mardi 4 février 2014

ALIEN PART 2 : LA QUADRILOGIE DE L’ESPACE !

                  ALIEN 3 : Le Plus Mystique...



 Rescapés de l’enfer : Ripley, Newt, Hicks & Bishop naviguent dans l’espace, lorsque qu’un incendie éjecte leur navette de secours. Celle-ci atterrit sur une planète-prison qui sert de refuge à des criminels. A son réveil, Ripley est accueillie par le Docteur Clemens qui après l’avoir soigné, lui intime l’ordre de se raser entièrement (à cause d’une infection). Malheureusement, suite au Crash, il lui apprend qu’elle demeure la seule survivante. Perdue au milieu de nulle part, Ripley cherche à comprendre la cause de cette catastrophe, mais les détenus voient en « elle » un sujet de discorde (tu m’étonnes, une seule Nana dans un pénitencier de mecs et elle s’appelle Sigourney Weaver)… quant au même moment : un Rottweiler se sent comme ballonner et bien sûr, pas la moindre pastille Rénnie sur le Site. Je ne vous en raconte pas plus, mais ce qui va suivre est du grand Art !


Réalisé par David Fincher qui, pour son premier long métrage tape très fort, en allant d’emblée installer une (pour ne pas dire son) atmosphère si particulière. Pourtant, il ne sera guère convaincu (d’après la légende, la fin serait même retouchée, voire totalement changée) du résultat, jusqu’à renier cette version. Alors que voulait-il faire ? A sa décharge reconnaissons que outre « l’ambiance », il disposait d’un panel de personnages avec : le Toubib (L’énigmatique Charles Dance), le Dirlo (Brian Glover le blagueur du Loup Garou de Londres), Danny Webb (Excellent dans le rôle de Morse), Lance Henriksen (en Guest), Holt McCallany, Charles S. Dutton ou encore Pete Postlethwaite (que l’on ne présente plus), comment dire... plutôt détonants.   

Oh La Vache !

Les différences entre la version longue et la classique réside sur certains passages écrient dans différentes conditions (je vous invite à écouter ou lire les commentaires, on pige mieux certaines idées).

Exemple : sur la version longue, le début nous plonge en plein apocalypse (le décor de la planète fait froid dans le dos), puis l'Alien se réfugie dans le corps d'un bovidé. On voit d'ailleurs les prisonniers sortir la navette de l'eau avec plusieurs bêtes à cornes et du coup, lorsqu’une vache (subitement décédée) se dandine « la tête en bas » dans l’abattoir… on se doute que les descendants de la confrérie Chaussée aux Moines vont morfler sévère.




Perso, j’ai préféré cette version avec l’accouchement de la créature quadrupède qui m’a semblé plus intéressante. Alors que dans la version ciné, c'est un Rottweiler qui se fait gauler. Ensuite, il y a des passages allongés dans les dialogues (on le sent nettement sur la VF pas terrible d’ailleurs) et quelques surprises que je tairais histoire de ne pas vous planter le truc.

Malgré tout, autant, la version longue d'Aliens (celle de James Cameron) s’avère nettement plus spectaculaire, autant celle-là semble s’étirer par moment. Cependant, elle mérite une attention toute particulière, mais l’une comme l’autre valent le coup d'être vue.


A écouter tes conneries, j'me suis chopé une Otite !


Bilan des courses : un film sombre, très anxiogène, qui par son dénouement rappel le 1er avec une dynamique de rédemption sous forme d’un casting de folie.  

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