée. Le pitch aurait pu être aussi simple que ça, mais il n’en est rien. Beaucoup plus soigné que son ainé de 2009, ce Shadow of a Tear propose d’excellents combats, une bonne intrigue et un revirement de situation. Ajoutez à cela, quelques visages connus dont Kane Kosugi (le fils de Sho), Mika Hijii, Tim Mann (VS Scott Adkins pour un affrontement époustouflant) ou Shun Sugata que l’on ne présente plus.
Enfin, les bonnes idées ne manquent pas à commencer par le début « un explicatif sur les Ninjas pendant la grande guerre ». D’ailleurs, Eric Van Lustbader avait évoqué le sujet dans son livre Le Ninja qui, je pense a dû être lu par les protagonistes et puis, il y’a les armes avec une sorte de Manriki Gusari (très appréciées - comme toutes les armes à chaines - par les Ninjas) customisée pour l’occasion, du Sabre, du Bokken, etc, vous verrez comment le héros va se les procurer, c’est très bien vu. Alors si comme Bibi, vous êtes un Fan de cinoche qui déboite, vous serez dans l’obligation de reconnaître que Mr Isaac Florentine nous a gâté avec une belle formule, soit : combo digipack Blu-Ray + DVD comportant les 2 films. Une belle image avec un Son efficace sans être assourdissant (même en VF). Seul bémol, les bonus sont justes (alors qu’un bon doc sur le Ninjutsu aurait été bien cool), mais bon… pour ce style de film, nous restons plutôt dans le combatif avec en sup : un poignant hommage et là est l’essentiel !
Chronique By JMI

dimanche 16 mars 2014

Chronique Blu-Ray.

                           NINJA ASSASSIN

 

Au vu du démarrage et après avoir englouti moult films sur le thème, je pensais (enfin) avoir trouvé la perle rare… en effet, les premières images sont exceptionnelles : un jeune caïd (accompagné de son gang) se fait tatouer par un vieux d’la vieille (c’est-à-dire à l’ancienne), mais que voulez-vous, la méthode Old School pique un chouïa et quelques échanges houleux vont flotter dans le loft. Soyez sans crainte, les blablas vont être interrompus rapidos par un messager délivrant une flippante lettre. A son ouverture (cachetée à la cire) le tatoueur commence à blêmir, bonne intuition, car en une fraction de seconde, l’ambiance se métamorphose en punition collective !   

L'Ombre du Guerrier ?
 
Puis, nous découvrons le jeune héros nommé Raizo, un Ninja qui, orphelin fut entraîné par le clan Ozunu, alors qu’il avait moins de 10 ans. Celui-ci s’échappera de sa condition pour combattre une mystérieuse organisation, c’est ainsi que dans sa lutte contre le crime, il va croiser la route de l’agent Mika Coretti (interprétée par la sublime Naomie Harris) qui elle aussi suspecte un groupuscule d’assassins Asiatique, plus communément appelé Ninja. 
 

Slash In The Rain...
 
Outre des scènes d’actions pures, ce film rassemble de belles idées qui - conjuguées d’un esprit aussi historique « les Ninjas ont réellement existé » que Martial, surtout dans l’Art - nous proposent un long métrage étudié. Les exemples ne manquent pas : au début « où le Ninja sort de l’ombre, l’image est fascinante », « l’entraînement où les disciples sont confrontés aux dures réalités de leur futur existence (certains passages rappellent même 300) », « la fratrie intraitable nous renvoie à HITMAN » ou encore le premier contrat de Raizo dans les toilettes d’un Palace. C’est bien simple, en moins de 40 minutes, tu te dis… ça va cartonner !
Plus fort que M6 et son Pensionnat, voici l'école Ozunu.
 
Pour la réalisation tenue de main de Maître par James McTeigue à qui nous devons l’excellent « V pour Vendetta » & le sympathique « L’Ombre du Mal », il n’y a rien à redire, c’est carré ! Les acteurs sont également parfaits : Rain « Chanteur, Mannequin & Danseur-Chorégraphe » (Je suis un Cyborg & Speed Racer) en Raizo,  Naomie Harris (que j’ai découvert dans 28 jours plus tard et bien sûr Pirates des Caraïbes), l’inoxydable Rick Yune, la magnifique Linh-Dan-Pham, Randall Duk Kim (Le Maître des Clés de Matrix) et même le grand Shô Kosugi en Dark Vador du Clan Ozunu, mais, car il y a un mais…
 
Je ne connais que 2 livres : Le Kamasutra & le GORIN-NO-SHO
 
 
Outre des dialogues évitables, il y’a quelques plans à éclaircir comme « par qui Raizo est prévenu pour sauver Mika ? », « pourquoi Mika rentre chez elle, alors qu’elle sent bien que le piège se referme ? ».  Pourquoi vouloir nous en mettre plein la gueule avec du superflus (le Héros est invincible, comment a-t-il fait pour survivre après la chute de l’immeuble ?) et surtout pourquoi vouloir le capturer ? Hélas, cette façon très Américaine de ramener le film à un public très large va transformer un super projet en simple bon film et je passe sous silence l’attaque du Dojo par les Forces spéciales (alors que chacun sait qu’un Ninja est avant tout, un espion haut de gamme… il n’y a donc pas de guetteurs aux alentours, étonnant non ?). Enfin dernière bêtise et pas la moindre : les Ninjas se mettent à cavaler sur la voie publique, pourquoaaaaaa !!!
Les Scènes de Combat sont à la Hauteur !
 
Bilan des courses : 40 minutes atomiques sauvent une fin bancale. L’image du Blu-Ray s’avère correcte (les flots de sang en numérique font parfois sourire), le Son pète bien et les Bonus assurent le minimum syndical.
 
A voir pour son démarrage haut en couleur !

By JMi

vendredi 14 mars 2014

Mad Movies.



 
Mad Movies Numéro 272. Une Couv avec Godzilla sur fond de ville en ébullition… ça le fait ! A cela, rajoutons un article très impressionnant « Le Point G » au titre formidablement trouvé. Vont suivre d’excellentes rubriques : Les Notules (avec un combat du mois plutôt lacustre, ainsi que des notules Asia à lire de toute urgence), Les Griffes du Cinéphage (dont un report sur la suite de 300, vraiment Top), Le Mad séquence sur « Faust », Le Mad Cut sur « Prometheus » et Y’a un truc sur « La Belle et la Bête ». Ceci absorbé, nous entrons dans l’actu (article + Interview) avec le tant attendu « L’Etrange Couleur des Larmes de Ton Corps », le Flippant « Dark Touch » & le Renversant « Real », puis nous profiterons d’un dossier sur Gerardmer enchainé d’une Interview de l’invité d’honneur Mister Kim Jee-Woon (depuis que j’ai vu A Bittersweet Life & J’ai rencontré le Diable, j’suis accro). Mad c’est également un Max de chroniques « Blu-Ray, DVD (dont, enfin une sortie du Prix du Danger d’Yves Boisset), Jeux, etc… », TELEMANIAC (Marvel Renaissance), Mad in France, Les Légendes du Fantastique consacré à l’immense Herschell Gordon Lewis. Le Mag se termine avec la Toute Première Fois « L’Incroyable Alligator », Un quartier Lemaire Endiablé, Le Monster Zone et la Pin-Up. Certes, le plus fort du Cinéma…

jeudi 13 mars 2014

BLAST-MAN, nous présente : Le Scoop qui Tue !

                                     TRES  IMPORTANT


      
LA BIBLE, nous apprend à nous aimer les uns, les autres...

 
LE KAMA-SUTRA, comment procéder !

mercredi 12 mars 2014

Happy Birtday...

         ... THE NUMBER OF THE STEVE !

 

Bon sang… ça c’est d’la Jaquette, m’étais-je dit à l’époque ! Tiens, je me revois encore débouler dans la boutique de disque à côté de chez moi. Petite, mais efficace, si ma mémoire est bonne : ce magasin était tenu par les parents des Martin Circus (groupe efficacement excentrique des seventies) à Nanterre 92. Plutôt sympas, ils avaient placardé les 4 tronches des Albums solos de Kiss en Poster Géant juste au-dessus des nouveautés Vinyles (c’est également là que j’ai découvert les 1er Maxi 45 Tours Elvis Promised Land ou autre AC/DC Touch to Much) si chers en mon cœur de Rocker. De plus, ils nous laissaient chiner dans les bacs, voire écouter des morceaux (même quand on n’avait pas de thunes, ce qui était souvent le cas) quand soudain… le vendeur m’annonce qu’ils viennent de recevoir à l’instant, le dernier Maiden. J’avoue qu’à l’époque, le départ du chanteur Paul Di Anno n’avait pas été vraiment bien digéré, Fuck Non : Killers nous avait collé la baigne du siècle et cela de sa jaquette de maboul à ses 10 titres pleine gueule ! Autant dire que reprendre derrière Killers c’était déjà chaud, mais avec un autre chanteur ?????

 
Bruce Dickinson, alors chanteur de Samson… je ne connaissais pas ou peu : en fait, je l’avais découvert dans un Clip qui intronisait une scène plutôt sauvage (celle des toilettes) du Film Incubus de John Hough avec John Cassavetes en 1981. La prestation du gaillard n’étant pas passé inaperçu, nous attendions que les Anges sonnent et ô surprise : Invaders nous proposait un voyage plutôt Space ! Cependant, c’est avec l’intro (si souvent imitée) de Children Of The Damned (hymne imputrescible scandé en Live par des Fans en délire) que nous avons reçu le message « The Number of The Beast » serait un grand, un très grand disque. L’info va être confirmée par The Prisonner et à l’instant même où Patrick Mc Goohan nous hurle qu’il n’est pas un numéro… nous savions illico que l’on tenait un monument. Tu penses, l’enchaînement avec un 22, Acacia Avenue (sorte de suite de Charlotte The Harlot titre du 1er Album) et son Riff de la mort nous expédiait plus de 6 minutes en compagnie d’une Basse de Folie. Puis, The Number of The Beast et la fameuse voix de Barry Clayton qui raisonne d’un “Woe to You Oh Earth and Sea” dans le cerveau de chaque Fan qui se respecte, allait enfoncer le clou.

Mais, The Number Of The Beast c’est également le hurlement de Bruce Dickinson qui après la phrase « My Mind and Brings me to Despair » nous prouve que c’est bien lui le patron. Le sacrifice se déroule la nuit et boum, un premier solo immédiatement enchaîné d’un second nous invite à entendre une Basse en fond de cour de pure folie !!! Après avoir obtenu le Feu & la Force, déboule l’intro de Run To The Hills (qui parle du combat des Indiens face à l’envahisseur Européen). Celle-ci nous invite à apprécier le jeu du batteur Clive Burr et bien évidement : quelques passages « Guitares - Basse » sont aujourd’hui gravés dans le marbre. Titre évocateur « Run to the Hills » reste encore l’un de mes morceaux préférés et autant dire qu’à l’époque, il nous avait furieusement scotché la tronche. De plus, hyper débridé pour du Heavy (NWOBHM) traditionnel, on n’en revenait pas de trouver un titre comme Gangland avec son ouverture quasi Trustiène pour finir en apogée sur Hallowed by the Name. Clôturé sur un parpaing double XL… me soulèvera cette réflexion : Putain, quel disque !

La Dream Team en Grande Forme et en Moule-Bite
 
Inusable, incontournable et imparable, bref : Bruce Dickinson avait réussi son examen d’entré devant des fans qui étaient un peu moins cool qu’aujourd’hui. Nous sommes en 1982 et la vierge tombe son pucelage, Eddy part en guerre pour plus de 30 ans de règne sur la planète Heavy !!!
By JMi

mardi 11 mars 2014

Le Pire To Pire...

                                       JURASSIK BARQUE !


Réalisé par Brett Kelly a qui l’on doit l’inoxydable Iron Soldier… comment dire ? Nous sommes ici en terrain conquis (forêt identique, Effets Spéciaux de maboul, cascades à couper le souffle et des acteurs que personne ne peut oublier). Y’a pas photo, Brett : c’est un style conjugué d’un bon scénario. Allez hop, on embarque pour le meilleur du pire.  
Le film commence avec 2 nanas à la plage (sans dec ?)...

Elles sont canons, elles sont seules et elles se demandent si l’eau est bonne, quand étrangement… nous nous retrouvons dans le couloir d’un laboratoire pour une démonstration de 2 acteurs en Freestyle !!! Manque de bol, au même instant sur l’autre rive, la ptite Tiffany (pourtant flinguée par ce bon vieux Will dans Men In Black) fait encore la fofolle et à force de remuer l’eau (pour asperger sa copine, ah les jeunes), elle se fait happer. Plus tard, nous apprendrons qu’il s’agit d’un Megalodon et vous allez me dire : Damned... c'est un requin préhisto ça ! Yes, mais il vient de remonter à la surface à cause d’incessants forages « honteusement entrepris dans un lac ». Mais, il était où le Big White pendant tout ce temps ? Suis-je bête, il était bloqué sous une couche de glace et la foreuse en creusant trop profondément a déclenché un séisme. Force de reconnaître que l’intrigue s’avère déjà passionnante, sauf qu'en plus... une bande de dangereux malfrats sévissent dans les parages et d’un coup, ça devient furieusement Rock ‘N’ Roll !
Ici : une photo du fameux Requin d'Eau Douce.


Pas crédible pour une cahuète, la bande de la fougueuse Barbara décide de traverser le fameux lac pour planquer leur butin (un tableau) et bien évidement touchée par le requin préhistorique la barque se renverse. Les joyeux drilles sont à la baille quand tout à coup, un homme hurle j’ai senti quelque chose me frôler la jambe, donc :
a)      Est-ce qu’un Megalodon dans un étang ça se remarque ?

b)      Est-ce qu’un Requin de 15 mètres de long peut te frôler sans que tu te pisses dessus ?

c)      Lors d’une promenade en chaloupe, est-ce bien raisonnable de placer une toile de Maître dans une bâche ?
Courgea, Crucha et Tanchette sont dans un bateau, le rameur tombe à l'eau ?
Certes, ça fait pas mal de questions pour un si petit film. De plus, au même moment, une seconde escouade de jeunes déboule pour profiter du panorama. En 15 minutes, le film bascule du nanar lambda en Nanar haut de gamme. Les protagonistes savamment triés sur le volet (1 Biactolien mangé d’emblée, 2 écervelées, une scientifique en herbe, une Bad Meuf, un malabar, un mec qui tapote sans arrêt sur l’épaule de ses amis et un savant) sont époustouflants, les effets spéciaux sont apocalyptiques et que dire de la mise en scène ?

Si les plans (interminables) habilement filmés dans la forêt (par devant en gros plan, par derrière dans la clairière, sur les Tongs, à la queue leu leu, etc…) sont d’une justesse foudroyante, n’ayons pas peur des mots : la confrontation des 2 bandes s’avère Wisiène et les retournements de situation marqueront le Septième art au fer rouge.


Haut les mains ! Heu... la Maîtresse en maillot d'bain ?
 A cela, ajoutons des répliques qui butent « un requin de cette taille, j’en ai jamais vu », « nous devons retrouver le tableau et nous tirer d’ici, (réponse) ainsi soit-il », « et si jamais ils nous ont vu à la télé (réponse) on n’avait nos masques », « ce n’est qu’un poisson (réponse) un poisson dangereux »,  « Docteur vous feriez bien d’enlever cette blouse pleine de sang (il y a du Rick Baker la dessous) ça pourrait attirer cette bestiole », « le requin a eu son entrée, à qui le tour… mince elles se sont enfuies dans les bois », « Rich (prononcé Rittch) arrête de tirer (réponse) laisse tomber, nous devons offrir les filles en sacrifice à ce requin », enfin du concret !
La DREAM TEAM au Grand Complet !

Dernier bon point, les décors : Le Centre au milieu de l'île = 3 planches, 2 tôles et un téléphone de 1973. La forêt dans sa version sombre avec l’agression (au gourdin excellent) du malabar par une minette de 50 kg et bien sûr « la Plage » The Beach… hommage vibrant à 300, pléthore de scènes filmées au ralenti (je perds mes tongs, mais comme par magie, elles reviennent et hop, je suis mouillé, sec, mouillé et re-sec) qui conjuguées à un finish Dantesque prouve (s'il en était besoin) qu’une Bad-Girl doit rester quoi qu’il arrive droite dans ses bottes.

En clair : du Haut Niveau. Evidemment, j’ai un passage préféré (repassé en boucle comme un gros maniaque) à 38 minutes quand le Docteur entre dans le lac tout y’est « la venue du requin en grognant svp... suivie du regard interloqué de 2 futurs stars olympiques (mention spéciale pour le costaud) ».
Naaaan, je n'suis pas la fille cachée de Dyna Meyer & de Mick Hucknall

Alors je vous imagine trépidant en réclamant plus d’infos ! Que nenni, je me garderai bien de dévoiler : 1) le thème du tableau perdu et 2) comment, nos aventuriers vont faire pour déjouer l’appétit de la bête qui est, je vous le rappelle "un Megalodon"  (un petit spitch au début nous explique ce qu’est un Megalodon), il serait cruel de spoiler un dénouement de la mort qui tue.  
T'as déjà vu des requins volants, non mais... allo quoi !

Bilan des courses : le Mega-TOP-lodon du Nanar (il y a même une faute dans le générique de fin), la pire adaptation Megalodiène de Tombouctou à Portland Maine et que rajouter sur la Zique ? Sur le Scénario ou sur le déroulement d’une intrigue au suspense insoutenable. Heureusement qu’à la fin, il est indiqué que c’est une œuvre de fiction. Du coup, si vous êtes fans de Megalodon, je vous invite à découvrir le livre de Steve Alten. Il serait d’ailleurs intéressant que les scénaristes arrêtent de piquer quelques paragraphes de cet excellent bouquin pour en tirer un (qui a dit plusieurs ?) misérable long métrage. Pour le reste, Jurassik Shark dure une bonne heure (bizarrement le générique s’avère super long) avec un beau twist de fin, hum… j’adore. De plus, facile à trouver d’occas, je l’ai pécho neuf à 1,90 Eur à NOZ et ce n’est pas cher pour une soirée de franche rigolade.
Pas cher, pas cher... ça m'fait une belle jambe !!!!

Chronique DVD By JMI. Chaudement conseillé par Tronço…

dimanche 9 mars 2014

La Blague Salace du Père Freddy...

                                      RICHE & BELLE ?


C'est l'histoire d'une femme fortunée, qui cherche un mec rapidos.
Elle passe donc une annonce dans les journaux :
- Cherche homme aimant l'argent pour en profiter ensemble, mais surtout qui ne soit pas violant, qui ne tourne pas les talons sans raison, et qui soit bon amant.
Dès le lendemain, elle reçoit une flopée de réponse et proposition. Mais rien ne la tente... le soir même, la sonnette de sa porte retentie.
Elle ouvre et ne voit personne. Ses yeux se portent au sol et là elle voit un homme sans bras, et sans jambes.
- Oui Monsieur ? vous désirez ?
- Je viens pour l'annonce, car je suis l'homme qu'il vous faut. Vous vouliez un homme non violent... Je ne peux pas être violent, Je n'ai pas de bras ! Vous vouliez un homme qui ne tourne pas les talons pour un oui ou pour un non, je ne peux ; j'ai pas de jambes....
- Ok, mais qui me dit que vous êtes un bon amant?
- Et vous croyez que j'ai sonné avec QUOI ?

vendredi 7 mars 2014

En Cette Journée...

                                             ... De La Meuf !

 
Voici la preuve que : Pour un Vrai Mec "Une Histoire d'Amour" peut durer très Longtemps !

dimanche 2 mars 2014

Alors...

                                   ... C'EST QUI L'PATRON ?

 
- LE METAL : C'EST VITAL -