samedi 2 juillet 2011

Un Monde Merveilleux...


Chroniqué sur le champ... du Grillon à la rubrique << films nécessaires à la survie de l'humanité >>. Il me faut vous préciser que Wayne's World n'est pas un DVD de Zique, mais nous, du moment que ça parle déconne, Sex & Rock'n'Roll… Nous ne sommes jamais bien loin. Du coup, Il nous fallait impérativement mentionner ce film mythique !


Entouré d’un pitch ultra simple, Mike Myers nous délivre une véritable aventure humaine sous fond de Hard Rock. En effet : 2 potes (légèrement déjantés) animent une émission de TV (également déjantée) dans le garage familial. Ils ont une mission, un langage, des idées et des réflexions bien à eux. Devant autant de talent, un producteur (aux crocs acérés interprété par Rob Lowe) s’intéresse aux 2 phénomènes, qui de leur côté "tracent la route" pour assister à un concert d’Alice Cooper !


D’excursions sauvages en vannes qui tuent, Wayne & Garth (L'ineffable Dana Carvey) vont découvrir le monde terrible du show business. Alors, tandis que Garth ne vit que pour une serveuse canon et une batterie flambant neuve. Wayne n’assiste qu’à pécho une Strato et Cassandra (Tia Carrere quand même) la Bassiste d'Ultime Razzia (un groupe de Rock bien vénére et surement fan de ce bon vieux Stanley). Certes, un DVDphage normalement constitué ne peut qu'être sensible à ce type de demandes et si le spectateur compatit, il ne peut qu'au fil des minutes, les encourager à foncer têtes baissées. Mais, fallait-il vraiment les encourager ?





Si la réponse s'étalera puissance 10 sur vos scintillants écrans, je rajouterais qu'en fait, ce flim n'a qu'une seule embrouille, celle d'avoir ratée les 2 groupes en ouverture, soit : Les Géants verts de la Haine et les Puducus. pas évident de retenir ses larmes, mais bon... l'essentiel demeure évidement de trouver ce divertissement léger, pertinent et porteur de concepts sous-jacents qui démantèlent le contenu émotionnel du film dans sa première approche. En clair :  C'est Incroyable mais Wayne !



Deuxième Round : auréolé d'un succès notable, il n'aura fallu que très peu de temps pour remettre le couvert. Allez hop, on prend les mêmes et on recommence, sauf que cette fois : Penelope Spheeris (à qui nous devons le légendaire Les Allumés de Beverly Hills) a laissé la réalisation à Stephen Surjik (éminent spécialiste de séries TV). Alors, pour faire court, nous dirons qu’un an a passé et nos 2 héros (au seuil d'être enfin adulte) vont devoir se remettre en question. La raison en est simple : Un indien zarbi pratiquement à poil vient rendre visite à Wayne dans son sommeil. Celui-ci l’emmène à la rencontre de Jim Morrison dans le désert (un désert aussi zarbi que l’indien vu que l’on retrouve Sammy Davis Jr par exemple). Après une longue discussion, la lumière fut et voilà nos amis plus un roadies (et quel roadies) embarqués dans un concept de dingue « recréer un Waynstock ».


Naturellement, un producteur véreux (Christopher Walken) va tenter de soulever la meuf de Wayne, l'organisation du show s'avère colossale et pour corser le tout, la mairie (sous l'égide d'un mec à l'œil de braise) va engluer de formulaires aussi chiants que compliqués les protagonistes, mais ouf dans ce monde de discorde… il y aura un chouïa de bonheur vu que Garth va connaître l’amour avec Kim Basinger, qui dit mieux ? Bref, sans dévoiler les moments phares, on s'marre non stop, il y a des parodies anthologiques (dont un passage dans une boîte Gay énormissime), Caméos à gogo et outre un max de clins d’œil au cinoche, on note une bande Son à tomber à la renverse. Y 'a pas photo, on sent déjà les prémisses du gars qui allait devenir Austin Powers et là ; Total Respect !


Bilan des courses : ce deuxième volet est encore plus barré, plus Fun, plus Cool, plus Bruyant et cerise dans le cake... si t’es fans d’Aero (smith hein, pas phagie), tu vas halluciner !


Chronique DVD By JMi.

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