mardi 14 novembre 2017

On reste à l'écoute...

                                                               ... ARCH ENEMY !



Autant être clair, après le départ d’Angela… j’ai plié les gaules. J’étais tellement impressionné par la Dream Team d’un Anthems of Rebellion ou d’un Rise of the Tyrant que je ne pouvais imaginer un changement ! Avais-je tort ? Sans doute et le premier à m’avertir ; c’est Baptiste mon n’veu qui en grand Fan de base m’a dit « la nouvelle chanteuse est excellente, fais l’effort, écoute leur nouveau disque ». Le mélomane multi-instrumentiste, avait vu Arch Enemy en Live et il avait trouvé le show très bon. Je gardais l’idée sous le coude, puis de Death en Metal, je perdais l’information ; lorsque la chronique de Morgan Rivalin dans Rock’Hard m’a remis sur la piste des aventuriers de l’art perdu. 
Un bonheur n’arrivant jamais seul, j’apprends que Jeff Loomis fait parti du nouveau Line-up, crénom d’un Riff poilu, il me fallait en savoir plus. Je décolle illico et je trouve le CD en digipack chez mon disquaire attitré. Très beau Digi avec « autocollant, Logo, livret » estampillé sublime, allez hop j’enquille et je surfe en terrain conquis. L’intro prépare à ce qui va suivre : un bon gros démarrage en trombe et banzaï. La vache ; ça tamponne, mieux, les changements de rythme sont ultras carrés et les solos nous engagent vivement à poursuivre. Quant à la bougresse, y’a pas photo : elle est en voix !

http://www.archenemy.net/en/
Le 1er titre « The Race » pose le décor, ça va être Rock N Roll et mélodique, j’abdique… second morceau « Blood in the Water » affiche quelques Riffs de la mort et un tempo soutenu. La suite sort d’un moule identique avec un The World Is Yours vitaminé et très mélodique. The Eagle Flies Alone se veut tailler pour le Live (énorme morceau) fédérateur en Diable, il reste l’un de mes titres préférés.

Je ne vois pas le temps passé, lorsque surgit un « Reason To Believe » qui n’aurait pas fait tâche sur un album de Scorpion. Une bonne vieille Power Ballade des familles chantée (grognée parfois) par la délicieuse Alyssa et accrochée par un superbe solo, ah ouais Excellent ! Décidemment, tout y passe, basse, Riff, tempos enfiévrés (Dreams of Retribution), interlude et solos de hautes volées (celui de « My Shadow and I » reste un must du genre), l’album malgré quelques variantes reste compact. On ne sent lasse pas et même, il progresse furieusement après une dizaine d’écoutes. Will To Power se termine avec deux grosses pièces « A Fight I Must Win » & une reprise de GBH « City Baby Attacked By Rats ». Alors, ne t’inquiète pas si ton doigt réenclenche sur play… c’est normal camarade !

Une prod incroyable, un Son démentiel et 12 parpaings qui vont t’inviter à twister un Zouk magique en pleine chambrée. Damned… il m’en ferait presque aimer le Néo-classique !

dimanche 15 octobre 2017

C’est une PREMIERE.


Tout neuf, tout beau… voilà un petit bouquin bien sympathique. Je dis bien « petit bouquin », car nous sommes plus dans cet esprit que dans l’esprit d’un magazine. En effet, sa structure (petite & large) lui réserve une bonne place dans la biblos. De plus, outre cette superbe mise en page, le contenu va ravir une belle masse d’amoureux de cinoche. Jugez plutôt : 10 films nous sont présentés sous un angle différent. Making Of, Anecdotes, Interviews, Photos, Dessins & Fiches à collectionner vont alimenter les 194 pages de cette première édition Classics !  

D’emblée le Sommaire tape très très fort : Terminator 2, 37°2 le Matin, New-York 1997 avec une spéciale Snake Plissken, 3 Hommes et un Couffin, Ben Burtt & Star Wars, Full Metal Jacket avec une Interview de Stanley Kubrick, Le Samouraï, Highlander, Les Diaboliques & Superman Lives. Autant dire, qu’une fois « le précieux » dans la mimine, on ne décroche plus. Seul hic (de choc quand même), son prix 14,90 euros, ça fait un peu cher. De mon humble avis, s’il avait affiché un « 10 euros »… c’était un 20/20 ! 

mercredi 11 octobre 2017

BLAST - MAN, Nous Présente :


... Le Scoop Qui Tue !


Les perdants du Loto appartiennent tous au même groupe sans gain. 


jeudi 28 septembre 2017

Rock Hard.



Pour la rentrée, Rock Hard nous balance un super N° 179 et je pèse mes mots. Certes, ça faisait quelques temps que je n’avais pas acheté l’un de mes magazines préférés et ô surprise, l’entame me rétame ! Qu’est-ce que je lis… certains Metalleux seraient devenus aussi tristes qu’intolérants ? Merdovski, m’écriais-je en Polonais, moi qui vantait l’esprit Metal (combien de fois prouvé lors de multiples soirées plutôt Rock N Roll) en ces termes : les Nanas & les Mecs qui écoutent du Metal sont les personnes les plus cool que j’ai rencontré. Ok parfois déconneurs ou tapageurs, mais toujours sympas, intéressants, prévenants et très ouvert d’esprit donc. Une page se tourne alors ?  Fort heureusement, le Metal c’est Mental et ce bon vieux Mag nous en donne la preuve : des Interviews, des chroniques, des reportages, des Concerts, des News, sans oublier un CD qui déboite !
Pour en savoir + c'est par là : http://www.rockhard.fr/

samedi 16 septembre 2017

Les Gun's...

                                                      ... Welcome to The SDF !



Je ne vais pas y’aller par 4 chemins (vu que c’est tout droit par l’autoroute), pour me faire monter à Paris (oui, chez les ploucs on dit monter), il faut au moins la venue de Slayer, Napalm Death, AC/DC ou des Stranglers, mais… une reformation des Gun’s N roses ça peut l’faire aussi ! Alors « reformation » n’exagérons rien, il s’agit d’une grosse partie des Gun’s et pour faire court Slash & Axl. Sauf que mon préféré fut (et reste toujours) Duff, pour Bibi y’a pas photo c’est lui le plus Rock’N’Roll de la bande et le titre qui balancera tout seul comme un grand confortera mon avis.


Du coup, que faire ? C’est loin, cher et en plus, il n’y a pas Izzy… cependant, je devais bien ça à ma fille chérie qui, toute petite fut bercée avec Appetite for Destruction. Allez ; on fait chauffer le Touran et c’est parti : 2 h30 de route, puis arrivé à Paris re 2h30 de cul à cul, de parechoc à coup de klaxon, d’olibrius qui te doublent dans tous les sens et d’imbéciles motorisés qui slaloment comme dans la guerre des étoiles. Bref, de quoi se chopper un ulcère en une après-midi.  


Nous arrivons au stade de France et bon sang… je l’avais vu de l’extérieur, mais je n’étais jamais entré, donc le premier mot qui me vient à l’esprit est Impressionnant ! Arrivé à la bourre (ratant les premières parties) nous nous positionnons dans les gradins, nous voyons l’édifice se remplir et juste à côté ; la scène balance des morceaux couplant image & son version Looney Tunes quand soudain : Duff déboule sur un It’s So Easy des familles.


Axl est en voix, Slash en grande forme et le groupe se solidifie au fil des morceaux : Mr Brownstone, Chinese Democraty, Welcome to the Jungle & Double Talking Jive passent comme papa dans maman.  On calme le jeu avec un Better qui tombe comme un cheveu sur la soupe, pour enchainer sans mollir d’un Estranged un chouia plus couillu, mais c’est la reprise des Wings « Live and let die » qui va relancer la machine.


Une machine hyper bien huilée, qui enquille un best-of : Rocket Queen (avec un excellent solo de Richard Fortus) ou You Could Be Mine, mais c’est surtout New rose (reprise de The damned) qui va tout démonter ! D’ailleurs des reprises, il y’en aura beaucoup et certes entre This is Love, Civil War, Yesterdays, Coma, My Michelle & le monstrueux Sweet Child Of Mine, on sera surpris d’être étonné « Black Hole Sun, Knockin ‘On Heaven’s Door (avec des longueurs de piano à la November the Rain, mais bon il y’en a qui aime) le Parain, Wish You Were Ere, un ptit coup de Jimmy et le concert s’achève avec un Nightrain anthologique.


Il fait nuit et le SDF est magnifique, ça tombe bien car déboule « Sorry », 1er titre en rappel, puis « Patience » et « Whole Lotta Rosie » d’AC/DC ! Ah ouais… énorme, c’est très très fort et qui plus est, les Gun’s jouent depuis plus 2 heures. Axl s’est changé un max de fois, Slash reste inoxydable (il nous gratifiera même d’un poirier en fin de concert, ah ces gymnastes !), Duff domine toujours son sujet et le reste du groupe suit aux taquets la bande de joyeux drilles. Sauf que les Gun’s savent faire monter la température avant le décompte final : Don’t Cry, The Seeker des Who et un finish « feu d’artifice époustouflant de force, d’émotion et d’énergie » façon Paradise City nous colle au bastingage !


Les Gun’s sont venus, on a vu, ils ont vaincu…   

mercredi 31 mai 2017

Je MAD'pelle Groot !

Aussi bizarre que ça puisse paraître, je n’achète que très rarement Mad avec le DVD. Pourtant, je reconnais que l’idée est bonne, mais je suis de la vieille école et bien que j’étudie consciencieusement les avis, les critiques et les chroniques proposés, je ne mélange pas. Je préfère acheter mes films à part, par contre lorsqu’il s’agit d’un documentaire… je le prends les yeux fermés !


https://www.mad-movies.com/

La lecture déroule un beau programme : Les Gardiens de la Galaxie 2, Laissez Bronzer les Cadavres, Ghost in the Shell, Tunnel, On l'Appelle Jeeg Robot, Get Out, The Town That Dreaded Sundown. Un superbe Hommage à Bill Paxton, Nathan Juran, de l’animation et toutes les rubriques habituelles « sorties, chroniques, critiques et le (toujours Top) B à Z de Mr Christophe Lemaire ». Enfin, le Mad Mag est bouclé par Give me five avec une préférence de films par Ciaran Foy.

https://www.facebook.com/MadMovies/

Cher(e)s ami(e)s, n’ayons pas peur des mots ; le DVD Mad du mois « Le Complexe de Frankenstein » est époustouflant ! Mrs Gilles Penso & Alexandre Poncet nous invitent dans leur train fantôme pour une visite guidée dans les ateliers et autres laboratoires secrets des plus grands visionnaires des effets spéciaux : The Thing, Legend, l’Exorciste, le Loup-Garou de Londres, Robocop, la Mouche, Alien, etc. l’ensemble à grand renfort, d’interviews, d’explications et de Bonus incroyables, bref… c’est énorme, tellement énorme qu’après visionnage du DVD, je vais acheter prochainement le Blu-Ray. 

mardi 31 janvier 2017

La Blague S.O.S du Père Freddy...

C'est un gars qui va au poste de police rapporter que sa femme a disparu.
Le gars : Ma femme est partie faire les boutiques et elle n'est pas revenue depuis deux jours.
Policier : Combien mesure-t-elle ?
Le gars : Je ne lui ai jamais demandé....
Policier : Maigre ou grosse ?
Le gars : Pas maigre ; elle est peut-être un peu grosse, mais j’suis pas certain.
Policier : Couleur des yeux ?
Le gars : Je ne saurais pas dire.
Policier : Couleur des cheveux ?
Le gars : Je ne sais plus, elle change chaque mois.
Policier : Qu'est-ce qu'elle portait ?
Le gars : Une robe ou un pantalon - me rappelle plus exactement.
Policier : Était-elle en voiture ?
Le gars : Oui
Policier : Description de la voiture, s'il vous plaît.
Le gars : Une Audi, gris anthracite, V6 super turbo 3.0 litre avec une transmission tiptronic semi-automatique à 6 rapports, phares LED à diodes, GPS intégré, sièges en cuir couleur chamois. En options : toit ouvrant, sièges chauffants et réglables en hauteur, petit bar entre les sièges arrières dans l’accoudoir rabattable, attache-remorque, N° Immatriculation LH 123 MK, N° de série du châssis ARTt125698 7/ 456 / 258, N° série du Moteur BBM 687123 546/ 89478 /25647 et une légère mais vraiment très légère égratignure sur la porte du conducteur.
Et là, le gars se met à pleurer.... 
Policier : Du calme, on va la retrouver, votre voiture.