BEYOND MURDER
Alliant brutalité, extrême et mélodies imparables.
Nos Italiens préférés nous balancent 4 titres de Brutal Death Metal lorgnant sur le Grind.
Soit : du Beau, du Bon, du Bien Bourrin, Greattttttttttttt !
Chers amis, il s'agit de mon coup de cœur (ou de mon coup au cœur, car c'est du rustique quand même) ; Beyond Murder, groupe Italien de Brutal Death lorgnant sur le Grind se voit formé en 2008 à Rome. Alors les abonnés de Tronço-mag le savent : une première Demo 3 titres circula dès 2009, puis la même, mais avec une nouveauté de taille tombera (enfin) dans mes mimines. Du coup, la décharge fut tellement efficace, qu'il me faut vous en parler :
Alliant Brutalité, extrême et mélodies imparables. D'emblée, on note que les 5 gaillards ne sont pas des manches et pour cause :
- Impasses of the Skunk démarre sous une intro flippante à grand renfort d'une sirène Tchernobyliène et pan en moins de 30 secondes le réacteur explose ! Les Riffs sont plus acérés que les griffes de l'ami Freddy et quand déboule le mur de frappes à double chocs, le morceau prend illico une allure massive de chez mastoc. Mais, ce n'est pas tout, car les breaks inondés d'une évidente technique vont envahir l'auditeur de multiples spasmes. Du coup, l'homme Metal se sent dans l'obligation d'entamer une gigue de tous les diables à l'endroit même où il se trouve (alors doucement au gouter avec mamie ou dans le Métro aux heures de pointe) et puis, ce n'est pas Tears on the Wrong Grave qui va calmer la mécanique. Pire, le quintet récidive, persiste et signe d'une gouleyante paire de vibrantes minutes enchaînée d'un titre qui lui ressemble vachement, sauf que... les mecs vont tenter de très belle chose : un chtit solo par ci, une bonne saccade par là, une bonne blastonnade en cascade de ci, un chant d'ours << la patte prise dans un piège >> de là et pour les récalcitrants ; il y aura même un passage Coal Chamberisé ! Enorme morceau que ce Prisoner of Hate et pourtant ???
Alliant Brutalité, extrême et mélodies imparables. D'emblée, on note que les 5 gaillards ne sont pas des manches et pour cause :
- Impasses of the Skunk démarre sous une intro flippante à grand renfort d'une sirène Tchernobyliène et pan en moins de 30 secondes le réacteur explose ! Les Riffs sont plus acérés que les griffes de l'ami Freddy et quand déboule le mur de frappes à double chocs, le morceau prend illico une allure massive de chez mastoc. Mais, ce n'est pas tout, car les breaks inondés d'une évidente technique vont envahir l'auditeur de multiples spasmes. Du coup, l'homme Metal se sent dans l'obligation d'entamer une gigue de tous les diables à l'endroit même où il se trouve (alors doucement au gouter avec mamie ou dans le Métro aux heures de pointe) et puis, ce n'est pas Tears on the Wrong Grave qui va calmer la mécanique. Pire, le quintet récidive, persiste et signe d'une gouleyante paire de vibrantes minutes enchaînée d'un titre qui lui ressemble vachement, sauf que... les mecs vont tenter de très belle chose : un chtit solo par ci, une bonne saccade par là, une bonne blastonnade en cascade de ci, un chant d'ours << la patte prise dans un piège >> de là et pour les récalcitrants ; il y aura même un passage Coal Chamberisé ! Enorme morceau que ce Prisoner of Hate et pourtant ???
The Golgotha of the Drearies monte d'un cran, ce tout nouveau titre a la saveur "du groupe qui souhaite taper très fort" et surtout, qui prépare merveilleusement les hostilités pour la venue d'un futur album. Bilan des courses : une pincée de Cannibal, une louche de Dying qui pulse et du Beyond Murder pleine gueule. Soit: du beau, du bon, du bien bourrin, greatttttttttttt !
Chroniqué sur le chant du Grillon à la rubrique Best Démo :
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