dimanche 2 octobre 2011

Le Capitaine Spaulding nous explique : LOGIQUE et/ou LEGAL ?

Vaste débat philosophique et afin d'être le plus précis possible. Laissez moi vous conter l'histoire d'un ptit mariol : Après avoir raté son examen de droit, un étudiant va en confrontation avec le correcteur et lui dit : Comprenez-vous quelque chose à cet examen ?
- Evidement, sinon je ne serais pas enseignant !
Ok, alors j'aimerais faire un deal avec vous ?
- De quoi s'agit-il ?
C'est simple, si vous pouvez me donner la bonne réponse à cette question, j'accepte la note et vous n'entendrez plus jamais parler de moi. Par contre, si vous échouez vous vous engagez à me donner la note maxi ?
- D'accord qu'elle est ta question ?
Qu'est-ce qui est légal, mais pas logique. Logique, mais pas légal et en plus, ni logique ni légal ?
Après une longue réflexion, le Prof envisagea toutes les possibilités et rien à faire. Du coup, il fut obliger de changer la note, mais en étant très frustré, il décide de soumettre la question à son meilleur élève et ce dernier lui répondit :
Cher Professeur, vous avez 65 ans et vous êtes marié à une femme de 30 ans, ce qui est légal, mais pas logique. De plus, votre épouse a un amant de 25 ans, ce qui est logique, mais pas légal. Mais le fait que vous ayez donné un 20/20 à l'amant de votre femme, alors qu'il s'était copieusement planté... n'est ni logique, ni légal !

 Hé hé merci Captain grâce à vous tout est plus clair.

samedi 1 octobre 2011

Bercy... 100% Indus d'Ecoute !

RAMMSTEIN ENFLAMME BERCY !

Alléché par l'article d'Olivier, il était temps de s'en rendre compte par nous même et quand... je dis nous ? C'est qu'il y a une raison, vous l'aurez compris : chez nous, le Metal - c'est familial et hop : ma compagne, mon n'veu, mon bauf, mon cousin et sans oublier la ptite Elo (toute heureuse d'accompagner la furious familly) font route pour Sin City.



Nous ne sommes pas vraiment à côté, mais qu'importe... un show de Rammstein, c'est toujours chaud et n'y tenant plus ; nous voici à proximité de Bercy. Damned, une armada de camions à la stature imposante sont garés sur un parking réservé au Staff, hé hé nos Teutons flingueurs auraient-ils apportés du matos ? Tous cela est de bon augure, il ne nous reste plus qu'à trouver une place. Sur ce sujet, pas de panique nous l'avions retenu et ouf ! Au vu du monde, nous avions bien fait... car, après l'énorme ascension des gradins par la face Nord, il n'y a plus moyen de bouger.
RAMMSTEIN / COMBICHRIST


Comme l'explique Olivier dans son report à Nantes (visiter le Chant du Grillon, pour découvrir son article), la faune est hétéroclite. Punk, Goth, Metalleux (de styles divers), Hardos et j'ai même vu un T'Shirt Reggae (un mec perdu sans doute). Alors, pendant que les tapageurs de Combichrist nous déboulonnent les esgourdes, je z'yeute les alentours et y a pas à dire, Bercy reste quand même une salle à part. Les lumières caresses la fosse, le public jump comme un seul homme et les << boum-boum >> electro-Indus nous arrachent les tympans. L'ambiance est d'entrée de jeu énorme... pourtant, le Son est franchement discutable ! Qu'importe, contorsions-nous en rythmes tribaux, pétons tous ensemble un câble et surtout pour ces quelques instants ; oublions nos aléas quotidiens. D'ailleurs, le Combi possède un chouette combo, les mecs molestent leurs instruments comme si leur vie en dépendait et le chanteur, ainsi que le clavier nous démontrent que le Headbanging n'est pas qu'une affaire Metallique, ouais plutôt musclés les 2 gaillards ! Alors, non camarade ce n'est pas une Rave qui tombe dans les choux, au contraire :
- un remake de The Who version 2009 nous sera proposé avec (un chouïa moins de) fougue et la grosse demi-heure proposée à grand renfort de Raaaaaammstein hurlé par le Front-man commence à faire son effet !

 

Le POPB s'illumine en confirmant mes dires : la salle est pleine comme un œuf... heu d'autruche, dans pareil cas, il ne faut pas se déshydrater. Cathy nous apporte une bière, rien qu'une pour Bibi (vu qu'il drive), remarque elles sont bien servies et à 7 euros par tête de gondole, ça calme. Putain, j'oublie toujours qu'à Paris, il faut savoir multiplier, du coup j'ose pas demander un casse dalle et j'attaque à belles dents mon perfecto.

                                                    BERCY OU CYBER ?


J'ai à peine le temps de déguster, qu'un lascar attaque un immense mur à la mailloche. Le bougre est suivi d'un second, puis du colossal Till... qui lui préfère doubler << chalumeau - coup de latte >> et banzaï !!!!!! Rammlied résonne tel un psaume à la fureur :
- La scène est monstrueuse, les spots défigurent l'édifice, la foule scande à l'unisson des Rammstein-Rammstein, mais le groupe n'en a cure et enchaîne 2 autres morceaux sans débander, puis Till lache de sa voix rauque un << bonsoir Paris >>... soyons clair, Liebe ist Für alle Da sera rudement présenté, à un point que nous attendons les classiques avec impatience (sic). OK, ça peut se comprendre tant le groupe n'a cessé de tourner avec ses anciens titres. Mais fort heureusement, ils vont surgir avec toute la panoplie : lights de dingue, pyrotechnie à gogo, ziquos aux taquets et une danse endiablée de Flake. Calmé par Till, casqué d'un lance flamme pour << Fueur Frei >>, il pourra enquillé son fameux bang bang qui résonne à la triple X, énoooorme passage. Le lugubre Wiener Blut déboule comme la misère sur le monde, pourtant c'est Frühling in Paris (obligatoire en ce lieu) qui enfoncera le clou. Le public accompagne le chanteur dans les << non, je ne regrette rien >> et là ; les copains : ça le fait avec les poils dressés ! Croyez-moi, rien que pour ce titre, il fallait être présent, après ce ne fut qu'un déluge de folie, de flammes et de décibel. Le mixe << nouveaux morceaux & anciens >> fonctionnent du Feu de Dieu et quand sont enchaînés Benzin, Link 2,3,4 et Du Hast, le Pit se voit carrément violenté. Des colonnes brulantes fusent de toute part, la scène se mue en une inquiétante usine, Flake sera bien entendu sacrifié (pas de panique, il sera ressuscité en Bee-Gees) pour la bonne cause et comme si ça ne suffisait pas : l'intro de Pussy résonne enfin dans le Dancing. Cette fois plus de pitié, Till s'empare d'une quequette de Brontosaure et arrose la foule pour un bain de mousse hyper sexuel, alléluia...

EINER, ZWEI, DREI, VIER ...

C'est ce que l'on nomme un gros rappel : l'implacable Sonne enquille les festivités, martial à souhait on n'en prend plein les mirettes. Haifisch & surtout Ich Will replongent Bercy dans les ténèbres. Heureusement, qu'une magnifique ballade en canot réchauffera âmes et cœurs. Très attendu, l'homme de la mer se déplace sur une marrée humaine et le moment fut aussi intense que chaleureux. Flake voguera sur des flots de bras levés et franchement quel autre groupe... aurait pu avoir cette idée ? Alors, que la plupart des spectateurs pensaient que la messe était dite !!! Les fans de la première heure n'entendent pas la clôture de cette manière.

The Finish !

Après de maintes suppliques (à plein poumons quand même) leurs prières seront exaucées et où, j'attendais un Rammstein Lost Highwaytien trèèèèès enflammé, je découvrais une créature aux ailes maléfiques ! Les premiers sifflets du tube interplanétaire << Engel >> vont décharger une adrénaline épileptique. Le public n'en revient pas et quand les ailes de l'enfer se mettent à cracher des flammes, Bercy prend une allure de rôtissoire et ; il n'y a plus d'échappatoire... il est clair que nos cousins Germains veulent nous bouffer. L'étonnant morceau va s'étirer en feu d'artifice, rappelant à l'hexagone que Rammstein reste le leader de sa catégorie. Suite à cette étonnante prestation, les musiciens viendront saluer une foule totalement vouée à leur cause d'un : MERCI, FOUZETES INCROAAYABLIN !
Mouais, je ne sais pas qui fut le plus incroyable de la soirée, allez sur ce, je vais me rafraichir les sourcils... Auf Wiedersehen !

jeudi 29 septembre 2011

HAPPY BIRTHDAY FAB !

Comme le temps passe vite ? Mais un an de plus, ce n'est rien... un peintre à l'âge de ses tableaux, un auteur à l'âge de ses poèmes, un scénariste a l'âge de ses films. Seuls les imbéciles ont l'âge de leurs artères disait Henri Jeanson. Certes, mais que dire sur les personnes qui créent, qui innovent et qui déclenchent des cataclysmes par la simple  envie de chambouler les idées reçues ? En effet, face à une montagne infranchissable, plus d'une âme perdue aurait abandonné en route. Pourtant, elle prouvera qu'avec de la ténacité, beaucoup d'amour et une bonne dose de jugeote : il ne faut jamais baisser les bras, mieux toiser la cime et commencer l'escalade !


Aujourd'hui, elle a planté le drapeau au sommet, son investissement porte enfin ses fruits, son assos L'ABA pour Yann marche du feu de dieu et "pas à pas" se dessine un réalisme que peu avaient imaginé. Le courage serait donc le reflet d'une aura difficilement définissable ?



Ce qui me pousse à déclarer que Fab n'a qu'un âge : celui de raison et ça... ça s'applaudit à la Vishnou ! Happy Birthday petite sœur et pour les curieux, les puristes, les possédés ou simplement à titre d'infos : http://www.abapouryann.fr/

dimanche 24 juillet 2011

La Blague Cyno du Père Freddy !

Un  ingénieur suédois, un comptable suisse, un chimiste allemand, un informaticien américain et un fonctionnaire français se vantent d'avoir chacun le chien le plus merveilleux du monde.

Pour le démontrer, l'ingénieur Suédois appelle sa chienne :  Racine-Carrée, montre-nous tes  talents ! La chienne trotte jusqu'à un tableau noir, dessine rapidement un  carré, un cercle et un  triangle.

Le  comptable Suisse dit a son chien : Actif-Passif, montre-nous tes compétences ! Le chien fonce dans la  cuisine, en revient avec une douzaine de biscuits et les range en 3 piles égales de 4  biscuits.

Le  chimiste Allemand prétend que son chien peut faire encore mieux : Thermomètre, fais ton numéro ! Le chien  ouvre le frigo, prend un litre de  lait, va se procurer un verre de 10  cl dans l'armoire et y verse exactement 8 cl de lait  sans en renverser une seule goutte.

L'informaticien Américain pense bien tous les supplanter : Disque-Dur, impressionne-les ! Le chien  s'installe devant l'ordinateur, le  fait démarrer, fait partir le programme anti-virus, envoie un email et installe un nouveau jeu.

Les 4 hommes  se tournent alors vers le fonctionnaire Français et demandent avec un air moqueur : Et toi ton chien, qu'est-ce qu'il peut faire de mieux ?

« Pause-Café, montre-nous tes talents de fonctionnaire » dit le Français.
D'un coup, le chien se  lève, mange les biscuits, boit le lait, efface tous les fichiers de  l'ordinateur,  nique la chienne de l'ingénieur, prétend s'être blessé au dos en le faisant, remplit un formulaire d'accident du travail en 3 exemplaires et prend un congé maladie de six mois.  ALORS C'EST QUI  LE PLUS FORT  ???

vendredi 22 juillet 2011

A La Une De Tronço : Le Skeud Qu'il Te Faut !

 CALCINED - Thwarted -

Comment ne pas être enthousiaste au vu de cette jaquette ? Comment ne pas être épaté par une Intro aussi bien foutue et quel Fan de Death Metal pourrait résister à un démarrage susurré par le doux ronron d'une Tronçonneuse ?



Taillé pour le Live, ce Mini Skeud propose 4 parpaings aussi consistants que techniques avec au programme : Riffs surpuissants, Double sur mode mitrailleuse et chant puisé du fond des âmes, c'est fort, très fort même et quand rugit le premier solo... prépare toi à l'apocalypse !


Bilan des courses : Compos pointues, vibrant hommage Old-School, violence sans limite conjuguée d'une énergie décuplée à un Son brute de décoffrage, soit un Ep de Death réalisé par de vrais Fans de Death. Y a pas photo, un Big groupe est en marche et si t'as pas commandé la bête avant la fin de l'été, allez hop au Barbec !

EP Chroniqué sur le Chant du Grillon : http://www.lechantdugrillon.fr/Chroniques-Metal-1726-calcined-thwarted.html

lundi 18 juillet 2011

BLOOD SNOW... Les Zombies Font du Ski !


Avec une accroche plutôt couillue "Une journée glaciale en enfer", un max de décorations et une jaquette à faire baver un fan de Jean Rollin, tous les espoirs étaient permis. Sauf que... les amateurs de films qui défouraillent connaissent jusqu'au fond du slip, ce type de structure. Mais bon, un chti DVD avec des Zombies surgelés, ça ne se refuse pas.


D'ailleurs, s'agit-il vraiment de Zombies ? De spectres ? D'apparitions ? En fait, il ne s'agit pas que de ça, puisque la trame centrale se tourne en aventure humaine pour se muer rapidos en un huit clos des familles et voilà, pourquoi j'ai les boulles. Parce qu'au départ... l'intrigue fixée en 1846 relate un événement bien craignos : des colons perdus dans une montagnes vont subir les affres d'une malédiction et certes, va y'avoir d'la bidoche au congélo ! Du coup 160 ans plus tard, 6 jeunes (2 couples & 2 célibataires) vont louer un chalet non loin du drame.

Mais avant, il y a l'inévitable arrêt au rade du coin (Ah les Redneck), et tandis que nous supputons un ptit kek'chose entre les célibataires, le conducteur installe une grosse chaîne sur un pneu arrière (on n'y croit pas une seconde, revoyons l'action au ralenti et non... toujours pas), puis c'est l'escalade : bataille de boules de neige, randonnées sauvages, bûche dans le feu et macchabé version Findus. D'ailleurs qu'est-il devenu le fameux cadavre ?


Tandis que nos joyeux drilles trainent dans le désert glacé depuis plus de 28 minutes, on note déjà quelques mirages qui leurs disent de faire demi-tour. Pire, il y'en a même un qui rencontre la fée des neiges tapant sur son tambour. Sur cette pensée Capdevielliène, je dois vous prévenir que juste après... tout part en couille, cependant, où nous aurions apprécié un bon Survival sonnant et Tronçonnant, nous aurons à la place : une pincée de Shining, une louchette de Vorace et un mix de passages (archis) classiques, mais fort heureusement, rigoureusement employés. En effet, qui n'applaudirait pas à la Vishnou, la scène où la barmaid vient rendre visite à notre héros sur le canap ? Du grand, du beau, du vrai Cinoche !

En clair et sans péter l'intrigue (vu que les scènes chocs ne regorgent pas), nous pouvons affirmer qu'il est fort dommage que le réal Jason R Stephens n'ait pas pousser dans le Thrash, voir dans l'ultra gore, car dans l'ensemble : il y a de bonnes idées, les effets spéciaux sont sympas, la Zique colle au truc (la chanson Winter's over est interprétée par Tiffany), les images de paysages sont Top (ce qui soulage le manque de rythme), néanmoins pas chiant (rapide aussi, car avec ses 75 minutes, le making of m'a paru plus long qu'le film) et les acteurs sans être transcendant sont plutôt cool. Nous trouvons James Kyson Lee (vu dans Heroes), Georges Sluts (Hydra), Tiffany (Mega Piranha), Penny Drake (Zombie Strippers), Danielle de Luca, Robert Michael Ryan et l'inoxydable Michael (La colline a des gros yeux) Berryman.


Bilan des courses : American World Pictures (après l'inoubliable Yeti) nous propose un bon ptit DVD à s'mater sans prise de tête. Certes, on sent bien, qu'il aurait fallu un chouïa de pognon en sup pour éclairer quelques passages, voir même une bonne liasse, histoire de nous concocter un beau twist à la place de cette fin pas trop bandante. Allez hop, la moyenne rien que pour la scène du canap...

Chronique DVD, Blu-Ray By JMi


mardi 12 juillet 2011

Le Skeud qui Tranche !

MACABRE : Grim Scary Tales.

Macabre... un nom, une philosophie, que dis-je : une institution. Attention, ces mecs sont barges, mais comme chacun sait, c'est avec les dingues qu'on s'mare ! Sauf que cette fois, le trio Ricain décide de concurrencer Pierre Bellemare en nous narrant les lugubres performances de quelques célébrissimes dégénérés, mieux des Guest du flingue, du fouet, de la hache rouillée et que sais-je ? De plus, un titre particulier a retenu mon attention.
En effet : Burke and Hare (2 fripouilles notoires) devrait être couché sur péloche par ce bon vieux John Landis sous le titre "Cadavres à la pelle" hé hé, rien que du bonheur.


Bilan des courses : à prendre au deux cent cinquantième degrés ou à laisser. Soit ; un vrai skeud de maboul pour des mabouls !

Chroniqué sur le Chant du Grillon : http://www.lechantdugrillon.fr/Chroniques-Metal-1703-macabre-grim-scary-tales.html


dimanche 3 juillet 2011

La Blague Salace du Père Freddy : Curé, Honnêteté et Fer à Friser !

Sur un vol vers la France, une jeune fille distinguée était assise à côté d'un prêtre. Elle lui demanda : Mon père, puis-je vous demander une faveur ?
Bien sûr, mon enfant, que puis-je pour-vous ?
Eh bien, j'ai acheté un ustensile de coiffure très perfectionné. Malheureusement, il s'avère au delà de la valeur limite d'importation. J'ai bien peur que l'on me le confisque. Ne pourriez-vous pas le passer aux douanes pour moi, sous votre soutane, par exemple ?
Chère enfant, j'aimerais bien vous aider, mais je dois vous avertir, je ne mentirai jamais.
Merci à vous, car avec l'honnêteté écrite sur votre visage, ça sera plus simple.
Lorsqu'ils arrivèrent au guichet des douanes, la jeune fille laissa passer le prêtre.
Le douanier lui demanda :

Avez-vous quelque chose à déclarer, Mon père ?
De la pointe de mes cheveux jusqu'à ma taille, je n'ai rien à déclarer !
Le douanier, trouvant cette réponse bizarre, lui demanda alors :
Et de la taille aux pieds, qu'avez-vous à déclarer ?
J'ai un instrument merveilleux destiné à être manipulé par une femme et qui n'a jamais été utilisé à ce jour.
Le douanier éclata de rire et lui répondit :
Passez Mon père... AU SUIVANT !!!

Freddy... il s'en fout, il se peigne avec une éponge.

samedi 2 juillet 2011

Un Monde Merveilleux...


Chroniqué sur le champ... du Grillon à la rubrique << films nécessaires à la survie de l'humanité >>. Il me faut vous préciser que Wayne's World n'est pas un DVD de Zique, mais nous, du moment que ça parle déconne, Sex & Rock'n'Roll… Nous ne sommes jamais bien loin. Du coup, Il nous fallait impérativement mentionner ce film mythique !


Entouré d’un pitch ultra simple, Mike Myers nous délivre une véritable aventure humaine sous fond de Hard Rock. En effet : 2 potes (légèrement déjantés) animent une émission de TV (également déjantée) dans le garage familial. Ils ont une mission, un langage, des idées et des réflexions bien à eux. Devant autant de talent, un producteur (aux crocs acérés interprété par Rob Lowe) s’intéresse aux 2 phénomènes, qui de leur côté "tracent la route" pour assister à un concert d’Alice Cooper !


D’excursions sauvages en vannes qui tuent, Wayne & Garth (L'ineffable Dana Carvey) vont découvrir le monde terrible du show business. Alors, tandis que Garth ne vit que pour une serveuse canon et une batterie flambant neuve. Wayne n’assiste qu’à pécho une Strato et Cassandra (Tia Carrere quand même) la Bassiste d'Ultime Razzia (un groupe de Rock bien vénére et surement fan de ce bon vieux Stanley). Certes, un DVDphage normalement constitué ne peut qu'être sensible à ce type de demandes et si le spectateur compatit, il ne peut qu'au fil des minutes, les encourager à foncer têtes baissées. Mais, fallait-il vraiment les encourager ?





Si la réponse s'étalera puissance 10 sur vos scintillants écrans, je rajouterais qu'en fait, ce flim n'a qu'une seule embrouille, celle d'avoir ratée les 2 groupes en ouverture, soit : Les Géants verts de la Haine et les Puducus. pas évident de retenir ses larmes, mais bon... l'essentiel demeure évidement de trouver ce divertissement léger, pertinent et porteur de concepts sous-jacents qui démantèlent le contenu émotionnel du film dans sa première approche. En clair :  C'est Incroyable mais Wayne !



Deuxième Round : auréolé d'un succès notable, il n'aura fallu que très peu de temps pour remettre le couvert. Allez hop, on prend les mêmes et on recommence, sauf que cette fois : Penelope Spheeris (à qui nous devons le légendaire Les Allumés de Beverly Hills) a laissé la réalisation à Stephen Surjik (éminent spécialiste de séries TV). Alors, pour faire court, nous dirons qu’un an a passé et nos 2 héros (au seuil d'être enfin adulte) vont devoir se remettre en question. La raison en est simple : Un indien zarbi pratiquement à poil vient rendre visite à Wayne dans son sommeil. Celui-ci l’emmène à la rencontre de Jim Morrison dans le désert (un désert aussi zarbi que l’indien vu que l’on retrouve Sammy Davis Jr par exemple). Après une longue discussion, la lumière fut et voilà nos amis plus un roadies (et quel roadies) embarqués dans un concept de dingue « recréer un Waynstock ».


Naturellement, un producteur véreux (Christopher Walken) va tenter de soulever la meuf de Wayne, l'organisation du show s'avère colossale et pour corser le tout, la mairie (sous l'égide d'un mec à l'œil de braise) va engluer de formulaires aussi chiants que compliqués les protagonistes, mais ouf dans ce monde de discorde… il y aura un chouïa de bonheur vu que Garth va connaître l’amour avec Kim Basinger, qui dit mieux ? Bref, sans dévoiler les moments phares, on s'marre non stop, il y a des parodies anthologiques (dont un passage dans une boîte Gay énormissime), Caméos à gogo et outre un max de clins d’œil au cinoche, on note une bande Son à tomber à la renverse. Y 'a pas photo, on sent déjà les prémisses du gars qui allait devenir Austin Powers et là ; Total Respect !


Bilan des courses : ce deuxième volet est encore plus barré, plus Fun, plus Cool, plus Bruyant et cerise dans le cake... si t’es fans d’Aero (smith hein, pas phagie), tu vas halluciner !


Chronique DVD By JMi.

vendredi 24 juin 2011

L'ABA pour Yann

                               
     - La fierté d'un père...


                        ... la joie d'un fils -

Visitez le site l'ABA pour Yann ici : http://www.abapouryann.fr/

jeudi 23 juin 2011

The PACIFIC - La Force Anis en Blu-Ray !


Lorsque j'ai rangé le dernier Blu-Ray dans le somptueux coffret métallique, ma première réaction fut la suivante : la vache... quelle série, bon sang quelle série ! Pourtant, je venais juste d'enquiller les ders de Sons Of Anarchy et Dexter qui m'avaient collé une bonne tourte, mais là, j'en suis rester sur le cul.


Composé de 10 épisodes, The Pacific relate la vie de jeunes Marines embarqués dans les conflits qui opposa l'armée Américaine à l'armée Japonaise. En fait, la grande force de cette série relève de 2 choses, car outre l'intensité des batailles par une mise en scène exceptionnelle, le spectateur accompagne systématiquement les héros à chaque épisode. Les acteurs sont tellement charismatiques, qu'ils nous aspirent dans leurs aventures cauchemardesques et nous sommes là, juste à côté, fin prêt à vibrer, hurler ou pleurer. En clair, ça faisait bien longtemps, que je n'avais ressenti une telle émotion. 


Je vais d'ailleurs éviter de dévoiler des détails, tant il vous faut découvrir le missile avec le moins d'indice possible. De plus, saisi d'une histoire vraie, le scénario n'en est que plus fort. La puissance du récit mêlée aux combats inhumains livrés sur les îles de Guadalcanal, Peleliu, Okinawa et bien entendu Iwo Jima, nous renvoie à la méga claque visuelle de << Il faut sauver le Soldat Ryan >>. Mais attention, The Pacific n'est pas que Guerre & batailles. En effet, un fil rouge nettement  plus intime nous permet de pénétrer la vie, l'âme et le choix de plusieurs Marines dont John Basilone (premier Marines à être décoré de la médaille d'honneur), Eugène B. Sledge (qui écrira With the Old Breed : At Peleliu and Okinawa) & Robert Leckie (qui rédigera A Helmet For My Pillow). Evidement, cette série a demandé un max de Réal dont Tim Van Patten (le charismatique acteur de Class 1984), David Nutter, Jeremy Podeswa, Garham Yost, Carl Franklin & Tony To (tous des King de séries Cultes). Et grenade sur le gâteau, la zique fut confiée à l'énormissime Hans Zimmer...



Ajoutons un max de récompenses à un casting de folie avec entre autre Joseph Mazello (le gamin de Jurassik Park), John Seda, James Badge Dale, l'inoxydable William Sadler, Ashton Holmes et Rami Malek pour les plus connus. Bref, les acteurs et actrices sont faramineux, les plans de batailles sont d'un réalisme renversant (avec un ampli, on se retrouve directos sous les bombes), pas un épisode est en dessous, rien, nada, c'est bien simple on prend une décharge dès le premier accrochage et ce ton sera gardé jusqu'à à la dernière minute.


Alors, si tout s'avère grandiose et cela du générique à l'ultime bonus, cette série demeure avant tout un sacré coup de poing. Je m'explique : être plongé avec de (très) jeunes hommes au cœur de conflits aussi cruels que terrifiants va en chambouler plus d'un(e). Certes, il est bien révolu le temps des certitudes fragiles, ici les images défilent tel les pages d'un album viscéral où se mixe sang, larmes et honneur... autant dire qu'après le succès de Band Of Brothers, la Dream Team "Spielberg-Hanks" nous expédie (sans anesthésie) un autre obus dans le derch.


Bilan des courses : aussi intense que violente, cette série frôle la perfection, tout simplement indispensable !


Chronique : Blu-Ray Coffret The Pacific By JMi

dimanche 19 juin 2011

Les 4 Garçons dans le Vent... du Hellfest !

3 jours dans une centrifugeuse : il faut tenir. Sauf que les fils du Grillon se sont préparés comme des bêtes. La preuve, avec très bientôt un diaporama de la mort qui tue.


Alors, rendez-vous sur le site http://www.lechantdugrillon.fr/index.php
pour visionner 3 jours apocalyptiques. Stay Brutal !

lundi 6 juin 2011

L'IMMORTALENTUEUX DEMONAZ NOUS CATAPULTE LE SKEUD QUI TUE !

March Of The Norse.
Rien de tel que de commencer ce mois de Juin avec un LP qui sent bon la montagne, la campagne et la castagne. Voici enfin, le fameux March Of The Norse que j'attendais depuis des lunes. En effet, Demonaz, tête pensante et guitariste légendaire du groupe Immortal, nous propulse un monument en béton armé & dangereux. Alors, si comme Bibi, tu as particulièrement apprécié le "Between Two Worlds" de I (et accessoirement composé par son pote Abbath), tu vas tomber à la renverse.

L'album démarre sans concession : intro Warrior, mystique, voire Epic et Banzaï, le premier Riff t'alpague d'emblée.

Ce style, nous le connaissons tous... et si l'ombre de Blashyrkh nous enveloppe de sa mythologie, c'est pour mieux nous emporter dans le tourbillon d'un combat titanesque. Illico, le versant d'une cime enneigée se voit dévalé par une avalanche de Riffs Heavy-Black comme j'en ai rarement entendu. Certes, le sang, le feu et la mort ne sont jamais bien loin et si parfois, il faut revenir aux bases pour imposer de nouvelles valeurs, que rajouter de plus... que mission accomplie !


Entouré d'un casting prestigieux, les musiciens déroulent l'artillerie lourde sans jamais empiéter sur le territoire d'une voix abrasive, parfois lointaine, toujours ajustée et idéalement profonde. Bilan des Courses : à l'orée des Bathory, Venom et autre Celtic Frost, le Fan de Metal pur & dur se voit rapidement transporté. Alors, je ne vais pas y aller par 4 chemins : March Of The Norse est un bloc, il se veut en tout point fulgurant, méthodique ou mélodiquement glacial, bref : Incontournable. C'est à croire que les Immortels sont bénis des Dieux !

Chronique Album Incontournable 2011.

mardi 24 mai 2011

LA Blague Salace du père Freddy : Plus, Plus demandez PLUS !

Un jeune mec surexcité pénètre dans une banque, il regarde la guichetière et lui balance : j'veux ouvrir un putain de compte dans cette putain de banque !
 - La Dame n'en revient pas, qu'est ce que vous dites ?
Oh t'es sourdes ou quoi, j'veux ouvrir un putain de compte et fissa.
- La Dame outrée, mais enfin Monsieur restez correct.
Bordel, tu piges rien ou quoi. JE VEUX OUVRIR UN COMPTE DANS TA PUTAIN DE BANQUE !!!!!
- La Dame au bord de la crise de nerfs appelle le directeur. Celui-ci arrive immédiatement en criant : alors qu'est-ce qui se passe ici ?
Le mec lui rétorque, je comprends rien... je viens de gagner un milliard au loto et je voudrais ouvrir un putain de compte dans ta putain de banque, merde c'est pas compliqué !
Sur ce, le Directeur répond : et cette connasse te fait chier ?

hé hé, sacré Freddy... surnommé la griffe du bon goût.

dimanche 22 mai 2011

DOG BITE COQ... Part 1.



Quand tu aimes la Toile, tu cherches toujours le film qui va t'en coller une et parfois, à force de creuser, tu tombes sur l'OVNI qui ne peut laisser indifférent. Néanmoins, ce type de film étant plutôt rare, tu te sens dans l'obligation de piocher dans tous les styles et comme tout le monde, j'ai dû taper dans bien des tableaux pour dénicher quelques perles. Pourtant, il y'a un genre qui m'a toujours interpelé. En effet, depuis mon enfance, je voue un véritable culte au cinéma Asiatique... d'où me vient cet engouement ? Mystère, mais j'en veux pour preuve d'innombrables discutions qui débutèrent dès la cour de récréation : alors que bon nombre de mes potes me ventaient la dernière comédie à la mode, je ne vivais que pour Big Boss, la Rage du Tigre ou la main de Fer et depuis, cette passion ne m'a jamais quitté. A un point tel, que je savoure avec la même frénésie un vieux Jackie Chan qu'un Park Chan-Wook, mais ces derniers temps, je reconnais que le cinoche Hongkongais m'impressionne au plus haut point. Sur ce, voici 2 belles torgnoles signées Soi Cheang et sans mollir, commençons par la méga claque Dog Bite Dog !


Dispo depuis 2007, ce film est pire qu'un électrochoc. Parsemé d'anti héros, de personnages ultra glauques et hanté par une vision nihiliste particulièrement dérangeante "Dog Bite Dog" se situe dans le prolongement d'un désespoir laminé où seule, une violence vidée de toute substance morale a pris racine. C'est bien simple, son dénouement est tellement furieux, qu'il ferait passer "Dany the Dog" pour un conte de fée. En voici un léger pitch :

Après une promenade en bateau (ptit Dej compris), le film débute par un sombre deal au fond d'une bagnole. Un jeune mec (l'énormissime Edison Chen) enveloppe une liasse de biftons dans un morceau fraichement arraché d'une étoffe et part illico dans un restaurant. Assis à une table, il commande (sans prononcer un mot) son repas en entourant les plats du menu avec un crayon. Puis à l'arrivé d'un couple (d'un certain âge), il attend, mange, se lève et assassine froidement la femme. Sans la moindre émotion, il quitte le restaurant pour s'engouffrer dans une ville aussi froide que malsaine. Quelques temps plus tard... se pointe la Police. Dans la foulée, 2 inspecteurs vont se faire un devoir de traquer l'énigmatique meurtrier, mais malheureusement la confrontation tournera au cauchemar. Le chef va se faire trucider sauvagement et son jeune collègue (l'excellent Sam Lee) n'aura qu'un but : retrouver son bourreau !

De cette idée, démarre un tête à tête inhumain. On n'oublie l'histoire des bons et des méchants, car dans un tel contexte, seul l'instinct animal prime. De passages coups de poings comme : nous apprenons que l'assassin fut élevé dans des conditions extrêmes << obliger de combattre pour survivre >>, puis il va trouver l'âme sœur << une jeune femme vivant dans une décharge et subissant des maltraitances épouvantables >>. A contrario, son ennemi (très propre sur lui) doit régler un problème familial pestilentiel. Certes, ça schlingue dans son entourage et l'auréole d'un grand flic devrait se briser au grand dam d'une hiérarchie sacralisée par la théorie de l'honneur. L'honneur, pièce maitresse du Ciné Asia qui en ce film reste très compartimentée, car vous l'aurez compris Dog Bite Dog propose plusieurs histoires dans l'histoire. A cela rajoutons une zique minimaliste, mais envoutante à souhait. Une ambiance à dépiauter à la machette et un ton féroce sublimé par une caméra tenue à la limite de l'imaginable...  


Bilan des courses : Apre & violent, ici tout le monde traîne des casseroles. On ramasse des tartes à chaque plan et bon sang que ce film est réalisé avec talent. Incontournable !