mardi 8 décembre 2015

Le Captain, nous explique...


         … Comment éviter de se faire arnaquer en achetant un DVD !
 

Attention les enfants, histoire de vous faire cracher au bassinet : les têtes pensantes ont trouvé le filon. En effet, après le Director’s Cut, L’Extended Cut & le Final Cut… Voici le Dans Ton’Cut !
 
Alors soyez prudent et Joyeuses Fêtes.

lundi 22 juin 2015

DE QUOI...

... J'ME MEL !!!!



Le S3-V1 comporte un édito vraiment costaud. Au programme : 15 années à fond la caisse avec les Mad Max, ce qui inclus (évidement) Georges Miller, Mel Gibson (l’article l’Apocalypse selon Saint Mel est excellent), ce bon vieux Vernon Wells, mais également quelques clones Philippins… dans les gencives !!! Niveau Zique, Marilyn Manson, niveau Sport, Michael Jordan, niveau cinoche, les Wachowski - Sly & Schwarzi, du Simpson, des dessins, des affiches, de la folie, des séries taille Magnum, de la VHS et un retour toujours sympathique sur des films légendaires comme DARYL, mais non pas Daryl Hannah (quoi que, quelques photos de notre sirène préférée devant la statue de la liberté… on prend !), je parle du film de Simon Wincer qui réplique heu… ah bin du coup, le nom est prédestiné alors ? 
                                                                 http://rockyrama.com/

mercredi 10 juin 2015

La Toile qui Toise :

                                              FURY ROAD 3D.



Plus d’essence, plus d’eau et presque plus d’air… en effet : le sable pénètre par tous les pores de notre peau et ce nouveau Mad Max nous asphyxie dans bien des domaines. Tour à tour époustouflant avec des scènes de poursuite que ne renierait pas un Peckimpah au mieux d’sa forme, Hallucinant face à des paysages découpés par un peintre obsessionnel compulsif & nous  éblouissant grâce à une Charlize Theron bien loin de son image glamour… qu’on adore. En clair, nous survolons la limite de l’imaginable !
Fury Road ou un Démarrage en Trombe...

Et si je mentionne la belle Charlize avant Tom Hardy, ce n’est pas pour dévaloriser l’acteur, car succéder à Mel Gibson n’est guère à la portée de tous (sur le coup, il s’en sort vraiment bien), mais soyons clair : la Star du film c’est Furiosa et je rajouterais même, que c’est un coup de Maître de la part de Georges Miller et certes, ceci mérite une explication, car Remplacer Mel Gibson, c’est impossible pour la simple et bonne raison, qu’il est irremplaçable, donc ; travailler sur une mise en place en vue d’une (je l’espère fortement) suite ou d’une future trilogie en ne misant pas tout sur l’acteur portant les traits de Max… ça c’est génial.

Imperator Furiosa

Ensuite, lorsque j’évoque une suite et dans l’esprit où Fury Road se passe avant l'excellent (pour ne pas dire le meilleur) Mad Max 2 le Défi, il faut bien se rappeler que Max possède encore son Interceptor et si nous voulons être raccord, il faut éventuellement la réparer cette légendaire bagnole ! Ce qui est largement faisable dans une suite de Fury Road.
Le Légendaire Interceptor.

Cela dit « raccord & Georges Miller » j'ai quand même un doute… perso, je n’ai jamais compris pourquoi on revoyait l’Autogire dans le 3 ? Mais pour être totalement honnête, je n’ai jamais vraiment capté le 3. Alors parlons plutôt du 4 : Poursuivi par des furieux, Max se fait capturer, il est ramené « pieds & poings » liés dans une communauté aussi stricte que barbare commandé par un despote au nom d'Immortan Joe. Celui-ci (interprété par H-K Byrne jouant le rôle du Chef des Aigles de la route dans le 1) se veut défiguré, d’ailleurs à l’instar de ses congénères, il est physiquement touché (il porte un masque respirateur, une armure spéciale, etc…).

le colonel Joe Moore dit « Immortan Joe »

Fort heureusement (pour lui) Max s’avère sain et grâce à son groupe sanguin universel, il sera épargné, mais saigné comme une bête, il servira de « globular » pour d'éventuelles transfusions. Au même moment, une alliée d'Immotan se révolte en volant un camion chargé d' un contenu aussi précieux que mystérieux. Suite à ce subterfuge prémédité, elle  décide de s’enfuir dans le désert via une direction secrète. L’alerte à peine donnée, les horribles partent à l’attaque avec un Max attaché (toujours câblé en transfusion) tel une figure de proue sur le devant d’un navire déchainé : il est muselé, tatoué, très énervé et ça va chier !    
 
2 heures de claques dans la tronche, voilà ce qu’est Fury Road… croyez-moi, le titre est justifié ! Furiosa (alias Charlize Theron) porte également bien son nom, elle drive un gigantesque camion comme moi un karting à la fête du village, elle se bastonne, elle tire sur tout s’qui bouge, elle est outrageusement belle et la seule question que l’on se pose est : si nous étions à la place de Max, est-ce que l’on oserait lui demander de dire camion ? Outre cette question existentielle, parlons scénario : beaucoup plus fouillé qu’il n’y parait, nous trouvons une multitude d’histoires dans l’histoire, un (Mad) Max de clin d’œil et surtout de franches et bonnes idées dont celle du guitariste qui est juste énorme ! Ajoutons à cela un découpage exemplaire, une mise en scène au cordeau et une zique à pleurer.

dimanche 7 juin 2015

La Toile qui Toise : Suite...

    
 
Parlons Cadrage & Cascade et là, je ne vois qu’un terme «  le Top du Top », il parait que la réalisation s’est faite sans image de synthèse « Respect ».  Les cascadeurs sont possédés, les bécanes volent par-dessus les véhicules, des mecs sont accrochés à des perches, les pilotes conduisent en tous sens, il y’a des feux d’artifices, des flammes, des explosions, du sang, du sable et des larmes, le tout chauffé à blanc et filmé à donf ! 
 
 

Les accélérations te collent au siège et le passage dans la tempête est vraiment pas sage, les vilains sont flippants à souhait (ils ressemblent un peu à Chad Gray, le chanteur de Mudvayne période Dig), les véhicules sont d’un autre monde (ça tombe bien) et les paysages sont exceptionnellement mis en valeur. Quant à la mise en scène, le mot « démonstration » ne s’avère pas trop fort ! Parlons scénario, comme je le stipule ci-dessus, il y’a des tiroirs et il faut le visionner plusieurs fois. En effet, passé la seconde et la troisième : on se dit « je n’avais pas vu ça ou je n’avais pas compris tout à fait ça » etc… Autant dire, qu’il faut le mater au moins 3 fois, car j’ai lu quelques critiques nous expliquant que le scénario demeure bas du front et je ne suis pas d’accord. Alors Ok… c’est une attaque de convoi qu’on voit et j’en suis resté sans voix ! Remarquez, lorsque je vais voir Mad Max, je ne vais pas voir la Petite Voleuse, bien que ce soit du Miller. SVP rendons à César ce qui est à George en sommant toute velléité, car Mad Max cuvée 2015 tanne le cul à bon nombre de Blockbuster et autres films du type grande gueule.
 
  
Parlons dialogue : ils sont inutiles et il suffit de croiser le regard d’Immortan Joe pour comprendre ses intentions, de découvrir une Furiosa enragée ou un Max au bord du gouffre pour définir qu’en une séquence tout est dit. En clair, C’est un cinéma qui t’invite à un « ne parle pas et regarde ». D’ailleurs, ce n’est pas la peine d’expliquer quoi que ce soit, il suffit d’observer ! Tout est soigneusement indiqué plan par plan…

Parlons 3D : c’est bien simple, il y’avait du sable dans la salle et rien que pour le passage où les véhicules (dont celui du gars qui joue de la gratte chalumeau) s’entrechoquent : il faut le voir en 3D !  
 
Bilan des courses : Un film de dingue, une image de maboule, des acteurs incroyables et le tout balancé dans un mixeur nucléaire. Je  n’ai qu’un léger et seul bémol « la fin qui m’a laissé sur ma faim », mis à part ça… Born To Be Wild ! 

lundi 25 mai 2015

L'ECRAN FURIEUX...

FRANCHEMENT FANTASTIQUE ! 

 
Décidément le retour de Max aura fait couler beaucoup d’encre. De nombreux Magazines vont même le coller en première page, sauf que rendons à César ce qui appartient à l’Ecran. En effet, les Fans de ma génération se rappellent obligatoirement de l’Ecran Fantastique N°22 avec sa formidable couverture évoquant l’affiche du 1er Mad Max. Nous sommes au début des années 80 et à l’époque Mad Max était un film sulfureux, interdit, censuré, etc. Il est vrai que c’est un film dur, brutal et qu’il faut posséder un certain recul pour l’analyser correctement, mais de là… à le classer X ? Du coup, quelques coupes vont alléger le récit et le lancer dans les salles Françaises en 1982. Evidemment, il faut avoir 16 ans pour le découvrir (aujourd’hui la limite d’âge fut réévaluée), mais pour être honnête (à l’époque) je n’ai pas compris tout ce tapage. D'ailleurs des potes l’avaient vu avant moi, en l’évoquant certes comme un film violent, mais pas « insoutenable » comme certains voulaient nous le faire croire ! Du coup, de nombreux curieux l’ont maté que bien plus tard en vidéo. Hélas, la petite lucarne fait perdre un gros impact au film, car il faut absolument voir Mad Max au cinoche !

J’ai lu des tas de textes sur Mad Max ou d’un côté l’intellectualisation du film pousse les auteurs à identifier la moindre chose et de l’autre ou l’on frôle la déconnection neuronale, comme « le sempiternel » le film aurait mal vieilli. Cette affirmation est ressortie systématiquement lorsque le chroniqueur n’a pas capté l'esprit de ce film ou lorsqu’il veut épater la galerie. J’en veux pour preuve qu’avec ce type de péloche, il ne faut pas s’prendre la tête : il ne s’agit que d’un mélange de western, d’action & de vengeance. Les scènes de courses poursuites sont époustouflantes, les cascades restent spectaculaires de bout en bout et l’histoire conforte un grand sens de l’honneur à son héros qui, vengera sa famille et son meilleur ami à grand renfort de scènes aussi héroïques que déjantées, voilà tout. Après, il y’a la réalisation et en termes de courses de bagnoles, force est de reconnaître que c’est un truc de dingue non ? Pourtant à l’époque, nous étions déjà bien briffé avec des « Bullit, Point Limite Zéro ou la Grande Casse » et je ne pense pas que George Miller ait eu le même budget ?
Enfin, Mad Max doit également sa réussite à une bonne zique et des acteurs incroyables : Mel Gibson (Max Rockatansky), Steve Bisley (Jim Goose le Gorille), Hugh Keays-Byrne (le chef des Aigles de la Route), Tim Burns, (Johnny Boy), Roger Ward (le Capitaine), Geoff Parry (Bubba) ou Reg Evans (le chef de gare), des tronches comme on dit, sans oublier Joanne Samuel (la superbe Compagne de Max). L’ensemble « passé à la moulinette Miller » demeure et restera un excellent Bis et peut-être même ; l'un des meilleurs films Bis de tous les temps ? 

Dans les années 80, l’écran Fantastique était plus petit, il comportait 80 pages environ et coûtait assez cher (à l’époque 20 Francs, c’était chaud – cependant, c’était un bimestriel), mais il était et il est toujours, extraordinaire pour les amoureux que nous sommes. Pour ce numéro, on trouvait des actus, des entretiens avec Lucio Fulci, Vincent Price, John Hough, Harrison Ford, Ivan Reitman, Terence Young & Franck Marshall, de nombreuses chroniques, des explicatifs sur les festivals, des films « Les Aventuriers de l’Arche Perdue, le Loup Garou de Londres, rien que pour vos yeux, La Maison près du cimetière, Blue Holocaust, Incubus, la Vidéo, quelques films Hongkongais, des effets spéciaux avec Au-Delà du réel de Ken Russel, des News, etc. Bref, un mag hyper complet qui reste une valeur sûre encore aujourd’hui. 

Certes la nouvelle formule s’avère plus belle, plus grande, plus riche et au niveau photos… personne ne peut rivaliser. Au sommaire de ce numéro : des Previews « Snow Girl and the Dark Crystal », des Actus avec A la Poursuite de Demain, Pyramide & Mad Max Fury road, des Séries TV, des Chroniques (DVD, Blu-Ray, Coffret, Livre, etc.), les Sorties Ciné & DVD, les films que l’on ne verra jamais « un Remake de Planète interdite avec explicatif », Ciné-Comics, un très beau dossier nommé « Apocalyspe, Now » sur la littérature Post Apo (ce qui englobe la Guerre nucléaire aux Catastrophes & autres Cataclysmes) signé Jean-Pierre Andrevon, le fameux From Beyond (sur les films boudés par les réseaux officiels), le Film Culte « Destination Finale », les effets Spéciaux, Fantastyka « un mag dans l’mag » avec un dossier sur Kevin Connor et les Dinos des Continents oubliés (toute ma jeunesse, vu au cinoche de mon quartier), Irwin Allen et ses films catastrophe, puis Toxic et le Court Metrash, les Terreurs Folkloriques, dans l’enfer des écoles, sans oublier Evil Dead. Alors ce n’est pas un beau Mag avec tout ça "146 pages" et pour en savoir + c’est par là :    https://ecranfantastique.fr/

Nota : une superbe copie est sortie sous forme de trilogie (Mad Max, le Défi et au-delà du Dôme du tonnerre) en Blu-Ray. Il s’agit du coffret collector vendu dans un petit bidon d’essence, il est Top.

jeudi 23 avril 2015

Le Captain, nous explique...

                       ... Un Cours D'Anatomie : Philosophique !

Il faut juste savoir que chez une femme, le point G se trouve à la fin du mot Shopping

samedi 28 février 2015

The Number Of The BIS !

Il y’a des jours comme ça, on ne sait pas pourquoi “tout baigne”.


Alors que je m’approchais de mon magasin préféré, je fus soudainement touché par un éclair de lucidité. Certes, avant de faire rougir la carte bleue, pourquoi n’irais-je pas faire un tour à Noz ? Et là, ô surprise sous mes yeux ébahis, toute une collec de Neo Publishing !

Bloody, Emanuelle, Pervert, le Continent, Inseminoid, du Giallo, du Zombie, de la maison au fond du parc, de la terreur, j’en passe et des meilleurs. Sans mollir, je dévalise le rayon en grognant comme un maniaque et je paye mon forfait d’une poignée de roubles. Regardant tout ça de plus près, je note quelques digipacks dont 2 signés Lucio Fulci. Crénom d’un Mort Vivant Conquistador !!! Je découvre une magnifique édition du célèbre L’Enfer des Zombies & de Frayeurs : Coffret Collector avec le DVD du film en version intégrale, un second avec Bonus et l’ensemble agrémenté d’un beau livret. Comme quoi, NOZ c’est pas naze et si tu zones à Noz, tu passes illico du Neo à l’ancien, voyons cela :
A Table !

L’Enfer des Zombies est sorti en 1979, ce fut un énorme buzz à l’époque. A un point tel que les passionnés de ma génération ont usé la VHS de « South Pacific Vidéo » jusqu’à la corde. Autant dire, qu’au même titre que la fameuse trilogie horrifique (avec Frayeurs & l’Au-delà), L’Enfer restera un sacré film, pour ne pas dire « l’un » des films de référence de toute une époque. Mélangeant Horreur, Aventure, Exotisme & Survival, l’Odyssée débute par un bateau entrant dans le port d’une grande ville. Celui-ci d’apparence vide… erre sur la grande bleue. La Police fluviale intriguée fouille le voilier quand subitement un garde-côte se fait égorger par un homme en état de décomposition. Son coéquipier dégaine, tire et la créature passe par-dessus bord. Puis, le bateau amarré, une jeune femme se voit convoquée par la Police, car elle serait la fille du propriétaire. Bien décider d’enquêter sur la disparition de son père, Anne Bowes accompagnée du journaliste Peter West vont se rendre sur l’île maudite et découvrir « l’horrible » vérité. Damned, ça fout les jetons... 

ça va charcler !

Ajoutez, de bons acteurs « Ian McCulloch, la délicieuse Tisa Farrow (sœur de Mia), Richard Johnson (l’étrange Dr Butcher), Al Cliver (en aventurier), Olga Karlatos (en Infirmière), la bombe Auretta Gay et même Lucio Fulci qui fera une apparition » à un bon pitch, secouez & assurez-vous d’en remettre une couche (comme c’était souvent le cas dans les années 70-80 avec les Italiens) afin de placer votre film au rang des incontournables.  



En effet, si les images basculent du paradisiaque au gore craspec, nous trouvons en plus : 

-          Une touche d’action teintée d’érotisme.

-          Une bonne dose de lutte pour la survie. 

-          Une bonne zique de Fabio Frizzi. 
Evidemment, le trio gagnant ne serait pas totalement complet sans quelques passages épiques dont : un combat entre un Zombie et un Requin (fallait y penser ?), des cerveaux expulsés de la boite crânienne à main nue (pressés comme des oranges), de l’énucléation sans anesthésie, des morsures Romeriènes, du sable fin, des cocotiers, des gros plans à faire zouker un mort vivant et hop… emballé, c’est pesé. Alors, pour les amateurs d’actions horrifiques qui n’auraient pas encore gouté aux délices zombiesques, commencez par L’enfer des Zombies, puis enchainez avec Zombie (Dawn of the Dead) de 1978 et surtout ne faites pas l’inverse, car bien que souligné comme Zombie 2 sur certaines éditions, il n’en est rien. Par contre ; la fin de l’Enfer des Zombies donne un lien intéressant ; afin de poursuivre avec le chef d’œuvre de George A. Romero. 

Saloperie d'Echarde !

Second carton : Frayeurs ! Film primé dans certains festivals, nous passons la seconde avec une réalisation purement horrifique. Certes, ici pas de décor paradisiaque ou de belles Nanas dénudées… on tape directos dans le gore qui tâche et cela d’entrée d’jeu, la preuve :  Au moment où un prêtre se suicide, une jeune femme part en vrille lors d’une séance de spiritisme. Cliniquement morte, le décès est prononcé et l’enterrement commence, mais est-elle vraiment morte ?

Lucio Fulci nous emporte dans un voyage flippant à grand renfort d’effets terrifiants : Pluie d’asticots, tête transpercée, cervelle arrachée, larmes de sang et j’en passe ! Mais attention, outre des scènes chocs, nous sommes en présence d’un authentique film d’horreur avec un suspens de folie et si le réalisateur (surnommé le Poète du Macabre après ce film) soigne chacun de ses plans… reconnaissons que le casting ajoute une étoile à cette Frayeur.
Un peu de Biafine pour la p'tite Dame ?

Commençons par les actrices, toutes excellentes : Catriona MacColl (que Lucio Fulci rappellera), la magnifique Antonella Interlenghi ou encore Janet Âgren. Ensuite, les acteurs : Christopher George (et son jeu à l’américaine), Giovanni Lombardo Radice, Carlo De Mejo, Venantino Venantini, Michele Soavi etc. Rajoutons l’inoubliable zique de Fabio Frizzi et une fois encore, nous avons « là » un incontournable du genre.

Chers Tronço-Maniaques, faites attention si vous décidez d’acheter ces deux perles : prenez bien l'édition collector dans la version "nouvelle copie restaurée (c'est inscrit au dos)" pour Frayeurs, l’image est bonne, le Son est Top et il regorge de bonus sur le second DVD. De plus l’édition digipack est superbe. Quant à L’Enfer des Zombies, j’ai la version Collector également. Celle-ci propose un DVD Bonus + un livret d'une quinzaine de pages. 

Bilan des courses : décompressez, posez votre cerveau et appréciez 2 vrais bons Bis, comme on n’en fait plus ! 

jeudi 26 février 2015

BLAST-MAN, Nous Présente...

                                                      ... LE SCOOP QUI TUE !


Le Monde est Rempli de Bonnes Personnes et Si vous n'en trouvez aucune...

Devenez en UNE !

mercredi 25 février 2015

Le Dahlia Noir...

"Cherchez la femme, Bucky. Souviens-toi de ça"
 
 
Commençons par le Livre : il s’agit d’un must, d’un livre noir, très dur… à titre personnel, c’est un livre qui m’a profondément marqué et qui restera gravé dans mon esprit, mais attention, car il est par moment difficile à suivre. Il ne faut pas hésiter à prendre des notes (notamment sur les noms des protagonistes, parce qu’il y’en n’a beaucoup), voire à le lire 2 fois !
 
L’histoire : 2 Flics, 2 Amis, 2 Boxeurs « Mr Feu & Mr Glace » qui, après un match anthologique vont faire équipe au fameux LAPD. Voilà 2 durs à cuire que la vie n’a pas épargné et des cas tordus ou bizarres, ils en n’ont bouffé ! Pourtant, ils étaient loin d’imaginer l’horreur de leur prochaine enquête… une femme coupée en deux avec le visage cisaillé vient d’être retrouvée dans un terrain vague. Quel criminel a bien pu s’acharner de la sorte ? Nos deux héros vont partir sur une route des plus malsaines où viendra se greffer une foule de personnes, d’indices et de contradictions. Alors, faites attention, car le récit prend aux tripes et plus les pages tournent et… plus nous voulons savoir. En un mot « GEANT ».
 
Essayer de tirer un film d’une enquête aussi complexe : c’est vraiment casse gueule (et même lorsque l’on s’appelle Brian De Palma). Certes, après avoir réuni un casting béton « Josh Hartnett, Aaron Eckhart, Scarlett Johansson, Hilary Swank, Mia Kirshner, Rose Mc Gowan » il reste à créer l’ambiance, celle d’une Amérique torturée (d’après-guerre) où plane corruption, violence & perversion. Sans oublier que le livre est vraiment riche "d’explications ou d’anecdotes", il est également très riche en rebondissement (il y’a même plusieurs histoires dans l’histoire), de ce fait, comment voulez-vous scinder un chef d’œuvre en 120 minutes. Cependant, il y’a de bonnes idées, comme par exemple le début avec la projection de l’homme qui rit (un beau clin d’œil), le combat de Boxe ou le temps que Brian De Palma met à placer ses comédiens. L’image est intéressante, la Zique également… bref, le grand reproche que l’on pourrait faire au film, c’est qu’il n’est pas assez fouillé, à commencer par la vie d’Elisabeth Short (le film ne nous apprend pas grand-chose sur elle). De plus, le scénario se perd en un imbroglio qui nous en dit trop ou pas assez. A la limite, le film aurait pu se réduire à la traque du meurtrier du Dahlia Noir uniquement (c’est-à-dire en laissant les tiroirs fermés). 


Après le casting pourtant prometteur sur le papier s’avère vite étrange dans l’élaboration des protagonistes, car erreur Fatale : il ne faut surtout pas lire le livre avant d’avoir vu le film. Bucky Bleichert est une gueule (avec une dentition surprenante), Lee Blanchart un fou furieux (ce qu’Aaron Eckhart nous montre pas ou peu), quant à Madeleine Linscott (interprétée par Hirary Swank qui en fait des tonnes "parodie plus qu'elle ne joue", surprenant venant d’une actrice aussi douée) son rôle n’est pas réellement développé (sa mère par contre ???) à l'inverse Scarlett Johansson & Mia Kirshner sont excellentes.
 
De plus, ATTENTION SPOILER (ne lisez pas si vous n’avez pas vu le film) : La disparition de Lee est très tirée par les cheveux et que dire des 15 dernières minutes où Brian De Palma prend trop de liberté avec le récit de James Ellroy et limite… ce qui aurait dû être un grand final.

Enfin à l'inverse de nombreux Cinéphiles, j'ai trouvé le film trop court. En clair, il manque 20 à 30 bonnes minutes à son Dahlia Noir (avec un jeu d’acteurs plus intense et quelques scènes chocs). Peut-être verrons-nous un jour, un beau Director's Cut ?
 

Le Dahlia Noir est un fantôme, une page blanche qui exprime nos peurs et nos désirs. Une Mona Lisa de l’après-guerre, une icône de Los Angeles. Ainsi s’exprime James Ellroy en parlant de cette affaire… car c'est une histoire vraie ! Stéphane Bourgouin (spécialiste dans l’étude des tueurs en série et du profilage) passionné par l’énigme reprend l’enquête depuis le début et comme à son habitude, il malmène sévèrement le lecteur en l’emportant dans ses conclusions. Alors qui a tué le Dalhia Noir ? Le 15 janvier 1947, une personne trouve le corps mutilé d’une femme et elle appelle la police. Suite à l’enquête de Stéphane Bourgouin, vous aurez un maximum de pièces : comment la presse est arrivée sur place et comment… cette même presse va s’approprier l’affaire, le Rituel, les regroupements (avec un explicatif grâce à ses tableaux, un travail énorme), les suspects (avec un retour sur George Hodel), les secrets de l’autopsie et de nombreuses enquêtes (il sera même question du fameux Eliot Ness), mais stop, car je préfère vous laisser découvrir : un livre fascinant, superbement écrit et prenant de A à Z.

mercredi 18 février 2015

Mad ma vie...

                                                        ...et quelle vie !
En 1982, je suis très jeune, mais je bosse déjà et me voici à patienter sur un quai de RER entre Rueil & la Défense. Nanterre pas ta raison, me suis-je dit… trouve une occupation et ô surprise à quelques pas, un kiosque deale de nombreux journaux & magazines en tout genre. Je fouine, je feuillète et mes yeux se portent sur la délicieuse Alice Krige, la beauté fatale du Fantôme de Milburn. Damned, qu’est-ce que ce Mag ? Une jaquette de dingue, un magnifique Logo et une présentation incroyable. J’achète illico et depuis je suis accro. Sauf que derrière Mad Movies, il y’a un homme tout aussi incroyable Mr Jean-Pierre Putters qui, pendant de nombreuses années nous fera profiter de ses connaissances, car vous l'aurez compris, Mad Movies n’est pas un magazine comme les autres. Il y’a quelque chose de différent et c’est même difficile à expliquer. Alors pour faire court, nous pouvons parler d’un esprit Mad. Un mélange d’humour et de précision qui apporte au lecteur une vision juste, à un point tel : que même si le film n’est pas sensationnel, tu vas le voir par curiosité ! Autant dire que pour les Fans de ciné fantastique, d’Horreur, de Science-Fiction, etc., Mad Movies reste la référence absolue.


Mr Jean-Pierre Putters revient sur sa jeunesse, ses débuts dans le Fanzina et nous explique comment Mad Movies est né. Puis, il nous embarque dans un voyage hallucinant de numéro en magazine. Certes avec plus de 220 pages, des affiches, des photos, des illustrations et des textes aussi percutants que drôles, c ’est à ce jour un de mes livres de références, on peut le lire plusieurs fois et on apprend toujours quelque chose. Merci Msieur Putters…  

lundi 16 février 2015

Lobby Or Not...

                              ... Loby, That is The Question ?


Alors que je me balade dans les allées marchandes de la Capitale (vers Richelieu Drouot), je découvre une petite boutique axée cinoche avec (rangées sur des tréteaux) des pleines boîtes de « Lobby Cards » à un prix plus que raisonnable. Evidemment, j’en achète par palette… mais malheureusement (nous sommes en 1984) j’en ai perdu beaucoup dans mes multiples déménagements. En voici quelques-unes.  


Kevin Connor en roue libre pour cet excellent Motel Hell ou l'Auberge Rouge version Slipknot : Choisis ton Camp Camarade ?


Un Kurt Russel en pleine forme, un Big John au sommet : N-Y 1997 reste l'un des films les plus marquants de l'an de Grâce 81.


 Baston, Violence & Vengeance sont les 3 ingrédients de ce film (très) brutal. Nous découvrons un tout jeune Sean Penn aux côtés d'Ally Sheedy, de Clancy Brown, d'Esai Morales ou encore d'Alan Ruck.

Il sort en 83 et sera le second électrochoc de Rick Rosenthal après "l'excellent" Halloween 2. 

vendredi 23 janvier 2015

Enfin de bonnes Résolutions...

                                                                 Pour 2015 !

lundi 19 janvier 2015

ça c'est d'la COUV !

Avec sa double couverture, son format et son sommaire toujours exceptionnel, l’Ecran Fantastique s’embellit au fil des ans. Pour les anciens (comme Bibi) qui « chronologiquement » ont connu le Mag à ses débuts, que de chemin parcouru. 

https://ecranfantastique.fr/


Au programme : Previews, Rubriques, Actus, Chroniques (Ciné, DVD, Blu-Ray, Livre, etc.), sorties, Archives, Effets Spéciaux, Séries TV, Les Films que l’on ne verra jamais (passionnant), Ciné Comics, From Beyond (des chroniques sur des films inédits, TOP !), le film Culte, sans oublier l’excellent TOXIC (Ciné Gore un ptit mag dans le grand Mag). L’E-F nous transporte de film en film « Ant-Man, Jeepers Creepers, Au Service du Diable, Into The Wood, Honey Moon, The Flash, Jurassik World, Gotham, Saw, Exodus, des voyages vraiment Spaces, des Zombies, des Héros et des pas beaux ». Il est tellement complet, que c’est la première fois que je trouve un prix justifié pour une revue. Longue vie à l’Ecran…

Le + de Jean-Michmuch : les abominations de The Thing par Gilles Penso.  

dimanche 18 janvier 2015

La Captain nous Explique :

 Langue de bœuf, langue de pute, langue de chat... Quesako ?

Mes petits amis : rien de plus simple... Les Mauvaises Langues Parlent, Parlent et Parlent encore.
 
Les Bonnes Donnent des Orgasmes !